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Histoires d'un mâle alpha – Chapitre 21




Elle portait une minirobe moulante violette courte et ouverte entre ses seins, et des escarpins à talons. Je l’ai reluquée de haut en bas. Elle me souriait et s’adressa à moi avec un petit ton espiègle.

— Bonjour Isaiah, entre, je t’en prie.

Je lui répondis sur le même ton :

— Bonjour Madame Bertin, merci.

Je lui passais devant en la frôlant, elle se raidit. Elle ferma la porte derrière elle.

— Veux-tu quelque chose à boire ?

— Non merci Madame Bertin.

— Je t’avoue être un peu embêtée Isaiah, tu es un de mes, voire le meilleur de mes élèves, qu’allons-nous bien pouvoir faire pendant ce cours particulier ?

Elle avait dit cela en s’approchant de moi et posa la main sur mon torse :

— Peut-être reprendre les choses là où nous les avons laissées hier matin ?

— Cela me semble être une très bonne idée.

Je l’embrassais, elle se collait à moi, une jambe relevée derrière elle, mes mains empoignaient son cul. Puis elle se glissa contre moi et s’accroupit, elle sortit ma queue.

— Mmmmmm elle m’avait manqué.

Elle a commencé à me sucer, je lui sortais les seins de sa robe, ses grosses mamelles qui me faisaient tant envie. Je les massais, alors que Claire enfournait ma pine dans sa bouche ; elle suçait très bien et n’oubliait pas mes couilles dont elle semblait se délecter. Je l’ai relevée pour lui retirer sa robe, elle était juste en string, j’ai embrassé ses mamelles, puis je lui ai roulé de grosses pelles.

— Tu me fais faire le tour du propriétaire ?

— Volontiers mon chéri.

Elle me prit par la main. Je lui mis une fessée. Elle gloussa.

— La cuisine.

Je me suis déshabillé à mon tour avant de lui retirer son string, trempé. Je l’ai embrassée puis soulevée pour l’asseoir sur la table. Je me suis accroupi et j’ai commencé à la lécher. Sa chatte était entièrement épilée, magnifique, brillante de mouille, de belles lèvres charnues comme il faut et un clito saillant. J’ai joué avec ma langue, et l’ai doigtée, elle se cambrait sur la table. De l’autre main je lui massais les seins, pinçais ses tétons. Elle gémissait de plaisir, m’encourageant à ne surtout pas arrêter. Je l’aspirais puis appuyais mon visage contre elle. Je m’en couvrais de mouille. Elle était délicieuse. Après quelques minutes de ce traitement, elle se contractait et jouissait. Elle cria. Et se relâcha complètement. Je me penchai sur elle pour l’embrasse, elle passa ses bras autour de moi et me garda sur elle.

— Tu es délicieuse Claire.

— Comment un mec de ton âge peut faire ça aussi bien.

— Tu voudrais que j’apprenne deux trois trucs à ton mari ?

— Je pense qu’il aurait plus que deux ou trois trucs à apprendre de toi bébé.

— On va vérifier ça tout de suite. On poursuit la visite ?

Elle souriait, je l’ai portée et gardée contre moi, ses jambes autour de ma taille, on avançait en s’embrassant, ma queue butait contre sa chatte et ses fesses.

— Entre là. C’est le bureau.

— Ah parfait ! Au travail !!

Je la posais sur le bureau, presque vide, lui écartais les cuisses et la pénétrais doucement. Je voyais son visage s’épanouir à chaque centimètre de plus en elle.

Je tenais ses jambes tendues écartées, ses seins ballottaient sur elle, le spectacle était magnifique, je m’enfonçais de plus en plus loin et de plus en plus vite en elle. Elle hurlait de plaisir. Je lâchais une jambe pour masser sa poitrine, et jouer avec son clito tout dur.

Je collais ses jambes l’une contre l’autre et la faisais pivoter un peu ; je la repénétrais comme ça. Elle était bien serrée sur ma queue. Je sentais qu’elle ne tarderait pas à jouir, j’écartais de nouveau ses jambes et me collais tout contre elle pour la baiser. On s’embrassait quand elle fut envahie par un deuxième orgasme. Elle ne se retint pas de crier son plaisir.

— Ahhhhhhhhhhhh, oh putain, oh putain, ahhhhhhh, ouiiiiiiiiii.

Je restais enfoncé en elle et tournais au fond de sa chatte. Lui déchirant un second orgasme coup sur coup. Elle fondait autour de moi, ses mains agrippées à mon corps.

J’allais la soulever pour la prendre dans une autre pièce, elle me retint :

— Attends Isaiah, il me faut quelques secondes là, s’il te plaît.

— OK ma belle.

J’ai grimpé sur le bureau, me suis positionné au-dessus d’elle, ma queue juste sur son visage.

— Goûte ta mouille sur ma queue.

— Mmmmmmmmm.

Elle a ouvert la bouche je lui ai mis ma pine et ai commencé à lui baiser la bouche. Elle semblait apprécier le traitement, elle gémissait de nouveau et commença à se caresser.

Je l’emmenais poursuivre la visite. On se trouvait assez vite dans leur chambre.

— La chambre…

— Le lit est solide ?

— Il n’a jamais connu les assauts d’un taureau comme toi mais je pense oui…

— On va voir ça.

Je l’ai soulevée et posée à quatre pattes sur le lit. Elle s’est naturellement cambrée et tournait la tête, prête et offerte. Je l’ai prise en levrette, la tenant par les cheveux, je lui mettais des fessées, elle en redemandait, se cambrant à fond pour son étalon. Je lui caressais la chatte par-dessous, et sa main prenait le relais sur son clito et sur mes couilles. Je l’ai pilonnée à fond en posant mes mains sous ses seins. J’ai filmé cette magnifique levrette sur mon portable, avant de placer mes mains sur ses fesses. Je les pétrissais tout en défonçant sa chatte dégoulinante. Je l’ai peu à peu plaquée sur le lit et l’ai chevauchée ainsi de longues minutes jusqu’à lui procurer un nouvel orgasme, plus puissant que les précédents. Elle m’a supplié de la faire jouir encore et encore. Je déteste ne pas obéir à une femme ah ah. J’ai continué les va-et-vient jusqu’à me vider en elle. Les jets puissants l’ont secouée.

Je me suis allongé sur le lit à ses côtés, nos corps en sueur, elle est venue tout contre moi, m’a embrassé et m’a repris en bouche.

— J’aime trop ta queue Isaiah.

— Je sais ma belle.

Après quelques minutes de pause, à discuter et rire, elle m’a emmené au salon. Je me suis vautré dans le canapé et elle s’est empalée sur ma queue raide. Je léchais ses seins pendant que mes mains sous ses fesses la faisaient sauter sur ma bite. Elle se la prenait tout au fond et en redemandait. J’ai lâché ses fesses et elle s’est mise à danser sur ma queue. Elle était sublime ainsi. Je l’ai fait jouir encore une fois puis elle s’est jetée sur ma queue. Moi assis confortablement et elle à genoux entre mes jambes mon sexe dans la bouche, elle ma sucé et branlé comme une folle, puis glissa ma queue entre ses obus et me branla jusqu’à me faire jouir sur ses gros seins. J’ai poussé un long râle puissant, symbole de ma satisfaction. J’étais bien. Et elle en était heureuse. Elle a léché ma queue, l’embrassait, la collait sur son visage. Je me pris à rêver que son mari nentre à ce moment-là.

Je la regardais, elle était belle avec ma semence sur ses gros seins.

— Dorénavant, et je donnerai les mêmes consignes à Anne-Sophie, je veux que chaque matin tu t’habilles en pensant à moi, pour me faire plaisir. Et je veux aussi que tu ailles t’acheter de la lingerie et tenues sexys que tu ne porteras que pour moi. C’est compris ?

Elle me regardait en souriant, pleine de désir :

— C’est compris mon Roi.

— Bien, maintenant écris à Anne-Sophie, dis-lui que les cours particuliers sont une réussite.

— D’accord mais approche.

Elle a pris son téléphone, je suis venu près d’elle. Claire a pris une photo de ma queue contre son visage et l’a jointe au message à Anne-Sophie :

— « Premier cours particulier rempli de succès et de promesses, c’est une réussite, il ne faut pas qu’on se relâche, Isaiah est un tel potentiel… »

Je l’ai embrassée.

— Dis donc Claire, tu ne m’as pas montré la salle de bain ?

— Mmmmm mais tu es infatigable… mais tu as raison. Tu me suis.

Elle s’est levée et m’a entraîné dans la salle de bain. Elle était spacieuse, comme tout le reste de la maison, et comportait une baignoire assez grande, en rond, et une douche.

— On prendra un bain une autre fois.

Je l’ai entraînée dans la douche et l’ai baisée debout. On a joui ensemble lorsque je me suis vidé en elle. Nous sommes restés collés l’un contre l’autre, en s’embrassant, sous la douche.

En partant, elle m’a embrassée à nouveau :

— Je n’ai jamais connu ça Isaiah. Merci.

— De rien ma belle. Et n’oublie pas ce que je t’ai demandé.

— Promis.

— Et la prochaine fois, je veux ton cul.

— Mmmmmmm

J’allais partir, elle m’a montré son téléphone qui venait de vibrer. Anne-Sophie lui répondait :

— Ohhhh superbe photo, bravo. Je tâcherais d’être à la hauteur dimanche.

Je l’ai embrassée et suis sorti.

Une fois à la maison j’ai pris un bain, me suis relaxé. Je faisais le point sur ces deux premières semaines qui étaient pleines de satisfactions. Je réalisais qu’on était déjà vendredi demain, et que le matin on devait faire l’élection des délégués. Je n’avais aucun intérêt pour cela, si ce n’est que Greg allait se présenter. Il fallait que je décide ce que j’allais faire pour l’empêcher de l’être.

Plus tard, j’étais dans la pièce que j’avais aménagée en salle de sport au rez-de-chaussée, lorsque j’entendis mon père et Catherine rentrer. J’étais en short cycliste, torse nu, chaussettes et chaussures de sport, j’ai fini mes exercices et les ai rejoints. Ils buvaient un verre sur la terrasse. Catherine était superbe, robe fleurie largement décolletée et sandales à talons.

— Ah salut, ça va ?

— Salut mon fils, oui et toi ?

— Très bien !

— Bonjour Isaiah.

— Bonjour Catherine. Très jolie robe.

— Oh merci, tu es gentil.

— Vous restez là ce soir ?

— Oui, si ça ne t’embête pas.

— Du tout, au contraire. Suis tout seul ce soir.

J’avais dit ça avec un faux air triste qui les a fait rire.

— Ça ne doit pas arriver souvent…

Catherine avait dit ça presque avec un air coquin.

— Je vais juste prendre une douche rapide, ça sent fort le mâle ici.

Je n’ai pas pris de douche, me suis en boxer maillot de bain et je suis redescendu.

— J’ai changé d’avis, je vais piquer une tête. Vous venez ?

— Ah oui, bonne idée.

— Je n’ai pas pris de maillot.

— Tu veux que j’aille t’en chercher un ma chérie ?

— Oh, merci mon amour, oui volontiers.

Carl s’est levé. Je l’ai rattrapé dans l’entrée :

— Prends-lui le plus sexy de ses maillots.

— Pardon ?

— Tu m’as entendu.

Il baissa les yeux et alla le chercher. J’ai piqué une tête sous l’il de Catherine. Elle était assise sur une chaise longue, je suis sorti de l’eau et me suis planté juste au-dessus d’elle.

— Alors, tout roule pour vous deux, j’ai l’impression.

— Oui, tout va très bien. Ton père est un petit amour.

— C’est un amour et il est petit en effet.

— À tes côtés beaucoup sont petits, non ?

— C’est vrai (je matais ouvertement son décolleté). Cela dit vous avez des arguments qui seraient à la hauteur…

Elle n’osait rien dire. Carl est revenu.

— Et voici ma chérie.

Il lui tendait un bikini.

— Oh, mais il ne fallait pas prendre celui-ci.

— C’est le premier que j’ai trouvé mon amour.

— Je vais aller en chercher un autre.

Elle se levait en disant cela. Je fusillais mon père du regard.

— Mais non, voyons, ne t’embête pas, il te va à ravir.

— Oui, je sais cela, je sais qu’il me va à ravir, mais je ne suis pas très décente dedans.

— Ah, mais si c’est pour moi Catherine, ne t’embête pas, je ne reste pas. Allez je vous laisse.

Je suis rentré dans la maison, monté dans la chambre. Elle s’est changée dans le pool house et en est ressortie en bikini. Je l’observais de la fenêtre de la chambre. C’était un bikini motif léopard, le haut bandeau les deux morceaux sur les seins reliés par des liens croisés si bien que l’on voyait quand même bien l’intérieur de ses seins, et le bas était un micro string. Elle était bandante. D’ailleurs je commençais à bander. Je suis donc redescendu. Elle était allongée sur la chaise longue et Carl dans l’eau quand je suis revenu à la piscine.

— Tu ne te baignes pas ?

Elle a sursauté.

— Mais ?

— J’ai changé d’avis. Je vais plutôt rester.

J’avais dit cela avec un large sourire. Elle rougissait. Son regard, irrémédiablement attiré vers le bas, descendait vers mon boxer. Je bandais.

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