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Claire ma nièce – Chapitre 5




-Tonton, prends ton appareil photo, je veux que tu me prennes en photo. Je veux avoir un souvenir de ces journées passées avec toi.

En moi-même, je me dis que jaurais dû y penser, mais faire des photos de ma nièce, tels que jimagine quelle veut les faire, me parait un peu osé.

-Tu crois que cest bien raisonnable ? Quel genre de photo veux-tu faire ?

-Des photos tout ce quil y a de plus classique, portraits, buste, plein pied, en situation.

-Ok, mais dans quelle tenue.

-Habillée voyons tonton. Encore quon pourrait aller plus loin, mais ce nest pas la priorité.

-Ok, jamène lappareil.

Au bout dun peu plus dune heure et demie, je suis de retour. En franchissant le seuil de la maison, je vois Claire dans son bureau, nue. Elle est sur internet.

-Tu regardes quoi sur internet dans cette tenue ?

-Je suis sur un site de textes érotiques, mais ne ten fais pas, cest en fait assez soft. Je leur ai envoyé un texte décrivant ma première fois et ils me lon refusé sous prétexte que cétait trop hard. La description de mon dépucelage et de mon ressenti était trop précis.

-Comment as-tu trouvé un site érotique, il faut le vouloir.

-Tout à fait par hasard, cest en cherchant une tenue sexy pour une soirée un peu chaude quorganisait Julien que je suis tombé sur ce site. Les histoires mont plu, et depuis jy vais de temps en temps, surtout depuis que Julien ma laissé tomber. Je me masturbe en lisant les récits érotiques et ça maide à prendre mon pied.

-Décidément, tu métonneras toujours. Je ne savais pas que tu participais à des soirées chaudes.

-Cétait avec Julien, il est un peu branché cul. Mais ça na jamais dépassé le stade du flirt un peu poussé, je naurais pas accepté, je ne suis pas échangiste.

-Mais dis donc, tu as réussi à venir de ta chambre à ton bureau, tu peux donc te déplacer.

-Oui et non, je tiens plus ou moins sur mes jambes, mais elles ne peuvent pas trop bouger, jai mis pratiquement un quart dheure pour faire les six mètres qui séparent ma chambre du bureau. Jai évité au moins dix fois la chute. Mais cest bon, je progresse, cest tout ce qui compte.

-Très bien ma chérie, je vois que tu prends le côté positif des évènements.

-Cest ce que tu narrêtes pas de dire, ne voir que le côté positif des évènements.

-Oui, mais peu de gens le font et voient surtout les côtés négatifs de leur vie. Bon, il est presque midi, que veux-tu manger ?

-Toi.

-Arrête tes conneries, je suis sérieux, il faut que tu manges normalement.

-Qui a-t-il de plus nutritif que la liqueur de vie ?

-La liqueur de vie ?

-Ton sperme tonton, cest une merveilleuse liqueur de vie.

-Arrête tes conneries, je suis sérieux, il faut manger, on verra après, mais pour linstant tu dois manger, linfirmière vient te faire ta piqure à quatorze heures. Tu ne vas pas la recevoir à poil quand même.

-Pourquoi pas si je suis dans mon lit.

-Non, comment étais-tu habillée quand elle est venue lundi.

-En chemise de nuit.

-Ok, tu la reçois en chemise de nuit, sinon je quitte la maison et tu te démerdes.

-Et que va dire papa ?

-Je men fou, advienne que pourra, mais je ne veux pas quon jase sur toi. Tu ne connais pas cette infirmière, elle est peut être très prude et tu risques de la choquer.

-Excuses moi tonton, ok on fait comme tu veux, je mettrai ma chemise de nuit, bien quelle ne cache pas grand-chose.

-Oui, mais quand elle est venue lundi, tu étais avec la garde malade, je veux que ça reste comme dhabitude.

Elle me tend les bras pour que le la prenne, elle menlace, ses yeux sont pleins de larmes prêtes à jaillir. Elle pose sa tête sur mon épaule. Je la serre dans mes bras, jai le cur près à exploser, encore une fois, je suis ensorcelé par son charme, sa beauté, sa fraîcheur.

-Ne ten fais pas, je serai toujours là pour toi ma chérie.

-Tu me le promets.

-Oui, tu pourras toujours compter sur moi, jusquà la fin de ma vie.

-Merci mon tonton chéri, je taime tu sais, mais pas comme une nièce, comme une femme aime un homme.

-Non, tu crois maimer après tout ce qui sest passé, mais en réalité, tu aimes ce que je tai fait. Je vais te parler crûment, mais en fait tu aimes ma bite, mes mains, ma bouche, ma langue et ce quelles te procurent. Le jour où tu rencontreras un lhomme qui te feras chavirer, pour qui tu donnerais ta vie, ce jour-là tu aimeras un homme comme une femme peut aimer un homme.

-Oui tonton, tu as raison, mais pour linstant cest toi que jaime.

Je ne veux pas continuer cette conversation, cest peine perdue, je dois faire contre mauvaise fortune, bon cur, je mécrase et lattire vers moi. Elle se serre encore plus contre moi. Je lentraine dans le couloir. Nous arrivons dans sa chambre, elle peu de distance parcourue la fatigue et je la couche. Je lembrasse et quitte la pièce. Le fait de lavoir enlacé par la taille, de sentir son corps bouger entre mes bras ne ma pas laissé indifférent. Je deviens dingue, je ne vais pas tomber amoureux de ma nièce, cest impossible, contre nature, impensable.

Je lui prépare un léger repas et lui amène dans sa chambre. Je lassoie sur son lit pour quelle puisse manger à laise. Elle est là, devant moi, nue, son plateau repas sur les cuisses et mange avec appétit en me racontant des histoires de cul.

-Doù tu sors ces histoires ?

-Je les trouve sur le site sur lequel jétais tout à lheure, jaime bien lire des histoires érotiques, il y en a pour tous les goûts, tu nas jamais essayé ?

-Si, je connais ce site, mais je trouve les histoires un peu fades, ça manque un peu de sexe pour moi. Aller, fini de manger ton assiette, je vais te chercher un peu de glace pour le dessert.

-Merci tonton, tu sais toujours ce qui peut me faire plaisir.

Elle a à peine fini de manger, je viens juste de lui enfiler sa chemise de nuit que la sonnette retentie. Cest linfirmière qui est un peu en avance. Je vais ouvrir, je tombe sur une jeune femme très jolie, denviron vingt-cinq ans, souriante avec des yeux presque incolore tellement ils sont clairs. Elle est habillée très légèrement dun short assez court et moulant et dun haut noué sous ses seins apparemment libres. Ce nest pas tellement une tenue dinfirmière, cest plutôt un appel au viol, mais avec cette chaleur, cest explicable.

-Bonjour mademoiselle.

-Bonjour monsieur, Marie-Jo nest pas là ?

-Elle a eu un léger accident de voiture hier, je la remplace au pied levé.

-Ce nest pas grave jespère.

-Non ne vous en faites pas.

-Claire est prête ?

-Bien sûr, elle est dans sa chambre, je vous laisse, vous connaissez le chemin.

Elle passe devant moi, se dirige vers la chambre en ondulant de ses fesses moulées dans son short. Elle a une démarche divine, et je pense quelle le sait et en abuse. Je vaque à mes occupations pendant que linfirmière soccupe de Claire. Quelques minutes plus tard, elle sort de la chambre.

-Vendredi vers quatorze heures, cela vous convient ?

-Parfaitement, en ce moment Claire ne peut pas faire grand-chose.

-Oui, la pauvre, cest bien malheureux, être clouée dans son lit à son âge.

-Oui.

Je pense en moi-même quelle serait surprise de voir ce que Claire peut faire dans son état. Je raccompagne linfirmière et viens rejoindre Claire. Elle a réussi à enlever sa chemise de nuit et sest redressée sur son lit. Elle est adossée au mur, les jambes écartées. En la voyant, jai un coup au cur mais je ne laisse rien transparaitre.

-Dis donc tonton, que penses-tu de la « pruditée » de cette infirmière ?

-Ça va, mais ce nest toujours pas une raison pour la recevoir nue.

-Et bien vendredi, je la recevrais nue, que tu le veuille ou pas. Je ne sais pas pourquoi, mais jai limpression quelle a un comportement spécial avec moi. Je veux en être sûr.

-Tu fais comme tu veux, cest ta vie. En tout cas, je vois que tu fais des progrès. Cest bien, mais tu aurais pu attendre que je revienne, je taurais aidé.

-Non, il faut que je le fasse moi-même. Viens tassoir à côté de moi tonton. Je veux connaitre dautres choses de lamour.

-Chérie, tu ne crois pas que tu exagères, on ne va pas passer notre temps à faire lamour, il y a dautres occupations

-Oui, bien sûr, mais en ce moment je veux profiter de toi tant que je peux, je sais quune fois samedi arrivé, plus rien ne sera possible entre nous, la vie va reprendre son cour. Viens à côté de moi sil te plait, mais dabord, déshabilles toi.

Je ne peux pas lui résister, je menfonce de plus en plus dans une galère inextricable, mais dun autre côté, je ne fais rien pour lempêcher. Je me déshabille et viens me serrer contre elle. Elle pose sa tête sur mon épaule.

-Jaime ta peau tonton, elle est encore douce. Mais surtout, cest ta langue que je préfère. Tu peux lutiliser encore, jen ai trop envie.

-Claire, tu vas me rendre fou. Je vais finir par avoir une « langue elbow »

-Jespère bien te rendre fou de moi. Vas-y tonton, mange-moi le minou.

Elle se dévergonde de plus en plus. Je me positionne entre ses cuisses ouvertes, pose mes lèvres sur son pubis et la lèche à grand coup de langue. Je vais de sa vulve au mont de vénus. Elle se cambre, mais nétant pas installée confortablement, elle me demande de lallonger sur le lit. Une fois installée, je lui relève les jambes pour les plier de chaque côté et les écartant au maximum et je reprends mon investigation de son entre-jambe, mais cette fois-ci je vais de lanus au mont de vénus en passant par le périnée, la vulve, les lèvres et le clitoris. Son ventre se déchaine, elle ondule en poussant de petits soupirs, cest nouveau ça, elle sexprime de plus en plus en faisant lamour. Elle secoue sa tête de gauche à droite, avance son ventre à la rencontre de ma bouche. Je suis de plus en plus excité, je bande dur. Elle pose ses mains sur la tête et me tire vers le haut. Je remonte son corps en lembrassant sur toutes les parties que je rencontre, pubis, ventre, nombril, seins, cou pour finir sur sa bouche en même temps que mon sexe pénètre le sien. Je mimmobilise, je suis bien, mon corps sur un magnifique corps de femme, ma bite au chaud dans un gant de velours humide. Je pose ma tête sur son épaule gauche en restant immobile.

-Oui mon tonton chéri, je te sens, reste comme ça, laime tant te sentir en moi. Jaime tant faire lamour avec toi.

Elle me caresse les fesses, les malaxe, les pinces et les soupèse en glissant un doigt entre elles. Je sens que je vais débander et commence un mouvement de va et vient, dabord court et lent pour samplifier et accélérer.

-Oui tonton, oui, continu.

Je suis au paroxysme de lexcitation quand elle métrangle littéralement avec ses bras autour du cou, se raidi et jouit en poussant à mon oreille un long râle sourd et profond. Je ne résiste plus, je me vide en elle. Je suis anéanti par la jouissance, je mécroule sur elle. Elle menlace de ses bras.

-Oui mon tonton, reste sur moi, jaime sentir ton corps sur le mien.

Je reste un bon moment sur elle sans bouger à apprécier ce contact divin. Je fini par me dégager, elle somnole. Je me lève, lui resserre les cuisses, pour quelle ai une position décente, et reste assis à côté delle à la regarder sendormir doucement. Sa respiration se ralenti, son visage resplendi de bonheur, elle est bien, calme, rassasiée, à priori heureuse de ce qui lui arrive, ce qui nest pas tout à fait mon cas. Je fini par me lever et aller prendre une douche. Je passe laprès-midi à aller faire un complément de courses, à consulter mes mails et à régler quelques problèmes de travail au téléphone.

-Tonton, jai besoin de toi.

A suivre

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