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Sperme contre loyers impayés – Chapitre 2




Quelques jours avaient passé depuis que Natacha avait bu pour la première fois le sperme de son propriétaire. Comme il s’y était engagé, aucune lettre d’expulsion ne lui était parvenue, pas plus que de relance pour lui demander de payer son dû. De cette manière, il lui était maintenant possible de se concentrer sur le remboursement de ses autres prêts et retrouver ainsi un semblant d’équilibre.

Elle avait longtemps repensé à cette soirée où sa bouche vierge avait été déflorée par le sexe tendu d’un quasi inconnu. Elle qui n’avait jamais connu que des rapports classiques dans le noir, le choc avait été assez considérable. Malgré sa répugnance pour le gout salé et acre de la semence qui lui avait rempli la bouche, elle était pleinement consciente qu’il lui faudrait à nouveau en boire à de nombreuses reprises pour que l’arrangement perdure.

Soudain, le téléphone sonna. Elle décrocha et reconnu immédiatement la voix de son propriétaire.

— Bonjour Natacha, ça fait un moment que je ne t’ai pas vue. Comment vas tu ?

— Euh… Bien, je vais bien.

— As tu soif depuis tout ce temps ?

Elle avait senti le changement dans l’intonation de sa voix, et savait bien qu’il était nécessaire de rentrer dans son jeu.

— Oui, effectivement, j’ai un peu soif…

— Et que préfères tu boire pour te désaltérer ?

— Je… Euh…J’ai envie de…

— Oui ?

— J’ai envie… de boire… du sperme.

— Boire quoi ? Du sperme ou mon sperme ?

— Euh, votre sperme, j’aimerais boire votre sperme…

— Parfait. Ça tombe bien, je crois que j’ai les couilles largement assez pleines pour te rassasier. Je passerai à vingt heures ce soir. Sois complètement nue quand tu viendras m’ouvrir.

Le temps avait passé, et il était maintenant presque l’heure du rendez vous. Natacha s’attendait à tout instant à entendre retentir la sonnerie. Pour être prête à l’accueillir ainsi qu’il l’avait demandé, elle n’avait gardé que son string et son soutien gorge. Le tissu était tendu par ses fesses rondes et ses seins fermes. Le carillon tinta et son cur fit un bond dans sa poitrine.

Elle dégrafa prestement son soutien gorge et le fit tomber au sol. Puis elle fit glisser son string le long de ses jambes, et termina intégralement nue. Elle se dirigea vers la porte, et après avoir vérifié à l’illeton qu’il s’agissait bien de son propriétaire, elle ouvrit la porte et le fit rentrer dans la pièce.

— Ah je vois que tu es bien dans la tenue que je t’avais demandée…

Il restait debout et détaillait le corps de la jeune femme, son regard s’attardant sur sa poitrine, descendant vers son sexe ombré d’un léger duvet. Il tourna autour d’elle pour admirer sa cambrure et le galbe de ses fesses.

— Tu es sacrément bien gaulée, j’ai la bite qui gonfle rien qu’à te regarder… Enlève mon pantalon et mon caleçon…

Natacha s’accroupit pour délacer ses chaussures et les retirer, puis elle déboucla la ceinture de son pantalon et le fit descendre au sol. Le caleçon du propriétaire était déjà largement déformée par une érection en plein développement. D’un mouvement brusque, il l’ôta lui même et son sexe dressé pointa à la hauteur du visage de la jeune femme qui était restée accroupie.

Elle voyait distinctement la hampe veineuse qui se balançait légèrement, le gland gonflé où perlait déjà une goutte de liquide, et les gros testicules légèrement velus pendant entre les jambes.

— Je t’ai amené du bon jus pour te désaltérer, j’espère que tu as toujours aussi soif…

Il s’avança de quelques centimètres et commença à frotter son sexe dans les cheveux bruns de la jeune femme, attrapant plusieurs boucles pour se masturber lentement. Quelques gouttes continuaient à perler du bout de sa verge, collant des mèches au visage de Natacha.

— Lèche bien mes réserves de bon jus, et sois douce !

Elle tendit la langue et effleura la première couille pendante, qui se rétracta sous la caresse. Puis elle tourna légèrement la tête pour lécher l’autre. Au bout d’un moment, les deux testicules avaient légèrement durci, et étaient mouillés de salive. Le propriétaire gémissait, et sa verge tendue roulait sur le front de Natacha.

Soudain il se retourna, et elle se douta de ce qu’il allait lui demander… Il se pencha un peu et elle se retrouva le visage devant son postérieur. Elle voyait parfaitement son anus, et un peu plus bas les couilles qui pendaient…

— Tu sais ce que j’aime ce que tu fais si bien, alors ne reste pas plantée là…

Fermant les yeux, elle commença à lécher alternativement l’anus palpitant et les couilles de l’homme qui continuait à gémir. Heureusement il se redressa assez rapidement, la verge toujours tendue.

— Allons dans ta chambre, et allonge toi sur le dos…

Elle s’exécuta, et sentit des mains lui écarter les jambes. Elle gardait les yeux fermés, sentant soudain le contact d’une bouche sur son sexe découvert. Le propriétaire frottait sa bouche sur les lèvres de sa chatte, pendant que ses mains pétrissaient ses fesses.

— Elle sent magnifiquement bon, ta petite chatte, j’adore !

Il pointait maintenant sa langue et léchait la vulve, se concentrant parfois sur le clitoris, tout en salivant beaucoup. Personne n’avait jamais léché le sexe de Natacha jusqu’à maintenant, et cette toute nouvelle sensation lui provoquait comme des ondes électriques dans le bas ventre. Mais subitement le propriétaire se redressa.

— Bon, je suis quand même pas là pour te lécher, mais pour t’éviter la déshydratation. On verra ça une autre fois…

S’approchant, il frotta son sexe sur sa vulve, provoquant chez elle un mouvement de recul.

— Rassure toi, ce n’est pas pour aujourd’hui, mais ça viendra. En attendant ne bouge pas, sinon je pourrais simplement me rhabiller et partir…

Il poursuivit quelques instants son frottement, en amenant parfois son sexe sur l’orifice de ses reins, ce qui faisait frémir la jeune femme. Puis, soupirant subitement, il se leva et fit le tour du lit.

Natacha était toujours sur le dos. Il l’attrapa par les aisselles et la tira vers le bord du lit de manière à ce que son corps soit entièrement sur le lit, toujours sur le dos, mais sa tête pendant maintenant dans le vide. Il se positionna alors debout au dessus d’elle. Natacha se retrouvait la tête entre ses jambes, juste sous ses couilles, et sa verge pointait vers les seins de la jeune femme.

Il fléchit un peu ses jambes, et elle dut à nouveau lui lécher longuement les couilles, tout en ayant une vue en gros plan sur son anus. Pendant ce temps, le propriétaire lui pétrissait les seins, et se penchait parfois pour les lécher. La position était inconfortable car elle devait redresser la tête à l’horizontale, et sa nuque lui faisait un peu mal.

Puis le propriétaire se recula un peu, en lui intimant l’ordre de laisser pendre sa tête en arrière. Jambes écartées et légèrement fléchie pour être à la bonne hauteur, il posa son gland sur les lèvres de Natacha, qui ouvrit sa bouche pour laisser entrer la verge sur-tendue. Se tenant toujours aux seins de la jeune femme, il commença des mouvement des va et vient de plus en plus rapides, sortant quasi complètement pour réinvestir d’un coup au plus profond la cavité buccale sans défense. Pendant ce temps, les couilles cognaient contre le nez et le front de la jeune femme, qui suffoquait et essayait tant bien que mal de reprendre son souffle à chaque fois que le sexe palpitant ressortait de sa bouche.

Au bout d’un temps qui lui parut très long, il se retira de la bouche accueillante.

— Tu me fait bien monter le jus, je crois que je ne vais pas tarder à t’envoyer une sacrée rasade !

Natacha reprenait son souffle. La salive coulait sur son visage et ses cheveux étaient collés à son front. Le propriétaire fit le tour du lit et tira sur ses pieds pour ramener sa tête sur le lit. Il positionna deux coussin sous sa nuque pour lui redresser le visage, puis s’installa à califourchon sur elle, sa verge placée entre ses seins.

— Sers toi de tes mains pour serrer ma bite entre tes seins…

Natacha s’exécuta, et le propriétaire commença à donner des coups de bassin pour faire coulisser sa verge entre les deux globes de chair douce et chaude. Au plus loin, son gland s’écrasait sur les lèvres de la jeune femme.

— Ouvre la bouche et lèche mon gland !

Bouche ouverte et langue tendue, Natacha caressait le gland à chaque va et vient, faisant frémir le propriétaire à chaque contact, tout en comprimant la verge entre ses deux seins serrés. De plus en plus de liquide coulait sur ses lèvres et son menton.

— Tu vas me faire gicler !

Il se tendit brutalement et un premier jet jaillit. La semence épaisse s’écrasa sur la langue tendue de la jeune femme. Le second jet, plus puissant encore, atterrit directement dans son il droit, commençant à couler le long de son visage. Plusieurs autres giclées vinrent frapper ses lèvres, sa gorge et ses seins. A nouveau, la quantité de sperme gluant était considérable, et la pauvre Natacha était littéralement trempée des seins au front.

Elle n’osait pas bouger, et restait bouche ouverte, maculée, la langue tapissée de sperme qu’elle sentait couler peu à peu au fond de sa gorge.

— C’est le moment de te désaltérer, après tout c’est pour ça que je suis là !

Fronçant les sourcils, la jeune femme ramena sa langue souillée dans sa bouche, et avala difficilement le liquide acre et visqueux. Pressant son sexe de la racine vers la pointe, le propriétaire fit perler au bout de son gland une grosse goutte de sperme supplémentaire, qu’il vint déposer sur les lèvres de Natacha.

— Lèche toi les lèvres pour ne rien gaspiller !

Elle passa sa langue sur ses lèvres pour les nettoyer du jus qui les maculait. Le sexe du propriétaire, repu, devenait rapidement moins ferme. Il frotta sa verge à moitié molle sur les seins et la gorge de Natacha pour récupérer le sperme qui s’y trouvait, puis le présenta à la jeune femme.

— Nettoie moi la bite avec ta langue, qu’elle soit bien propre et qu’on soit certain de n’avoir rien gaspillé…

La jeune femme pris le sexe en bouche, et fit rouler sa langue autour. Elle sentait sa taille diminuer rapidement, et le nettoya jusqu’à ce qu’il ait quasiment retrouvé sa taille au repos. Il finit par se retirer, frottant son sexe dans ses cheveux pour le sécher, avant de se redresser et de commencer à se rhabiller.

— Décidément, y’a pas mieux que ta bouche pour me vider les couilles… Qu’est ce qu’on dit ?

— Merci de m’avoir désaltérée avec votre sperme…

— A la bonne heure. Ceci dit, vu le montant de ta dette, et pour varier les plaisirs, il va falloir rapidement penser à explorer les deux orifices qui restent ! Compte sur moi dès la prochaine fois…

A ces mots, Natacha se sentir frémir, tandis qu’il refermait la porte derrière lui, la laissant seule, nue au milieu de la pièce.

— A suivre —

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