Ile avaient décidé de se rendre dans un nouvel établissement de la ville voisine. Restaurant, bar, dancing dédié au Tango et à la culture et cuisine argentines. Tout un programme. Sur place, le restaurant faisait belle figure et la nourriture se révéla savoureuse. Le tango était omniprésent et les serveurs faisaient office de taxi driver après le repas dans la salle de danse ou on pouvait aussi boire un verre.
Son mari n’était pas le danseur émérite mais ils s’amusèrent à tenter quelques tangos portes par l’effervescence de cette musique et par les couples qui tentaient leur chance avec plus ou moins de succès.
Au bout de 30 minutes, Michel passa la main à leur serveur descendu à son tour pour faire danser les dames. Marie n’était pas volontaire mais Michel insista pour qu’elle danse au moins un vrai tango une fois dans sa vie. Et puis Pablo était jeune, beau, et argentin.
L’heure qui suivit vu un enchantement. Pablo était un danseur accompli, galant et attentionné. Et Marie, encouragé par son mari, ne voyait pas le temps passé dans les bras puissants de son cavalier.
Vers minuit et demi, Marie fit remarquer à Michel que l’heure tournait et qu’il fallait rentrer pour la Baby Sitter. Michel lui dit qu’il aimerait beaucoup apprendre le tango et partit discuter quelques minutes avec Pablo. Quand il revint, il était tout sourire.
— Pablo est d’accord pour venir à la maison après son son service pour poursuivre la soirée et me donner un cours.
Ils attendirent donc encore 30 minutes que le restaurant ferme ses portes pour repartir à 3 vers Leur domicile, Pablo étant en transport.
— Je te raccompagnerai lui affirma Michel.
A la maison, il commença d’ailleurs par raccompagner la Baby Sitter pendant que Marie installa Pablo sur le canapé et chercha quelques tangos sur son Ipad. Et ils reprirent la danse. La main de Pablo se repositionna derrière son dos pour la conduire dans cette danse si particulière. Il était ensorcelant tellement il dansait bien. Elle s’abandonna contre sa poitrine de fatigue et d’émotion.
Michel rentra et la discussion redémarra sur "comment bien danser le tango". Le maître était excellent mais l’élève bien piètre. Malgré les efforts de Pablo, Michel ne parvenait pas à se relâcher et à ressentir la musique. Marie et Pablo dansèrent encore ensemble. Le champagne aidait les organismes à tenir.
Vers 2 heures, ils firent une pause canapé, Marie contre son mari à boire une autre coupe. Michel caressait négligemment la cuisse de sa femme par dessus sa robe et l’atmosphère s’électrisa. Pablo s’éclipsant aux toilettes, Michel en profita pour rouler une pelle à sa femme. Un baiser profond. Fort. Qu’elle lui rendit immédiatement.
— Il te plait ?
— Il faudrait être difficile pour qu’il ne me plaise pas
— Tu as envie de lui ?
-Non, j’ai envie de toi.
— Oui, mais il reste ou il s’en va.
— Ce serait cruel de le laisser repartir tout seul. Tu as promis de le raccompagner….
— Donc il reste car je ne me vois pas prendre le volant. Et on verra bien….
Marie ne protesta pas. Quand Pablo revint, ils rebutent une coupe. Stéphane continuait à caresser Marie. Il l’embrassa devant Pablo.
— Vous voyez Pablo, les français ne savent pas danser mais ils savent embrasser…
— Les argentins ont aussi ce talent vous savez Michel….
— Ah ah, cela ressemble à un défi que je pourrai gagner peut être. Cherie, pour mon honneur de mâle et pour la science, acceptes tu que Pablo t’embrasse passionnément ?
Marie sembla troublée mais accepta. Elle alla se blottir dans les bras de Pablo qui lui caressa la joue, les cheveux les épaules. Michel se rapprocha. Pablo posa doucement ses lèvres sur celles de sa femme pour un baiser d’abord tendre puis appuyé. Il ouvrit ses lèvres et titilla de sa langue celles de Marie qui ouvrit sa bouche à son tour et accepta le baiser. Torride. Pablo embrassait comme il dansait et ses mains parcourait son corps en même temps.
— À moi reprit Michel et lui aussi se mît à l’ouvrage.
Marie était subjugué par cet exercice qui n’avait plus rien d’innocent et qui l’excitait même au plus au point. Elle accepta un second essai. Pablo la reprit dans ses bras et pendant qu’il l’embrassa, son mari en profita pour lui caresser les jambes jusqu’en haut de ses cuisses, sous la robe. Il effleura même son petit slip et la limite de son sexe. Juste assez pour savoir qu’en effet, Marie était excitée.
— A mon tour réclama le mari. Pablo, je vous ai aidé en caressant les jambes de ma femme.. J’exige que vous fassiez de même.
Le jeune argentin ne se fit pas prier et pendant que Michel embrassait sa femme tout en lui caressant le dos puis les seins, celui ci releva la robe pour lui caresser les jambes, les genoux puis les cuisses. Imperceptiblement, Marie se laissa aller sur le canapé pour écarter légèrement les cuisses. Pablo prit cela pour une invitation et glissa sa main sur le slip en dentelle.
Marie gémit de plaisir. Son clitoris était érigé et fort sensible. Et son slip trempé depuis longtemps maintenant. Michel encouragea Pablo du regard et celui ci passa son doigt sous le slip. Marie frémit de ce contact.
— A Pablo de t’embrasser. Il continuera comme cela ce qu’il a commencé.
Au bout de 5 minutes, Pablo avait mis sa main en entier dans le slip de Marie et après de douces caresses sur son clitoris, il l’avait tout naturellement doigté d’un puis 2 doigts. Marie était au bord de la jouissance. Et les 2 garçons au taquet.
— Si on continuait la haut. Nous serons mieux pour poursuivre ce concours et nous départager.
Le prétexte de rejoindre la chambre conjugale était parfait et les 3 amants se retrouvèrent la-haut et à l’initiative de Michel tous en sous-vêtements.
Marie se faisait embrasser par Michel quand Pablo lui retira son slip et vint positionner sa bouche sur son sexe. Les cuisses grandes ouvertes, elle se laissait aller au plaisir de ce baiser, enivrée de champagne, de tango et obnubilée par la bosse qui déformait le caleçon de son jeune étalon argentin
Excitée, elle caressait,e sexe de son mari. Puis celui ci vint lui offrir sa queue pour se faire sucer. Elle l’engloutit avec passion. Pablo arrêta de la lécher et retira lui aussi son caleçon.
Décidément, cet homme était parfait et les dimensions de son sexe turgescent impressionnantes. Quand marie posa ses mains dessus, les 2 ne suffirent pas à totalement le recouvrir et il semblait que cette verge grossissait au fur et à mesure que ses mains se rapprochaient de ses testicules.
Ce fut Pablo qui la pénétra en premier. Si son gland était en effet de la taille de celui de son mari, la queue de Pablo s’élargissait au fur et à mesure pour remplir son vagin comme jamais. Pablo prit son temps pour que la pénétration soit presque totale, soit près de 20 cm inséré. Une fois qu’il sentit sa partenaire prête, il commença doucement à aller et venir dans son sexe qu’il sentait chaud et particulièrement humide. Marie était au Nirvâna. Des la pénétration, elle avait ressenti mille sensations nouvelles et surtout se sentait parfaitement rempli. Son vagin distendu était devenu le centre de tout son corps et elle eu un premier puissant orgasme en moins de 2 minutes.
Pablo ressorti de son sexe pour laisser la place à son mari. Celui ci, super excité par la scène et l’orgasme violent de sa femme, la position à en levrette pour la pénétrer vaginalement à son tour. Le sexe de Pablo était à portée de bouche aussi Marie commença à lui lécher la hampe, le gland, fascinée par cette jolie queue si puissante et si douce à la fois
Elle sentit que son mari jouissait à son tour. En elle. Elle suça de plus belle son amant. Qui a son tour, reprit sa place entre ses cuisses et la refit jouir une seconde fois en lui faisant l’amour avec ce mélange de force et de douceur.
Ils firent une pause. Son mari lui demanda si elle avait envie de continuer et de tester Pablo sur une petite sodomie. Marie ne pensait qu’à cela. Son corps frémissait à l’idée de sentir cette queue longue et épaisse lui pénétrer les fesses. Elle hocha donc la tête positivement et son mari la pénétra en premier en ayant pris soin d’enfiler un petit préservatif avant
— Tu pourras me sucer comme cela quand Pablo te défoncera le cul…
Pendant qu’elle caressait le sexe de Pablo, son mari la pénétra doucement avec tout son savoir faire et le plaisir monta très vite. Elle en profita pour regoûter la verge de son argentin.
Au bout de quelques minutes de plaisir partagé, Michel incita Pablo à prendre sa place. Il positionna sa femme en levrette et tandis que Pablo dirigeait doucement son sexe vers l’anus parfaitement préparé à cela. Michel retira son préservatif et présenta sa queue à sa femme.
Elle attendit. Le gland de Pablo vint buter sur son anus et la pénétra sans difficulté. Centimètre par centimètre, elle sentit la queue de Pablo se frayer un chemin et lui remplir les fesses. Quand elle sentit les poils pubiens de son amant lui chatouiller les fesses, elle sut qu’il était totalement figé en elle. Et la bouche grande ouverte, elle se jeta sur la queue de son mari. Qu’elle abandonna très vite pour pouvoir profiter pleinement de cette puissante pénétration : elle n’avait jamais ressenti cela auparavant.
Le sexe énorme de son amant lui labourait littéralement le corps sans brutalité mais avec force. Elle sentait cette queue presque ressortir pour replonger de nouveau entre ses fesses. Le diamètre impressionnant de son sexe au plus près des testicules lui donnait un sentiment d’abandon total. Elle avait joui très vite des les premiers mouvements et sentait de nouveau le plaisir monte tandis que son jeune amant semblait inépuisable….
Quand Pablo jouit en elle, elle explosa dans un 4ème orgasme fulgurant. Son mari lui demanda d’ouvrir sa bouche et elle accepta l’offrande de son sperme.
Les 3 amants étaient comblés.
Pablo prétexta au bout de quelques minutes la nécessité pour lui de rentrer car il bossait le lendemain midi au service du Dimanche et Michel lui appela un taxi. Il était presque 5 heures ils avaient fait l’amour plus de 2 heures. Marie s’endormit dans les bras de son mari. Comblée.
Ils revirent Pablo. Michel fit quelques progrès en tango. Mais c’est dans leur chambre qu’ils prirent tous 3 régulièrement beaucoup de plaisir pendant quelques mois. Pablo repartit en Argentine et les souvenirs de ces moment se extase accompagna le couple dans les années qui suivirent. Comme une parenthèse enchantée.
