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Ma femme avide est un objet sexuel – Chapitre 1




Ma femme Laura 44 ans, est une belle plante comme disent mes amis. Moi, pas très porté sur le sexe, je dois admettre et consentir à ses dérives extra conjugales. Depuis le début de notre mariage, elle accumule les aventures amoureuses, de nombreux amants et amantes défilent à la maison. Maintenant, je commence à m’y faire, je prends même du plaisir à la voir jouir dans d’autres bras. L’après-midi touche à sa fin, elle rentre accompagnée d’un couple d’une cinquantaine d’années, suivi de leur fils tout juste majeur, elle les a rencontrés à une terrasse de café.

Ils ont passé la journée à la terrasse à boire et discuter, à la longue, elle a fini par les convaincre de venir chez elle. Elle me présente ses proies, en ironisant.

Tu vas te régaler de les voir jouer avec mon corps, mon cochon voyeur, j’espère que tu vas bander comme un cerf !

Je rougis, et me dis qu’ elle n’a pas besoin de m’humilier devant des inconnus. Ils se rendent à la salle de bain puis reviennent quelque temps plus tard, entièrement nus, elle les fait asseoir dans le salon. Les inconnus sont mal à l’aise de se retrouver nus assis à une table avant de commencer les ébats, qui s’annoncent torrides. Laura leur offre un verre, elle adore s’exhiber, elle ondule dans la pièce, la garce sait jouer des hanches, elle relève ses seins avec ses mains, les soupèse en riant, elle se penche en avant et offre à la vue de tous ses son fessier charnu, elle écarte ses fesses pour que l’on admire son illet brun. Elle tient la pose et dit :

J’espère que vous ne l’oublierez pas lui, vous verrez comme il est brûlant, il peut recevoir de gros diamètre !

Les trois invités ravalent leur salive, le père et le fils commencent à avoir une érection, la mère écarquille les yeux puis comme une gourmande, passe sa langue sur ses lèvres charnues. La tentation est trop forte, la femme avec son air de sainte-nitouche, eh bien c’est tout le contraire, elle se lève et s’approche de ma femme, elle lui passe ses mains sur les fesses, en tâte la texture puis insère dans la raie culière deux doigts, elle taquine l’illet avec le majeur, le porte à sa bouche, l’humidifie puis le replace sur l’anus qui palpite encore du précédent attouchement. Elle pousse légèrement, la première phalange s’enfonce comme aspirée par le rectum, ma femme pousse un petit cri, elle agite sa croupe doucement. Satisfaite de l’initiative de la femme, elle lui saisit la main et pousse pour que le doigt s’enfonce davantage.

La femme pousse un :

Oh ! de surprise puis ajoute :

Je vois que Madame est gourmande, elle va être comblée, car mes deux mâles qui vont lui éclater le cul !

Avant de retirer son doigt, elle ramone sauvagement le conduit étroit. Ma femme se redresse, elle fait face à la femme, l’enlace et pose ses lèvres sur les siennes, les langues se nouent, les salives se mêlent, comme d’un commun accord, les mains glissent sur les fesses, les caresses écartent les lobs, et remontent sur le dos, les ongles griffent les peaux laiteuses. Les lèvres se séparent, la femme s’écarte et regarde les hommes, elle fait un signe de tête, les deux s’approchent de Laura. Le jeune et face à ma femme le père derrière, il se plaque contre les fesses et frotte sa queue bandée dans la raie, à chaque mouvement sa queue cogne l’anus, il joue à faire tourner son gland sur la rondelle ridée, ma femme glousse de bonheur. Le jeunot s’agenouille, ma femme écarte instinctivement les jambes, il écarte les grandes lèvres et gobe brutalement le clito.

Il l’aspire si fort que ma femme pousse un cri, elle grimace, la succion est terrible, elle appuie sur la tête du suceur en grognant de plaisir. La femme elle, prend entre ses doigts ses mamelons épais, les tourne, les écrase, les étire, ma femme pâme de bonheur. Le jeune avale la cyprine qui déborde de la chatte de Laura, sa langue s’enfonce dans le puits et le fouille longuement. Laura pousse des gémissements de bête blessée, elle se cabre et hurle de jouissance. Le jeune se relève, saisit une jambe de ma femme et la lève à hauteur de sa taille et la tient fermement contre sa hanche. Sa mère lui prend la queue d’une main, et la dirige vers la chatte trempée.

Un petit coup de reins suffit pour que le pieu s’enfonce jusqu’aux couilles. Ma femme se cabre, elle agite son bassin pour que l’empalement soit total. Le père ne reste pas inactif, il offre sa queue à sucer à sa femme, qui souriante avale le gland violacé, elle le suce comme une sauvage, sa bouche monte et descend sur la hampe gorgée de sang. La bite a quasiment doublé de volume, elle est impressionnante avec les veines apparentes. La femme recrache la bite énorme et la pose contre l’anus de ma femme, l’homme s’accroche aux hanches et donne un violent coup de reins. Laura pousse un cri bestial, elle fait une grimace atroce.

Oh putain le cochon, il me casse le cul !

Elle a l’impression que les deux queues sont dans le même orifice tellement la paroi qui les sépare et fine. La femme donne une bonne claque sur les fesses de son mari, c’est le signal. Les deux se démènent comme deux beaux diables, les queues qui coulissent dans les entrailles de ma femme la font délirer.

Oui oui démontez, cassez-moi les trous, déglinguez-moi plus fort mes salauds !

Les couilles velues des baiseurs claquent sur la chatte et sur les fesses de la soumise. Moi j’ai sorti ma bite et la branle de plus en plus fort, je serre les dents, mes yeux sont braqués sur le trio. La femme retire ma main et met la sienne à la place, elle me branle comme une dératée, à chaque descente de son poignet, sa main frappe mes couilles, elles vont éclater, je grogne dans mon fauteuil, la femme accélère, je me cabre, la salope gobe mon gland et le suce tout en continuant de me branler. Je gicle avec force dans sa bouche gourmande. Elle continue de me branler, du sperme s’échappe de sa bouche, enfin, elle lâche ma queue et avale la crème épaisse avec des hum de délectation. Ma femme savoure le démontage violent de ses orifices, les coups des deux béliers sont puissants, elle geint à chaque fois que les pals s’enfoncent en elle.

Elle se cabre se bloque et pousse un râle terrible, elle jouit si fort que sa tête bascule de droite à gauche, un filet de bave s’écoule à la commissure de ses lèvres, ses yeux sont révulsés, une moue hideuse déforme son visage. C’est le père qui se vide le premier, ses giclées puissantes remplissent le fondement de ma femme qui est en transe. Le fils se raidit et envoie tout ce qu’il a dans les couilles, la chatte déborde de sa semence épaisse et gluante. Les deux s’acharnent encore un instant avant de libérer ma femme.

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