Chapitre 3
Après une nuit plus calme, les zhéros étant fatigués des exploits de la veille, on plie bagage pour se diriger vers St Cergue, village avec une histoire mouvementée du fait des droits de passage anciens entre la France LLEE de Berne. C’est sur les hauts du village, près du départ des remontées mécaniques qu’ils se décident de monter leur camping. Là, les Anglais ont le malheur de débarquer. Le séjour sera bref, on rentre le lendemain, directement sur Genève.
Toute l’équipe se rend au domicile de la mère de Louis où on a la demi surprise de voir la voiture paternelle.
— Tiens quand le chat est loin, les souris dansent, commente Marlyse, on monte toute l’équipe pour faire une petite surprise ?
— Dring, dring, fait la sonnette.
La mère de Louis vient ouvrir en tenue minimale.
— Oh ! Vous êtes de retour, on ne vous attendait pas si tôt, annonce-t-elle.
Louis se précipite dans les bras de sa mère et l’embrasse chaleureusement.
— Maman, quel plaisir de te revoir, tu m’as manqué, mais ta bouche a une drôle d’odeur, souffle voir une fois.
Elle s’exécute et Louis fais une drôle de grimace. Cela sent comme une odeur de sperme.
— Dis-moi, tu as quelqu’un dans ta chambre ?
— Tu es bien curieux, je n’ai pas de comptes à te rendre.
— Peut-être à moi, fait Marlyse, c’est Oswald qui vous a parfumé la bouche ? C’est pas grave, je m’en voudrais d’être jalouse. C’est juste pour mettre les choses au point.
— Oswald ! Crie-t-elle, tu peux sortir, on a vu ta voiture en bas. Tu comptes rentrer quand ? Je suis avec les enfants.
C’est à ce moment-là qu’Oswald apparaît sur le pas de porte de la chambre à coucher, en slip plutôt en berne.
— Désolé, je pensais que tu ne revenais qu’à la fin de la semaine. Tu as eu au moins du plaisir dans tes promenades ?
— Pas que dans mes promenades, tu peux bien penser avec deux étalons à mon service, je m’en voudrais d’être jalouse. Louis m’a appris que régulièrement tu m’ornais de belles cornes et de ce fait, je te les ai rendues avec les intérêts, mais encore deux jours, je suis au point mort. Au fait les enfants, qu’est-ce que vous voulez faire ce soir, Jacques, tu veux rentrer avec nous ou rester avec Louis ?
— J’aimerai bien rester avec Louis, on a encore des choses à voir pour la rentrée. Je resterai peut-être pour dormir.
— Cela te gênerait Oswald de passer un pantalon et une chemise pour rentrer à la maison ?
— Oui, volontiers, tu pourras me raconter toute ton histoire en détail, il y a certainement des détails croustillants.
Les deux parents de Jacques partis, Louis et Jacques se retrouvent avec Génie, la mère de Louis.
— Alors les enfants, racontez-moi un peu vos vacances.
— Maman, je ne suis pas sûr que ce fut vraiment des vacances d’enfants, surtout quand Oswald est parti te rejoindre.
— Comment cela ?
— Bien oui, je l’ai vu une fois déjà sortir de ta chambre et il n’est pas difficile de deviner quel besoin pressant le poussait.
— C’est vrai, on s’est déjà expliqué sur ceci, mais à part cela.
— On a décidé avec Marlyse de partir en camping pour visiter la vallée de Joux et se promener sur les crêtes pour rentrer à Genève.
— C’était une très bonne idée. Commente
— Tu sais Maman avec Jacques, on est très proche et des fois on s’amuse ensemble à se caresser et justement lors de la première nuit, on était en train de se faire du bien quand Marlyse a voulu nous séparer, du coup, à la place de nous séparer, on s’est mis à deux pour la séduire, surtout que je lui ai raconté pour toi et Oswald.
Elle a rapidement baissé les bras et nous sa culotte, on a fait vraiment les fous, on s’y est mis à deux, moi devant et Jacques derrière. Elle a joui comme il n’est pas permis, elle a vraiment beaucoup participer.
— Mes colinets, vous me faites marcher, mais après.
— Le lendemain nous sommes partis à pied jusqu’au col du Marchairuz où on a mangé une fondue délicieuse pour ensuite visiter une glacière naturelle. Tu sais ce que c’est ?
— Non, je suppose que cela a à faire avec la glace.
— Oui, la neige qui tombe pendant l’hiver n’a pas le temps de fondre et reste, se tasse et se transforme en glace, en fait c’est un genre de petit glacier, comme dans les alpes, à la différence près qu’il ne bouge pas de place.
— Et après ?
— Nous avons rencontré en allant au Marchairuz un groupe de jeunes avec deux éducateurs qui allaient passer la nuit dans un chalet d’une association, je pense qu’ils étaient liés avec la religion, car ensuite ils nous ont invités à souper et avant de manger, l’éducateur a fait la prière. Ensuite on na pas pu rentrer, il faisait trop nuit et nous sommes restés pour dormir et là, je n’ose pas te dire ce qui s’est passé.
— Mais encore ?
— En arrivant pour dormir dans le dortoir des éducateurs, alors qu’on était en petite tenue, ils ont allumé une lampe de poche et nous ont regardé alors qu’on était nu, du reste eux aussi. Marlyse a été fâchée et leur a dit d’éteindre. Eux sans de démonter, nous ont proposés de partager leur nuit en échangiste. On a un peu forcer Marlyse à accepter, vu que l’éducatrice nous faisait un peu gamberger avec Jacques.
— Si je comprends bien, vous êtes partis comme des innocents et vous êtes revenus comme des dépravés.
— C’est bien à toi de nous faire la morale quand tu couches avec le père de Jacques, je te signale que Marlyse nous a dit qu’il n’y a pas photos entre Jacques et son père. Il est vraiment bien équipé. Tu veux l’essayer ?
— Espèce de vaurien, proposer cela à ta mère. C’est pas parce que tu m’as surprise en position délicate avec mon amant que tu peux tout te permettre. Allez dans la chambre de Louis pour déballer vos affaires, apportez les pour les laver, je vais mettre la machine en route avant le souper. Je suppose que vous avez faim.
— Oui Maman, cette semaine nous a mis en appétit, on a une faim de loup qui regarde le petit chaperon rouge.
— Je n’ose comprendre, mais au fait, Jacques a baisé avec sa mère ?
— Bien sûr et surtout elle ne s’en est pas plainte, c’est un sacré ramoneur qu’elle dit.
— Bon allez, tout cela m’irrite.
— Irrite ou excite dit malicieusement Jacques qui a évidement envie de se substituer à son père dans les bonnes grâces de la mère de Louis.
— Les deux, répond-elle en rougissant, la partie fine avec Oswald s’étant un peu terminée brutalement par l’irruption de ce trio.
Les deux garçons montent dans la chambre de Louis et se déshabillent et quand ils sont déshabillés, Génie vient prendre leurs frusques pour les laver. Elle est du coup un peu émue en voyant ces deux chenapans qui ont grandi sans qu’elle s’en rende compte. Elle admire ces deux jeunes éphèbes qui la troublent plus qu’elle veut bien l’admettre.
— Tu vois Maman, quand je te disais que Jacques est autrement mieux monté que son père, je ne mentais pas, affirme Louis en prenant la pine de son copain pour la présenter à sa mère.
— Mais Louis, cela ne se fait pas de se toucher comme cela entre garçons.
— Et pourquoi, c’est souvent bien agréable. On a déjà tout essayé et tout fonctionne parfaitement. Si tu veux t’en assurer, il ne te reste plus qu’à nous inviter dans ta chambre pour la nuit.
— Mais mon fils, tu me proposes l’inceste !
— Boff, avec Marlyse, on ne s’est pas posé la question et elle en est pas morte, au contraire, elle a pris des pieds géants.
— On verra cela après souper, pour le moment, je vais faire la cuisine et la lessive.
À ce moment-là Jacques se tourne vers elle et lui plaque deux grosses bises sur les joues :
— Merci de ne pas nous faire la morale et nous gronder.
Saisissant l’objet du délit entre ses mains, elle répond :
— Avec de tel argument, il faudrait être débile pour ne pas en profiter. Oswald m’a laissé dans un état qui ne me permettrait pas de dormir de toute façon. Vite on se dépêche, j’ai hâte d’en profiter. Je ne vais pas laisser Marlyse seule profiter de ce que la nature nous offre. Cela fait déjà un moment que je fantasme d’avoir deux hommes que pour moi.
— Je crois maman, tu ne vas pas être déçue, depuis hier matin on accumule. Marlyse avait ses bringues.
La lessive dans le sèche-linge, le souper, où les deux jeunes sont à poil, est englouti, les trois se dirigent vers le lieu des opérations en ordre dispersé, mais néanmoins déterminé.
— Qui vient me préparer, demande cette coquine de Génie, fébrile devant ce qui l’attend.
— Nous deux, on fait toujours la paire, répond Jacques qui s’attaque à la chemise et au soutien-gorge alors que Jacques est déjà concentré sur la jupe et plus, habits qu’elle avait remis après l’irruption du trio.
— Oh ! La belle paire de fesse, cela fera un super dessert.
Louis quant à lui a déjà commencé à déguster une poitrine opulente en suçant alternativement les tétons qui jaillissent sous la caresse d’une langue habile.
— Mes enfants, j’aimerai aussi déguster vos outils de plaisir et surtout si votre crème est bonne, venez vous mettre à genoux devant moi que je puisse vous sucer l’un après l’autre. Cela ne vous rendra que plus performant pour la suite.
— Mais maman, nous aussi on aimerait te déguster, je crois qu’on serait mieux en triangle pour que tous on s’apprécie.
— Oui, mais on est trois et vous les garçons, cela ne va pas aller, à moins de vous sucer.
— C’est exactement ce que l’on fait dans ces cas-là, l’un suce l’autre pendant que l’autre se paie la crapette de la dame et elle, elle se retrouve avec une seule bite à sucer. Ce qui est plus facile, vu qu’elle n’a qu’une bouche. Ensuite on inverse les rôles ou dans le cas que nous on soit venu les deux, tu pourras déguster en l’embrassant sur la bouche. Tu verras, Louis, il a un meilleur goût que son père.
— Comment le sais-tu ?
— Quand on est arrivé, j’ai senti l’odeur, c’était pas fantastique. Au fait, tu t’es brossée les dents ? Il ne faut pas mélanger les arômes.
— Oui mon chéri et même après le repas, le goût avait totalement disparu. Alors on se met en place comme tu le dis, je suis curieuse de voir un garçon sucer le jonc d’un autre. C’est une première pour moi.
C’est ainsi que les trois se mirent en place, mais ce n’était pas évident car Génie devait laisser sa jambe toujours en l’air.
— Génie, j’aime bien l’odeur et le goût de ton sexe dit Jacques, tu mouilles bien et ton bouton est vraiment délicieux.
— Moi, c’est la bite de mon fils qui me séduit, je ne savais pas qu’il avait un tel trésor entre les jambes, cela va être difficile de s’en passer.
— Mais maman, qui parle de s’en passer, comme dit Marlyse, l’essayer, c’est l’adopter. Pour ma part, le goût et l’odeur de Jacques n’a pas changé, je connais, ce n’est pas une surprise. Toujours bon, comme le cochon. Mais maman, je ne me doutais pas que tu me suces avec tant d’adresse, tu le fais si bien que je me sens venir et il me semble que Jacques n’est pas loin de se rependre. Que fait-on, on change de sens ?
— Non mon fils, Viens, arrose ma bouche de ta liqueur de mâle et toi Jacques essaye de te retenir, j’aimerai aussi te boire directement au goulot.
— Oh Maman je viens, c’est sublime, j’arrête de sucer Jacques pour qu’il puisse aussi connaître les délices de ta bouche.
C’est ainsi que Génie but et rebut au tuyau la liqueur de ces deux jeunes gens, mais la nuit n’est pas finie. Une fois leurs oboles distribuées, les garçons se remettent en position pour regonfler leur bite sous la langue bienveillante de Génie.
— Moi, je n’ai pas eu mon compte, se plaint-elle
— Attends Maman, on va s’occuper les deux de toi, d’abord on veut aussi goûter ses flaveurs et saveurs, Jacques, c’est un spécialiste de la feuille de rose et moi j’adore brouter l’escalope à moustaches, mais je ne sais si on va réussir à le faire simultanément, peut-être que l’un va s’occuper de tes seins pendant que l’autre va te reluire la tire-lires et on va se changer jusqu’à ce que tu décolles et planes.
— Vous êtes des amours de vous occuper si bien de moi, je ne suis pas loin non plus de partir en direction du septième ciel. Humm c’est trop bon d’avoir ce sentiment simultanément en bas et en haut.
— Mais Maman, qu’est-ce que tu m’arroses, j’aime aussi beaucoup ta liqueur, elle est bien épicée, comme je l’aime.
— Tu permets Louis, j’aimerai aussi goûter ce puits du bonheur, laisse-moi un peu la place et remplace-moi sur ses seins. Il ne faut pas laisser refroidir la marmite. Hum effectivement, elle a un jus divin, encore meilleure que celui de ma mère. Je resterai bien à me désaltérer à sa source indéfiniment.
— C’est bien, dit Génie, mais maintenant, j’aimerai bien vous avoir les deux en moi et je vois que vous avez déjà repris des forces et vos lances sont prêtes pour la suite du tournoi.
— Pas tout à fait, Jacques n’a pas encore préparé la place de derrière. Il adore aussi les saveurs plus relevées.
— Attends, je me mets à quatre pattes et j’écarte mes fesses pour qu’il puisse faire son office.
— C’est vrai que du point de vue gustatif, l’envers vaut bien le devant. Je sens que ton petit trou va un peu souffrir, tu ne veux pas que j’y mette un peu d’huile, parce que même avec un doigt, cela ne rentre pas tout seul.
— Oui chéri, va à la cuisine, on peut prendre un peu de beurre je pense que selon Charles Bronson dans le dernier tango à Paris, c’est la méthode qu’il a employée. Mets le 5 secondes au micro onde, sinon il sera trop dur et c’est pas le beurre que je veux dur.
Une fois l’huis bien beurré avec 3 doigts dans le fondement, Jacques décide que c’est tout à fait prêt pour un enculage radical.
— Louis, on va faire un peu comme aux 3 Chalets, pour commencer, tu te mets sur le dos pour qu’elle puisse s’embrocher sur ta pine et moi juste en même temps, je lui prends son cul. Ensuite au bout d’un moment, on change. J’espère que cela plaira à ta mère cette double pénétration.
— Je n’attends que cela, cela fait déjà un moment que j’en rêve, j’en avais déjà parlé à Oswald, mais, je sens que là, cela va être encore plus divin.
— Parlant d’Oswald, je me demande comment il va prendre le fait qu’il est deux fois cocu et par son fils et par le fils de sa maîtresse.
— Tu oublies ta mère Jacques, cela fait 3, mais foin de la philosophie, j’ai besoin de me faire ramoner la tuyauterie à fonds et c’est pas en discutant qu’on va y arriver, vas-y bourre-moi bien le fion.
— Tes désirs sont des ordres.
— Oups, j’avais oublié que tu es un peu mieux monté que ton père, c’est un peu douloureux, mais cela passe, voilà c’est bien, hum que c’est bon le double ramonage. Je crois que je viens si tôt, yié je pars, je vole, encore et encore plus profonds.
— Mais maman, j’aimerai aussi profiter de ton cul en éruption. Cela doit ressembler au Stromboli.
— Jacques tu veux bien que l’on s’échange ?
— Laisse-moi encore un moment profiter de ce cul majestueux. C’est pas tous les jours qu’on peut enculer la mère de son copain simultanément. Voilà, avant de décharger ma crème de pruneau, je te laisse la place.
— Oui, mais viens sous moi pour me la mettre dans la chatte, elle a aussi faim de ta belle queue. J’aime aussi faire de l’équitation humaine.
Finalement quelques orgasmes plus loin, les trois s’écoulent épuisés sur le lit et s’endorment profondément. Le lendemain, ils entendent un bruit de clés dans la porte, mais comme Génie avait laissé ses clés dans la serrure, il faut aller ouvrir la porte, ce qui permet aux deux jeunes de se réfugier dans la chambre de Louis.
— Bonjour mon chéri, quel bon vent t’amène, ton épouse t’a mis à la porte ?
— Non, elle a ses affaires et elle n’est pas disponible et j’aimerai bien un peu de tendresse.
— Si tôt le matin, attends, je viens de me réveiller après une nuit agitée. J’ai peu dormi, je passe d’abord sous la douche, mais avant je mets en route la machine à café.
— Bon je t’attends dans ta chambre et je me prépare.
— Tu ne veux pas m’attendre dans la cuisine, je n’ai pas encore aéré.
— Pourquoi veux-tu aéré ?
— Pour chasser les odeurs de la nuit et de hier.
— Je vois, je t’attends donc dans la cuisine pour le café. Mais fais vite, après, il faut que j’aille au turbin.
— Oui mon chéri, je me dépêche au maximum.
De suite elle va ouvrir la fenêtre pour chasser la bonne odeur des couilles de ses deux comparses, mets en route la cafetière, puis passe sous la douche.
« Cela va être une dure journée, après cette nuit volcanique, je suis un peu épuisée, mais je ne peux pas trop le laisser voir. Si je veux mon chèque à la fin du mois, il faut que je la joue serré. »
Arrivant dans la cuisine, cela sent bon le café et avec son peignoir négligemment ouvert sur ses trésors, elle compte bien faire monter la pression.
— Ils sont où les enfants ?
— Je pense qu’ils dorment, tu veux que j’aille les réveiller ?
— Non surtout pas, je n’ai pas le temps de m’occuper d’eux, j’ai un rendez-vous important à 10 h.
— Tu veux quoi, une bonne baise ou un service minimum pour garder tes forces.
— Passe sous la table coquine. Fais juste baisser la pression qui habite ma bite. Après, il faut que je me sauve, pour le grand service, ce sera une autre fois.
« ouf, je l’ai échappé belle, je ne me voyais pas vraiment être enthousiaste après la nuit précédente où j’ai reçu mon dû de baise. Une bonne pipe que je vais lui faire bien gentiment et il sera content j’espère »
Un petit bruit alerte Oswald quand tout d’un coup, la porte s’ouvre et Louis, complètement vaseux :
— Maman, tu as du lait et du Banago, j’ai une soif. Mais bonjour Monsieur Oswald, vous êtes bien matinal. Où est maman? il me semblait qu’elle était là.
— J’ai laissé tombé une cuillère et elle s’est baissée pour la ramasser sous la table. Elle ne voulait pas que je risque de salir mon costume.
Remettant rapidement les choses en place, Génie surgit de dessous la table.
— Voilà mon fils, tu veux ton chocolat. Je le fais vite au micro onde.
— Fais-en tout de suite deux, je pense que Jacques en prendra aussi un, il y a quoi autrement pour déjeuner ?
— Tu veux un bircher ou du pain ?
— S’il te plaît, Louis, j’ai quelque chose à voir avec ta mère, vous ne pourriez pas revenir dans 10 minutes pour déjeuner, j’aurai fini avec mon petit problème.
— Oui certainement, je prends jusque les deux chocolats et je vais dans ma chambre.
— Merci mon fils.
— Bon Génie, reprends ta place et remets l’ouvrage sur le métier.
— Il faut tout que je recommence, cet intermède a fait chuter le cours de la bourse.
Après 8 minutes et 45 secondes chrono, Oswald libérait sa prostate dans la bouche de Génie et pouvait partir content, l’esprit libéré et prêt à affronter les dures réalités de son métier.
« Bon, comme petit déjeuné, il y a meilleure, mais une bonne tasse de café fera disparaître le goût. Je n’aime pas trop tôt le matin. Je vais réveiller les garçons pour qu’on puisse déjeuner et ensuite c’est moi qui vais partir au travail »