Louna donne une leçon.
C’est une grande pièce. Autour de la table il y a la cuisinière qui prépare le repas et deux hommes. Une des bonnes nettoie une énorme casserole dans l’évier.
Le Comte m’amène devant la cuisinière et lui dit, "Ce petit poison a frappé ma fille! Je veux que vous lui donniez une bonne fessée, Marthe. Ensuite, pendant le reste des vacances elle sera une bonne et elle sera traitée comme les bonnes, Non, plus durement! Punissez-la autant que vous voulez, sans l’abîmer."
J’essaye encore, "Mon oncle… je vous en prie…."
Il me regarde durement en disant, "Il n’y a plus de mon oncle! Ma femme et moi, nous sommes Monsieur le Comte et Madame la Comtesse, les adultes Monsieur ou Madame. Les jeunes, tu les appelleras Monsieur ou Mademoiselle suivi de leur prénom. Tu as compris?"
En tremblant, je dis, "Oui… Monsieur le Comte, mais…"
Il se tourne ver Marthe.
Elle se lève, les deux hommes aussi. J’en déduis bêtement que les fessées ne doivent pas être rares ici.
Marthe m’attrape par un poignet et me bascule sur ses cuises. Un homme vient tenir mes poignets et l’autre, mes chevilles.
Marthe baisse ma culotte de la main gauche tandis que de la droite, elle prend une grande cuiller en bois.
Elle dit, "Combien de coups Monsieur le Comte?"
Il se tourne vers sa fille, "Combien ma chérie?"
Elle répond nonchalamment, "Vas y Marthe, je te dirai, quand arrêter."
"Bien, Mademoiselle Alicia. C’est parti!"
Et… claaac, la grosse cuiller atterrit sur mes fesses.
Aaaaiiie!!! La douleur est beaucoup plus forte que je ne l’imaginais!
Marthe frappe fort et rapidement.
claaac!! Aaaaiiie!!! claaac!!! Aaaaiiie!!! claaac Aaaaiiie!!!
claaac!!! Aaaaiiie!!!
Entre deux coups, j’essaye bien de supplier, mais c’est impossible tellement les coups sont rapides, claaac Aaaaiiie!!! claaac!! Aaaaiiie!!! claaac!! Aaaaiiie!!!
claaac!! Aaaaiiie!!! claaac!! Aaaaiiie!!!
Je balance mes fesses dans tous les sens comme pour me débarrasser de la brûlure qui les embrase!!!
L’homme qui tient mes chevilles ne doit plus avoir aucun doute sur le fait que je suis une fille!!
Enfin Alicia dit, "Arrête, un moment, Marthe."
En sanglotant, je lui dis, "Pitié, "Mademoiselle Alicia, ça fait trop mal."
Elle rit, "Bien sur que ca fait mal, c’est fait pour ça!"
Du doigt elle suit la ligne qui sépare les fesses, des cuisses, en disant, "Encore quelques coups ici, Marthe, comme ça, elle pensera à moi chaque fois qu’elle va s’asseoir pendant quelques jours."
Et c’est reparti, claaac!! Aaaaiiie!!!
claaac!! Aaaaiiie!!! claaac!! Aaaaiiie!!! claaac!! Aaaaiiie!!!
claaac!! Aaaaiiie!!!
Je remue les fesses et la tête, mais il m’est impossible d’échapper à l’averse de coups avec les hommes qui me maintiennent.
Enfin, Marthe s’arrête, essoufflée.
Je sanglote, j’ai l’impression que mon derrière est en enfer et que le diable y enfonce sa fourche.
"C’est bon.", dit Alicia. Puis à moi, "Tu a quelque chose à me dire Louna…"
On me remet sur mes pieds, puis à genoux devant elle. En gémissant, je lui dis, "Pardon, 1000 fois pardon, Mademoiselle Alicia, je…"
"Embrasse mes pieds!"
Je me prosterne devant… mon ennemie et j’embrasse ses pieds nus.
Elle me dit, "Tu vas aller nettoyer la merde de la piscine, si c’est mal fait, tu auras droit à une autre fessée, mais plus sérieuse cette fois-ci."
Elle se tourne vers Mia, la bonne, "Tu es responsable, va avec elle…Ensuite…"
On sort tous… Je n’ai pas osé ramasser la culotte qui est tombée tandis que je me débattais. J’ai juste le soutien gorge du maillot.
Le Comte va vers le château, tandis qu’Alicia, Mia et moi on va à la piscine.
J’ai un franc succès avec mes fesses couleur du drapeau japonais. Les filles s’esclaffent. "Ouah ça va bien à son cul le rouge!" "On dirait une guenon en chaleur!"
Trop marrant!!
Sous la surveillance de Mia, je mets à genoux et… je prends la merde avec les doigts pour mettre dans un morceau de journal qu’elle me donne. ça pue!!! Je prends tout ce que je peux… mis ça colle sur la pierre. Mia, va à genoux demander un peu d’eaux auprès d’Alicia… Elle revient avec fond de verre de champagne, oui, les filles sont au champagne. Elle a aussi deux kleenex. Je mouille un peu les traces qui restent et frotte avec les kleenex. ça finit pas être propre, à part de légères traces brunâtres… mais je n’ai plus de champagne pour les enlever mieux.
Mia lui dit, "Elle a finit, Mademoiselle Alicia."
Elle se lève en disant, "On va vérifier."
Les filles viennent voir aussi.
Alicia… met son pied devant une trace en disant, "Tu vas lécher, ça et je veux voir de la salive sur le sol!"
Mais comment peut on traiter quelqu’un – de sa famille – comme ça…
Comme j’hésite une seconde de trop à son goût, elle dit à Mia, "Demande…"
Je ne veux pas savoir la suite, je lèche la trace devant son pied!
Poahh le goût est léger mais ignoble : de la merde…
Et puis les autres filles mettent leur pied devant d’autres légère trace.. "Ici!" "Et, là"
Je lèche… Pour finir, je gémis, "j’ai plus de salive, mademoiselle Alicia, je vous en prie, je…" je me mets à pleurer.
"Putain, quelle chialeuse!", dit Alicia. Puis elle dit à Mia, "Dis à Marthe de la mettre au coin, qu’elle réfléchisse a ce qui arrive quand on me frappe."
"Oui, Mademoiselle Alicia."
"Et sans ce rincer la bouche!"
On retourne à la cuisine. Mia explique ce que j’ai du faire. ça fait rire tout le monde bien sûr! Elle ajoute, "Mademoiselle Alicia, demande que vous la mettiez au coin."
Marthe me montre un pan de mur à coté de la cuisinière en disant, "Tu te mets la, à genoux, les mains croisés derrière la nuque, le nez qui touche le mur. Si tu bouges, je recommence à jouer de la batterie sur ton cul."
A nouveau, ça fait rire tout le monde. Ils sont si gentils… tous!!!
Je reste un temps incroyablement long à genoux.
Les hommes font quelques fines plaisanteries sur la couleur de mes fesses… Puis ils parlent d’autre chose.
Je crois que je vais m’évanouir, non, je souhaite de tout coeur, m’évanouir.
Pour finir, c’est Mia, la bonne, qui dit, "Pardon Madame Marthe, mais vous ne croyez pas que… que la fille…"
"Ah oui!" dit Marthe, "Je l’avais complètement oubliée celle-la. Emmène-la dans ta chambre et donne-lui un uniforme. Ce soir elle regardera comment on sert à table."
Puis, elle s’adresse à moi, "Lève-toi."
Je me relève en chancelant, mes fesses me font terriblement souffrir, mes épaules et mes genoux aussi.
Mia me prend par le bras et m’amène dans sa minuscule chambre
Elle me dit, "Tu t’es attaqué à la fille chérie du Comte!"!
Je soupire, "J’ai mal… Mademoiselle Mia.".
Elle rit, "Mais non, pas de Mademoiselle Mia avec moi, tu m’appelles Mia et tu me tutoies. Allonge-toi sur le lit… sur le ventre."
Elle me met délicatement une crème apaisante sur les fesses.
"Tu vas voir ça va aider, moi j’emploie ça chaque fois."
"Vous… tu es fessée souvent."
"Oui, mais aussi fort… et puis, je te dirai comment amadouer Marthe."
Mia c’est la seule personne humaine et même compatissante, ici, je me blottis contre elle en pleurant…
Elle me caresse la tête en disant, "La, la… ça va aller."
La pommade atténue un peu le feu qui me brûle le derrière.
Mes épaules me font beaucoup souffrir, 2 h les bras levés c’est une torture. Ces gens sont des vrais tortionnaires!
Je lui dis, "Ils t’ont aussi fait ça?"
"Une fois au début, ensuite on obéit à n’importe quel ordre pour ne pas que ça recommence."
Elle me donne aussi 2 cachets d’anti-douleur et un petit verre d’une bouteille d’alcool, planqué dans un coin de sa chambre.
Elle dit, "On doit s’habiller, il ne faut pas qu’on soit en retard."
Elle n’a que deux uniformes, heureusement, on a presque la même taille. Les uniformes ne ressemblent en rien à des vêtements de soubrettes de Vaudeville.
C’est une robe noire, à manche courte rehaussée d’un bord blanc. Un tablier blanc, une petite coiffe ridicule en dentelle et des chaussures plates. Le tout ayant été porté par pas mal de servante. Le simple frottement du tissu sur mes fesses me fait bondir!! Je ne mets pas de culotte, je n’en ai pas à part le culotte de mon maillot qui est resté dans la cuisine.
Je lui demande, "Tu crois que je pourrais aller dans ma chambre chercher mes affaire."
"Oh non, à ta place je ne m’y risquerais pas! Obéis et surtout ne prends pas d’initiatives!"
Elle me lave le visage avec un peu d’eau. Mes yeux sont rouges et terriblement gonflés…
Elle me tire soigneusement les cheveux en arrière et me fait une queue de cheval, en disant "C’est la seule coiffure permise aux bonnes."
Demain, je dirai à ma mère ce qu’ils m’ont fait et je quitte cette… prison de gré ou de force!
Elle me dit, "Tu es mignonne comme ça, malgré tes yeux rouges."
C’est gentil… Je lui dis, "Toi aussi…." Et c’est vrai, même sans maquillage et les cheveux tirés, on est plus belles que ces petites salopes, qui font comme si tout leur était permis… euh, oui, tout leur est permis!
Je ne quitte pas Mia d’une semelle. On va à la cuisine.
Il y a de nouveau plusieurs personnes autour de la table.
Marthe dit à Mia, "Changement de programme, ils sortent ce soir."
Moi je suis restée près de la porte, peureusement et je ne bouge pas.
Marthe me regarde, "Tu en fais du cinéma pour une petite fessée."
Je réponds, "Pardon, Madame." Petite fessée!!!
Elle dit, Relève ta jupe et fait le tour de la table qu’on voit ton gros derrière tout rouge!"
Je regarde Mia, affolée. Elle lève ma jupe, la coince à ma taille et puis me prends par la main pour faire le tour de la table. Les hommes admirent le travail de Marthe et bien sûr tout le monde veut toucher mes fesses. Je pleurniche chaque fois pas top fort monsieur ou mademoiselle."
Heureusement ils font doucement. Il y a un qui dit, "Bravo, Marthe, on pourrait faire cure un oeuf dessus." Seule une des bonnes me pince les fesses, je fais un bond en criant."
Ça amuse tout le monde!
Quand j’ai fait le tour de la table, je pleures dans mes mains.
Marthe dit, "Allons bon tout ça pour une petite fessée!"
Tu parles!! Si, c’était son cul!
Mia lui dit doucement, "Je crois, qu’elle a eut beaucoup d’émotions aujourd’hui, Madame Marthe."
Elle soupire, "Ouais", puis à moi, "Une bonne fessée, c’est la bonne manière pour que les bonnes filent doux comme Mia."
"Oui, Madame."
"Tu ne veux pas t’asseoir un peu avec nous?"
Je pousse un petit cri, "Oh non, Madame."
Ça fait rire tout le monde.
"Bon, pour ce soir, tu peux filer."
Mia caresse l’épaule de la cuisinière, "Je vais la mettre au lit, et je reviens…"
Marthe pose sa main sur la sienne, "Vas-y, ma chérie."
Ma chérie??? Décidément, tout est bizarre, ici.
Mia prend du pain, un bout de saucisson, du fromage et on monte.
Dans l’escalier, elle me dit, "Tu sais on a intérêt à être bien avec Marthe. Alors, s’il faut la câliner pour ça, je n’hésite pas."
Si c’est pour éviter une punition, je n’hésiterai pas… non plus.
Dans la chambre, je mange et je bois un peu, puis je me déshabille et je me couche dans le petit lit.
Je lui dis, "Je voudrais que tu restes avec moi. J’ai peur!" Elle sourit et dit, "Je remonte bientôt" et elle me donne un baiser… sur la bouche.
Le 3 juillet.
Je n’entends pas Mia, revenir, tellement, je suis épuisée.
Je me réveille tôt. Mia est contre moi dans ce lit minuscule. Elle est nue, moi aussi… On est collantes de transpiration, il fait chaud…
Je revis en pensée la pire journée de ma vie!! Vite que je prévienne ma mère, cette fois-ci, elle ne me laissera pas tomber. Je veux juste partir!
Mes fesses sont toujours douloureuse…. un peu moins, quand même.
Un réveil sonne! Il est 7 h. Mia se réveille. Elle me dit, "Bonjour.", et me donne un baiser… sur la bouche. J’essaye de l’embrasser un peu mieux, mais elle esquive en riant, "On a pas le temps pour les câlins."
Dommage, car… Oui, appelons un chat, un chat, j’aime les filles… Mes compagnes, mes profs, les passantes, les actrices, les voisines, les vendeuses…
Mia se lève. Elle a de très jolies fesses avec ce qui me semble être un branding, une marque au fer rouge. Surprenant!!
Toujours le dos tourné, elle me dit, "Je dois te prévenir de quelque chose, à propos de ma chatte."
Elle se retourne et me la montre. Oooh… les lèvres sont très grosses et longues, peut être 5 à 6 cm, son clitoris, sûrement 4 cm. Le tout est surprenant et très… obscène.
Mia est toute rouge, "Elle me dit, si tu savais comme j’ai honte d’avoir "ça" entre les jambes!"
Pauvre! J’essaye de la consoler, "Mais c’est beau je te jure et très excitant, approche…"
Elle fait un pas et je fais un gros baiser sur sa… grosse chatte!
Elle dit, "Tu es gentille, je suis contente que ça ne te dégoûte pas, c’est Monsieur le Comte qui a voulu ça…"
Je la regarde stupéfaite, "Ce n’est pas de naissance?"
Elle m’explique en termes presque médicaux, "On a fait gonfler les grandes lèvres, en injectant de la graisse prise dans mes fesses. Pour le clitoris, on a pratiqué l’ablation du capuchon et on l’a gonflé aussi. Ça excite le Comte et ça donne à la femme beaucoup de sensations, mais c’est… obscène, on dirait la vulve d’une vache."
Elle a les larmes aux yeux.
Je la console, "Mais non, je te jure ça surprend, mais c’est très excitant."
C’est un peu vrai, qu’elle a un peu l’air d’avoir une vulve de vache, mais c’est très excitant, aussi.
Tout à coup je pense à quelque chose, je lui dis, "Tu étais d’accord pour qu’on te fasse ça?"
Elle hausse les épaules et pousse un gros soupir, "On ne m’a pas demandé mon avis."
Puis, elle ajoute, "Dépêche-toi."
En descendant les escaliers, elle me dit, "Fais tout comme moi, sois très polie, obéis! Si on veut te faire dire quelque chose sur moi, tu le dis et moi aussi. On ne doit jamais discuter."