Cinéma
La suite de nos mésaventures, pour une fois, ne devait pas se passer à Paris mais en province, à Nîmes exactement où nous étions en déplacement professionnel. Ne sachant trop que faire le vendredi soir, soirée libre à l’époque, nous sortons en ville, ce qui n’a rien de folichon et finissons par nous laisser tenter par l’affiche d’un cinéma porno. Ce n’est pas que ce genre de film nous attire le moins du monde mais, sans nous l’avouer, il nous semble évident à tous deux que c’est un lieu où nous pouvons espérer quelque aventure.
Peu de monde dans la salle et, à part Marie, uniquement des hommes. Nous nous installons au milieu du dernier rang, contre le mur du fond. Le spectacle est évidemment quelconque sur l’écran et ne parvient guère à nous émouvoir. Du très classique que nous avons expérimenté depuis longtemps. Marie se réfugie au creux de mon épaule comme au plus beau temps de nos amours de jeunesse, et, pour lui rappeler le passé, je commence à l’embrasser. Comme nous ne prêtons guère attention au déroulement d’une histoire des plus nulles de croisière sur un petit yacht où se sont retrouvés deux filles et deux mecs, qui n’ont rien d’autre à faire que de baiser, nous avons tout le temps d’observer la salle et le va-et-vient de quelques messieurs qui changent sans arrêt de place, formant ainsi de fugaces couples masculins: il n’est guère difficile d’imaginer leurs occupations. La présence d’une dame n’est pas passée inaperçue et quelques hommes tentent de se rapprocher. Pour les encourager, profitant de ce que deux d’entre eux nous regardent, je passe ostensiblement la main dans le chemisier de Marie que je déboutonne quelque peu sans toutefois rien dévoiler. Elle comprend parfaitement mon manège et suit sans protester.
Tu cherche à les exciter ? Regarde les roder autour de nous, on dirait des vautours. Ils attendent de voir comment tu va me caresser.
Tu penses ! Ils doivent croire qu’une fille qui vient dans un cinéma porno est forcément une salope qui veut se faire voir et même toucher. Ils ne voudraient pas perdre l’occasion dès que tu la leur offriras.
Mais je ne veux rien leur offrir ! C’est toi qui es en train de les exciter en me caressant pour les faire bander. Seulement, tu m’excites aussi, je crois que je commence à mouiller. Bon, c’est vrai que ça ne me déplait pas de savoir qu’ils attendent pour me voir jouir.
Ça tombe bien. C’est toi que je veux exciter, il faut bien s’amuser un peu, ce film est lamentable. Je t’ai déjà vue faire beaucoup mieux !
Pendant que sur l’écran l’une des deux coquines s’agenouille devant ses deux copains et entreprend de les prendre tour à tour en bouche, je constate sans surprise qu’un jeune marin, plus hardi que d’autres, vient s’asseoir à côté de mon adorée, tandis que deux autres hommes, nettement plus âgés, se placent juste devant nous. C’est curieux car la place ne manque pas ailleurs. Maintenant, ils ne regardent plus beaucoup l’écran, mais très franchement ma main qui s’égare sur des rondeurs encore cachées.
Tu as vu ? Tu fais recette. Ils se rapprochent pour mieux te voir au cas où tu voudrais leur montrer quelque chose. Ils espèrent que tu vas leur donner un peu de spectacle, meilleur que sur l’écran, en tout cas.
Tu crois ? Mais nous sommes sages. Tu m’embrasses comme tu le faisais à vingt ans et tu n’ouvres même pas mon corsage!
Il faut que je l’ouvre ? Tu veux être un peu moins sage ? C’est vrai qu’il y a longtemps que tu ne t’es pas montrée.
Tu as fait de moi une salope, j’ai envie de me montrer et toi tu as envie que je me montre. C’est pour ça que nous sommes entrés! Ne me dis pas le contraire. Seulement, si tu commences à me caresser, ils vont vouloir faire pareil, surtout ce jeune qui s’est assis à côté de moi.
Et alors ? Tu y vois un inconvénient ? Je pense que je n’aurai même pas à t’entreprendre. Ce jeune marin à côté de toi ne va pas tarder à vérifier si tu es partante. S’il te touche, laisse le faire. Les deux autres suivront.
Tu vas encore me faire faire la pute ! Dans un cinéma ?
Pourquoi pas ? Après tout c’est un cinéma cochon. Une fille qui vient ici a forcément envie de se dévergonder un peu. C’est comme au Bois, dès qu’ils t’ont vue, tous ces mecs ont eu envie de te voir à l’uvre.
Ce sera nouveau pour moi et peut-être plus excitant que ce navet. Tu as vu ? L’actrice ne sait même pas sucer comme il faut !
Tu vas peut-être leur montrer comment faire mieux. Tu es d’accord ? Alors, laisse faire.
Je me remets à embrasser ma chérie en la tenant au creux de mon bras, ce qui lui permettra de me raconter discrètement ce qui se passe plus bas. Son voisin a bien compris que si je parais me désintéresser de lui et ignorer ses regards interrogateurs, c’est que j’accepte de lui offrir ma compagne. Très vite je la sens se raidir un peu, on doit la toucher.
Chéri, ça y est, il vient de poser sa main sur ma cuisse et il me caresse doucement.
Sur ta jupe ? Elle est assez ample et ne risque pas de le gêner. Laisse faire, si tu ne dis rien, il va comprendre que tu es d’accord et passer dessous. Raconte-moi ce qu’il te fait.
Il descend. Il est sur mon genou. Il passe dessous, il remonte, il caresse le dedans de ma cuisse
Ecarte bien les cuisses pour qu’il comprenne qu’il peut y aller franchement et monter un peu plus haut.
Une soudaine pression du genou de ma chérie contre le mien me prouve qu’elle m’obéit à la lettre et vient d’ouvrir grand le compas de ses jambes.
Oh le salaud ! Il a bien compris qu’il peut y allerChéri, ses doigts sont sur mon slip. Le cochon me masse le minoula honte ! Il doit bien voir que mon slip est mouillé et que je suis en train de jouirIl passe ses doigts dessous, il est dans ma fourrure. Tu veux que je le laisse encore faire ?
Tu fais comme tu veux, je te laisse libre mais tu sais bien que ça me plait de te voir jouir. Et s’il te fait du bien, n’aie pas peur de le laisser voir. Regarde les deux gars de devant, ils se retournent sans arrêt pour voir ce que tu fais et se régalent de te voir t’agiter sous la main de ton copain.
C’est presque un gosse, mais il sait y faireSon doigt glisse entre mes lèvresIl me branleJe mouille déjàIl m’astique le clitoça glisse bien j’ai le con tout baveuxje crois qu’il va me faire jouirc’est bon !
La houle qui saisit son bassin sur son siège ne peut plus tromper personne sur ce qu’elle ressent. Les mouvements du bras du jeune marin et la disparition de sa main sous la jupe de ma chérie ne laissent d’ailleurs à nos deux voisins de devant aucun doute sur ce qu’il fait, d’autant qu’elle commence à s’agiter sérieusement. Puisque tout le monde ne demande que ça, autant voir, et faire voir, ce qui se passe: je relève donc lentement la jupe de ma coquine jusqu’à sa taille pour mieux l’exhiber à tous, sans qu’elle tente le moindre geste pour m’en empêcher. La main de son voisin glissée dans son slip apparaît à mes yeux et à ceux des voisins de devant franchement retournés. Exhibitionniste comme je la connais, Marie doit prendre au moins autant de plaisir à se voir dévoiler et caresser en public qu’à la caresse elle-même. La main qui la fouille se montre pourtant très efficace à en juger par les mouvements de hanches de ma belle.
Tout en l’embrassant, ce qui a l’avantage d’étouffer ses gémissements, je déboutonne totalement son corsage et l’ouvre pour découvrir une poitrine dont les tétons érigés débordent des balconnets. L’un des deux types de devant ne peut faire moins que d’y porter une main pour pincer doucement le bout d’un sein tandis que son voisin s’empare de l’autre. Le jeune marin, voyant que nous sommes tous complices, vient d’ouvrir sa braguette, en extirpe un membre de belle taille et prenant la main de ma douce la pose sur lui.
Ils vont finir par me faire gueulertrois mecs pour me branler devant toij’aime çaje suis une vraie chienneil a posé ma main sur sa queueil veut que je le branle, je peux ?
Bien sûr, et tu vas me branler en même temps !
Je ne peux faire moins que d’ouvrir ma braguette et sortir ma bite pour occuper son autre main. Ses deux mains se referment sur les deux dards et les branlent sans plus se faire prier. Tout le coin de la salle doit se rendre compte de ce qui se passe et mate le spectacle discrètement. Branlée au con et pincée aux seins, mon adorée jouit sans discontinuer en secouant spasmodiquement les deux pines qu’elle tient en main, toujours bâillonnée par mes baisers. Je prends le risque de libérer sa bouche pour me pencher vers son oreille.
D’habitude tu es moins passive avec les mecs qui te branchent et tu sais mieux les remercier du plaisir qu’ils te donnent. Il ne te plaît pas ce jeune ? Tu ne veux pas le pomper ? Ça doit être délicieux, une jeune bite comme la sienne. Demande-lui si ça lui ferait plaisir, mais il ne dira pas non.
Ici ? Tu es fouTais-toi… Je jouis trop Et ces deux malades qui me tirent les pointesC’est dingue de se faire caresser en public, tu ne peux pas savoir combien ça m’excite de savoir que tout le fond de la salle voit que je me fais tripoter Je suis prête à tout, je suis ta puteje ferai tout ce que tu voudras.Mais laisse-moi partir d’abord, c’est trop bon Il est tout jeune et j’ai bien envie de lui S’il continue comme ça, je le remercieraiouiiii
Et fermant les yeux, elle se laisse aller à fond sous la caresse multiple et se tord bientôt sur son siège. J’ai bien du mal à étouffer ses gémissements sous mes baisers. Elle retombe bientôt, apaisée, les pointes toujours agacées par les mains qui ne les ont pas quittées. Le jeune comprend qu’elle s’est trop donnée pour poursuivre ses caresses et attire à nouveau sa main vers la queue qu’elle a lâchée pour mieux savourer son plaisir: il attend visiblement qu’elle lui rende la pareille. Pour moi, je préfère remballer mon outil.
Il fond sous ma main, sa queue est toute mouillée Tu veux me voir le pomper ? Il va vraiment me prendre pour la pute de service !
Mais non, tu ne vas pas le faire payer ! Vide-le puisque tu en as envie. Il est à toi !
Elle se penche vers le jeune gars, au grand regret de ses titilleurs de pointes qui doivent lâcher prise, et lui murmure quelque chose. Je le vois ouvrir de grands yeux étonnés et acquiescer. Ma pute jolie, gênée par l’accoudoir qui l’empêche d’atteindre directement sa cible, s’agenouille alors entre les sièges et se courbe vers lui pour emboucher sa queue en une splendide pipe. Elle l’avale à gorge profonde, sous les yeux exorbités des deux voyeurs du rang de devant, le laisse ressortir presque entièrement de sa bouche pour venir titiller le gland d’une langue agile avant de le renfourner à nouveau jusqu’aux bas du manche, le nez perdu dans ses poils. Ce genre de traitement n’est pas supportable très longtemps et je vois vite le minet se raidir au moment où ma vorace lui vide totalement les couilles pour déguster son jus jusqu’à la dernière goutte avant de lui permettre de se retirer.
Le zèbre doit avoir une vigueur incroyable parce qu’il se penche vers moi pour me demander si je veux bien qu’ils aillent baiser dans les toilettes, sans même demander l’avis de mon épouse chérie, traitée en esclave et fort occupée à s’essuyer les lèvres. Non, je ne veux pas ! Il y a quand même des limites et on ne va pas baiser une bourgeoise dans les chiottes comme la dernière des putes, devant tous les spectateurs qui iront voir en procession comment elle se fait enfiler. Marie se rajuste donc et nous regardons très dignement la fin du film. Nos voisins comprennent que la récréation est finie et ne tardent pas à nous quitter.
De retour chez nous, nous faisons le point en faisant l’amour. Marie me confirme qu’elle a bien bu jusqu’au bout le marin qui avait su l’émouvoir, ce dont je m’étais bien rendu compte en ne voyant rien ressortir de ses lèvres. Elle a parfaitement entendu qu’il me demandait de la lui prêter pour aller la baiser et a eu un instant de panique. S’exhiber en public et se laisser caresser jusqu’à exploser de plaisir, oui ! Mais pas encore se faire monter par n’importe qui !
Elle a été heureuse de constater combien je tenais à elle, ce que j’ai prouvé en refusant de la livrer à une étreinte qu’elle aurait jugée dégradanted’autant qu’au point où elle en était, elle n’aurait peut-être pas su dire non, mais m’en aurait voulu par la suite. Nous nous comprenons trop bien et notre complicité est trop parfaite pour que j’aie pu faire ou laisser faire ce faux pas impardonnable. Nous ne reviendrons pas de longtemps au cinéma dans de telles conditions. Mais il est vrai que ma chérie ne demande qu’à aller encore plus loin et qu’il va falloir la satisfaire en poursuivant une éducation que je juge encore bien… incomplète.