Mon frère William a 17 ans, brun environ 1m78 il est timide et n’a pas un physique d’athlète bronzé, celui qui fait fantasmer toutes les filles, mais il n’est pas laid non plus, il est normal. Il passe beaucoup de temps sur l’ordinateur, dans sa chambre, et n’est pas très sportif.

Nous nous entendons bien, j’ai 14 ans, normale aussi, pas un canon, mais une poitrine plutôt développée, et ma petite chatte est poilue et j’ai commencé à me masturber il y a un peu plus d’un an.

Mon frère lui se masturbe toujours, bien que je n’ai jamais trouvé de traces visibles de ses éjaculations (j’ai pourtant cherché).

Assez pudique, il ne se promène pas trop en sous vêtements, et je fantasme depuis que je me masturbe, sur ce garçon, là à coté de moi tous les jours, et qui j’en suis sûre pourrait satisfaire bien des envies de mon corps.

Ce jour là, un mercredi, il n’ pas cours, et lorsque je me lève en t-shirt + petite culotte + chaussettes de la veille, il n’y a pas grand bruit dans la maison.

Je traverse le couloir et en passant devant la porte de sa chambre entrouverte, je le vois devant son PC qui regarde des vidéos de cul et se branle devant.

Je reste dans l’embrasure de la porte et j’observe la scène intéressée, et là deux surpirses :

La première, c’est qu’il a un membre magnifique, bien plus gros que je ne l’ai rêvé dans mes fantasmes, une belle pine majestueuse.

La deuxième, c’est que celle-ci est enfoncée dans une de ses chaussettes, comme un préservatif, et qu’il se masturbe au travers de celle-ci.

Cela explique pourquoi je ne trouvais jamais de traces sur ses draps.

Il est de profil, il ne me voit pas, et je le regarde se faire du bien, ses doigts enroulés autour du membre qui montent et qui descendent, et qu’il accompagne de coups de reins en avant pour intensifier son plaisir.

Pour moi c’est le miracle, je vois enfin sa queue, et en plus je le vois se masturber, poussant de discrets soupirs de plaisir maitrisés pour ne pas faire trop de bruit.

Il ne me faut pas longtemps pour ressentir les effets produits pas cette scène et très vite je sens mon entrecuisse parcouru par des décharges électriques réclamer ma main.

Je la passe sous mon t-shirt et la glisse sous ma culotte entrebâillée, pour y caresser mes lèvres gonflées,qui suintent.

William se branle de plus en plus vite et je regarde se cambrer pousser sa pine vers l’avant et un rale discret s’échappe de sa bouche.

Dans le même temps, je vois jaillir au travers de sa chaussette et par a-coups des coulées de liquide blanc et épais qui coulent le long de son sexe et vienne se poser sur sa main qui continue d’aller et venir.

Là je comprends qu’il éjacule, et je vois la chaussette se maculer d’une quantité incroyable de ce liquide crémeux, que la main experte de William étale sur toute la hauteur.

Mon excitation est au maxi, et dans un éclair, je me dis que c’est le moment ou jamis, et que je n’aurais paut-être plus l’occasion de réaliser mon rève.

J’entre brusquement dans la pièce et m’approche de lui, qui surpris, se retrouve face à moi, la main et la queue plaine de jus, et ne peut la cacher.

Avant qu’il n’ait pu dire le moindre mot, je me baisse, lui prend la main, et la porte à ma bouche, la lui nettoyant complètement.

Un premier temps sous l’effet de la surprise, il ne sait pas trop quoi faire, puis finalement, il ne dit rien, et se laisse faire.

La main sent fort la chaussette, et à ma grande surprise cela augmente mon excitation.

Une fois que j’ai lapé tout le sperme, j’entreprends de lécher sa pine au travers de la chaussette puante, pour la lui nettoyer également.

Je découvre le goût du jus, qui n’a franchement rien d’agréable, mais ce coté gluant et maculé sur son membre est un excitant inoui.

Une fois tout le jus lavé, je lui retire la chaussette de sa queue qui ne s’est pas dégonflée, profitant ainsi d’un second souffle d’un second souffle et je découvre un membre bien dur, gonflé à bloc, avec un gland caché sous la peau, que je joue à débusque.

Le le mets en bouche et le suce, encore tout gluant.

Il sent fort la sueur et la chaussette, c’est super bon.

Puis je me relève, et toujours sans rien lui dire, j’enjambe William et me place à califourchon face à lui.

Il faut que je m’enfonce cette queue dans la chatte, j’ai besoin d’être dépucelée maintenant, il le faut.

Je guise le gland vers l’entrée de mon vagin dégoulinant d’envie, je sais que ça va faire un peu mal, mais j’ai trop envie. Puis je m’empale dessus et appuie fort.

Je sens mes lèvres trempées s’écarter, et le pieu rentre, écartant tout sur son passage et défonçant ma petite barrière intime au passage.

J’ai le ventre plein, c’est bon, je l’ai enfin ma pine dans la chatte, et en plus celle de mon frère.

Je monte et je descends je me fais du bien, puis je me retire et l’attire sur son lit.

Je veux le voir entre mes cuisses me piner.

Je le regarde s’installer la pine luisante en l’air, et la guider pour la pousser dans mon trou encore béant.

Puis je la sens qui remonte dans mon ventre et William, commence à limer, me ramonant vigoureusement.

Je regarde entre mes cuisses son membre disparaître alors que je le sens au fond de moi qui me remmplit.

Puis, malheureusement, l’inexpérience de mon frère aidant, il ressort brutalement pour m’arroser de jets puissant de foutre, qui me tapissement le ventre, les seins et me souillent les poils de ma chatte.

Il a joui, et il éjacule abondamment sur moi.

Enfin il parle : putain, c’était bon, je n’aurais jamais cru ça de toi.

Oui, il y en longtemps que j’en rêvais, j’ai envie qu’on recommence un max de fois.

Puis je l’embrasse et le laisse m’essuyer le ventre avec son t-shirt.

Nous restons un moment allongés ensemble dans son lit.

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