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INITIATION PERVERSE – Chapitre 2




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De : c joelle <joelle410@…>

À : Ph B <philb_2000fr@…>

Envoyé le : Mardi 11 décembre 2012 22h36

Objet : RE: Correspondance privée

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Bonjour Philippe

Vos compliments me paraissent très exagérés et certainement pas très objectifs. Votre impatience à connaître la suite devra être tempérée car je ne suis pas une romancière et ne peut produire d’autres épisodes qu’aux moments opportuns (temps maussade et tranquillité)

Je suis comblée que ma vue et mes écrits exacerbent votre libido

Racontais moi vous aussi, par le détail, ce que vous faites à cette lecture. Ce sera mon gage pour connaître la suite de cette histoire

Bises – Joelle

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Date: Thu, 11 Décembre 2012 :23h06 +0000

De: philb_2000fr@…

objet: Re: Correspondance privée

A: joelle410@…

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Je vous comprends très bien, et vous écrivez remarquablement bien même si vous n’êtes pas romancière.

Comme je vous l’ai dit lorsque je lis vos récits pour la 1ère fois, je suis en principe, en semaine, au bureau. Comme vos écrits me font bander, je frotte ma queue sous le bord du bureau ce qui me permet une forte mais discrète érection. Quand je le peux, j’affiche votre photo pour m’exciter encore plus. Je rêve de branler ma bite sur vos jolies jambes fuselées. Si je suis seul dans le bureau, j’en profite pour me caresser au travers de mon jean devenu trop étroit. Malheureusement je ne peux pas sortir mon sexe tendu en votre honneur. Ce que j’aime beaucoup, c’est me caresser les couilles, mais là ce n’est pas trop possible. Que me faites vous faire belle Joelle!!!!!!

Phil

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De : c joelle <joelle410@…>

À : Ph B <philb_2000fr@…>

Envoyé le : Mercredi 19 décembre 2012 20h54

Objet : RE: Correspondance privée

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Bonjour

Je ne pensais pas provoquer un tel engouement, j’en suis flattée.

Chose promise, chose due, voici donc la suite de l’histoire

…….

Ayant sans doute donné satisfaction dans mon rôle de Baby Sitter, je retournai chez eux plusieurs fois. Peu à peu les relations évoluèrent et à la bise de bienvenue succéda rapidement des attouchements plus précis que, loin de repousser, je m’évertuai à provoquer. Chaque fois, nous nous arrangions pour nous trouver seuls, ne serait ce qu’un instant. Moi je voulais l’embrasser, qu’il me serre dans ses bras, lui ne pensais qu’à me "tripoter" où à frotter contre moi son sexe durcit. J’étais toujours morte de trouille, sa femme n’était jamais très loin et je craignais qu’elle ne remarqua mon trouble car je devais être écarlate. Il fallait à chaque fois que je fuis sa proximité, me réfugiant aux toilettes ou dans la chambre des petites sous un prétexte quelconque. J’étais vraiment naïve (je m’en suis rendue compte par la suite) de penser que sa femme ne remarquait rien. Mais j’étais dans cette logique d’ado amoureuse qui va remplacer "la vieille".

Vint alors la nouvelle rentrée scolaire et ma fréquentation quotidienne de la gare lui permit (ce que je n’avais toujours pas compris) d’amplifier son emprise sur moi. Le matin , le soir, il trouvait prétexte à me "coincer" , me palper, me rendre folle……. Pour vous dire: un matin , il m’enleva et me confisqua ma culotte, m’obligeant à aller ainsi au lycée nue sous mon jean. Je dus donc, sous un prétexte de règles abondantes et non prévues, emprunter une culotte à une interne.

Mes copines de voyage, s’étonnaient de mes incursions dans les bureaux de la gare, je crois que j’en étais fière et elles jalouses. je parlais de départ, de mutation, j’étais en plein rêve.

Un soir, au retour, du train, il m’appela et sous les clins d’il des copines, il m’emmena dans le bureau (il faut dire qu’à cette époque les effectifs étaient déjà bien réduits et qu’il n’ y avait souvent qu’un employé après 17 heures).

cette fois , il ne me tripota pas mais enleva son pantalon et son slip et me demanda (plutôt m’ordonna) de le sucer. j’avais bien déjà fait cela avec des copains , mais cela n’avait jamais été plus loin que quelques coups de langue sur le gland et quelques allers retours rapide, dans la crainte d’une éjaculation.

Ce fut tout différend. , je commençai donc comme d’habitude par des coups de langue et des mises en bouche vite relâchées ….ça ne dura pas

– "Tu ne sais pas sucer me dit ’il, je vais t’apprendre.

Et là sans autre forme de procès, il me fit ouvrir la bouche bien grande et m’enfonça en force sa bite en m’appuyant sur la tête. j’essayai de le repousser car ça me faisait vraiment mal. Il me tirait les cheveux, je crois bien que je pleurais car c’était bien loin de l’amour fusionnel et passionné dont j’avais rêvé si longtemps. Cette attitude ne lui convenait visiblement pas car il m’annonça qu’il me laissait tomber puisque j’étais incapable de le satisfaire…..

Alors, je me suis laissée faire , il m’apprit à faire une bonne pipe: , branler en suçant, et surtout parfois "avaler la queue" comme on avale un comprimé (j’appris plus tard que cela s’appelle faire une gorge profonde une "deep throat") …j’étouffais j’avais des "hauts le cur" , mais je rentrais tout son sexe, ma bouche buttant sur ses couilles.

Plutôt que des mots tendres , il m’insultait, me traitant de petite salope, de vicieuse, de pute. j’étais à la fois déçue car je comprenais bien qu’il n’était pas question d’amour pour lui et troublée par cette découverte du sexe "adulte"

Mes interrogations et mes inquiétudes sur le "final" furent vite dissipées quand il m’annonça qu’il allait décharger et que je devrais avaler. Réduite à sa merci je sentis pour la première fois ce sperme chaud et horriblement salé, me couler dans la bouche. il attendit que j’avale avec quelques hauts de cur, avant de me faire nettoyer sa bite avec ma langue

il se rhabilla et sans autre forme de procès me gratifia d’un casse toi petite pute en me claquant durement les fesses.

je me souviens , avoir été dans les toilettes pour cracher et me rincer la bouche

je venais de basculer dans la perversité

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Date: Fri, 20 Décembre 2012 :18h43 +0000

De: philb_2000fr@…

objet: Re: Correspondance privée

A: joelle410@…

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Quel beau récit!

Je l’ai lu avec avidité, ma queue durcissant un peu plus à chaque ligne, chaque détail troublant, jusqu’à être bien tendue grâce à vous chère Joelle

Je me caresse les couilles en imaginant ce gros sexe forcer votre bouche d’adolescente.

C’est bon!

Je vais aller prendre ma douche en pensant à vous, diriger le jet chaud sur mon entre jambe en caressant ma tige bien dure.

En pensant à vous, à cette photo de vous qui me rapproche de vous, de votre sensualité, de votre perversité, de votre beauté mature.

J’écris ces mots, ma queue est dressée vers le ciel, vers vous, ma déesse de la perversité.

La nuit sera belle…

Je vous embrasse belle Joelle

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Date: Mond, 07 Janvier 2013 :22h45 +0000

De: philb_2000fr@…

objet: Re: Correspondance privée

A: joelle410@…

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Ma chère Joelle

Voilà bientôt trois semaines que je n’ai plus de vos nouvelles. J’en suis réduit à lire et relire le début de votre récit, imaginer, fantasmer…… M’avez vous oublié ? Vous me faîtes souffrir cruelle Joelle.

Que dois je faire que vous acceptiez de continuer à vous confier à moi?

Chaque jour je regarde mon mail, brulant d’espoir

Revenez!!!

Votre dévoué Philippe.

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De : c joelle <joelle410@…>

À : Ph B <philb_2000fr@…>

Envoyé le : lundi 7 janvier 2013 : 23h05

Objet : RE: Correspondance privée

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Ne vous inquiétez mon cher Philippe, Les fêtes de fin d’année m’ont simplement tenue éloignée de l’ordinateur.

Je vous promets de me remettre très rapidement à l’écriture (si l’on peut appeler écriture ce tissus de délires pornographiques dont j’ai parfois un peu honte)

bisous

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Date: Thu, 08 Janvier 2013 :00h24 +0000

De: philb_2000fr@…

objet: Re: Correspondance privée

A: joelle410@…

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Merci mille fois

Je vous en prie ne changeait rien, J’adore vos écrits

Je suis impatient

Philippe

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