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Un cocu qui n'a rien vu venir – Chapitre 1




Bonjour,

Xavier, j’ai 28 ans, je suis marié à Rachel qui a 28 ans également. Rachel fait 1m60, 52 kilos, elle a les cheveux assez longs de couleurs chatain. Une femme plutôt jolie, je me demande encore comment j’ai pu me marier avec. Car oui on s’est marié il y a un peu plus d’un an. Tout se passe très bien du point de vue sexuel, et au travail. Tout va pour le mieux. On possède une petite maison dans un lotissement, avec un grand terrain, une belle terrasse et une piscine creusée. Le rêve.

D’ailleurs un nouveau voisin vient d’emmenager. C’est un homme néo-retraité qui habite seul me semble-t-il. Nous l’avons invité à manger barbecue ce samedi midi, pour faire connaissance. Je compte le recevoir dans une tenue plutôt décontracte, torse nu, short de bain, claquettes. Ma femme, quant à elle, veut faire bonne impression elle me demande de l’aide pour savoir ce qu’elle devrait mettre. On arrive devant son dressing plutôt bien fourni. Je suis un dingue des tenues en cuir, et je suis fétichiste des bottes en cuir noir. Je ne lui ai jamais vraiment avoué mais je pense qu’elle est au courant puisque je lui en achète assez régulièrement. Elle n’en mettait que très rarement quand nous nous sommes rencontrés, maintenant elle en porte la moitié du temps à mon grand plaisir. J’aimerais lui lécher un jour mais tout se passe bien entre nous, je n’ai pas envie de casser cette dynamique pour le moment. Au final elle prend un petit chemisier blanc avec les boutons du haut ouverts, avec une jupe noire en cuir. En ce qui concerne les chaussures, je tatais le terrain en rigolant.

— Tu ne vas pas encore mettre des bottes alors qu’il fait 35°C dehors ? (J’espérais qu’elle en mette)

— J’hésite, j’adore ça mais c’est vrai qu’il fait chaud. Bon allez je vais prendre ça plutôt.

Elle prit une paire d’escarpins noirs avec un bout pointu, avec un talon d’environ 7 centimètres. Tant pis pour les bottes, j’aimais bien cette paire d’escarpins de toute façon.

Ça sonne à la porte, ma femme va ouvrir. Je suis derrière elle pour venir accueillir notre invité. Je ne l’avais jamais vu encore. C’etait ma femme qui était allée l’inviter. Il faisait assez vieux tout de même, il etait pas specialement grand, un peu en dessous d’ 1m75 je dirais, 80 kilos. Il était super bien habillé. Une chemise, un pantalon, des chaussures de ville. Habillé comme ça par une chaleur pareille. Moi je faisais un peu tâche torse nu avec mon short de bain comparé au voisin et à ma femme. Il fit la bise à ma femme. Après ça, elle se retourna pour me présenter et plutôt que de me regarder il en a bien profité pour reluquer Rachel. Sans gêne, mais il m’a fait rire. Une franche poignée de main entre nous tout de même. Nous sommes allés nous installer dehors. Nous avons pris l’apéro. Rachel prit une coupe de champagne alors que le voisin et moi avons pris une bière.

Nous nous sommes donc mis à parler. Je lui ai expliqué le travail que je faisais dans une boite d’événementiel. Ma femme lui a expliqué qu’elle était prof d’Histoire/Geo dans un collège. Elle était en vacances pendant deux mois. D’abord timide, il s’est ensuite présenté.

Il s’appelle Jacques, il a 63 ans, il est veuf. Sa femme est décédée, il y a 6 mois. Ils étaient ensemble depuis qu’ils avaient 18 ans, il n’avait connu qu’elle. Il était père de deux fils, un avait 42 ans et l’autre 40 ans. Il était grand père de deux jumelles de 18 ans et un petit fils de 21 ans. Il avait fait carrière en tant que pompier. Il nous montra d’ailleurs une légère brûlure au niveau de son flanc gauche. Ma femme en profita pour lui demander s’il n’avait pas chaud dans une tenue pareille. Il répondit que si un petit peu surtout qu’il s’habillerait bien comme moi c’est à dire en short et torse nu, surtout s’il avait accès à notre piscine après. Il disparut pendant cinq minutes retournant chez lui pour se changer.

Pendant ce temps, je préparais à manger en discutant avec ma femme. Elle m’expliquait qu’il lui faisait un peu de peine, d’ailleurs à moi aussi. Il revint assez rapidement. Le temps que ça cuise, je l’ai invité à aller dans la piscine s’il voulait. Il rentra dans l’eau. Ma femme lui expliqua qu’elle allait le rejoindre. Elle partit se changer pour passer en maillot de bain, elle opta pour un bikini jaune. Elle plongea dans l’eau et elle remonta à la surface telle une sirène avec ses longs cheveux mouillés. Son plongeon et sa tenue m’avaient excité. Je m’eclipsai dans notre chambre pour aller frotter mon visage contre la jupe en cuir de ma femme tel un pervers. Je revins en étant excité. Rachel et Jacques étaient en pleine discussion. Je n’entendais rien. Rachel me demanda d’amener les salades qu’il y avait dans la cuisine, en revenant, j’ai repensé au barbecue, j’ai voulu regarder l’état des saucisses sur le barbecue : Carbonisées.

Je me sentais légèrement coupable, et plutôt que de gacher ce barbecue et de ne manger que des salades, j’ai décidé d’aller à la petite supérette non loin pour aller racheter des saucisses. Je savais que j’en avais pour 10 minutes en y allant en vélo. J’annonce à Rachel et Jacques que je vais chercher ce qu’il faut, que je reviens dans peu de temps.

15 minutes après être parti, je reviens avec mon sac de viande à la main. Je rentre dans la maison, je dépose le sac dans la cuisine et me dirige vers la terrasse. La surprise fut énorme pour moi lorsque je vis Jacques allongé à poil sur un transat, avec ma femme allongée avec la tête entre ses cuisses. Je me decalai légèrement pour confirmer mes soupçons. Oui, elle lui taillait une pipe. Lui était tranquille, une main derrière sa tête, l’autre derrière celle de ma femme pour l’inviter à continuer son travail. Furieux je les interrompis.

— Dites le si je vous gêne !

Ma femme eut le culot de ne s’arrêter que dix secondes après pour me dire.

— Ah tu es déjà là chéri ?

— Non mais je rêve, bien sûr que je suis là. On peut aller parler en privé Rachel !

Après une courte hésitation, elle accepta, et elle dit même à Jacques qu’elle revenait. Nous nous dirigeâmes vers la cuisine et je lui ai demandé de me raconter ce que je venais de voir.

— C’est quoi ça ?

— Excuse moi chéri, mais il me faisait vraiment de la peine, à toi aussi tu me disais qu’il te faisait de la peine toute à l’heure. Ses yeux etaients rouges, je pense qu’il allait pleurer, il m’a dit que c’était le chlore mais je pense que c’est pour sa fierté, je ne savais pas trop comment le réconforter. En plus, sa brûlure c’est le ponpon. Mais c’est rien Xav, c’est juste un petit vieux, il ne serait jamais plus fait sucer sinon. D’ailleurs je compte juste le sucer rien de plus, il ne me baisera pas.

— Tes explications ne m’aident pas à t’excuser.

— Tu sais quoi ? Je vais te pomper là tout de suite, enlève ton short, ensuite j’irai le finir quand même et ça sera la seule et unique fois. N’oublies pas que sa femme est décédée il y a peu de temps le pauvre. En plus je t’avoue que sa queue est pas mal, il y a une légère odeur, il est rasé, et même s’il est vieux sa bite est plus grande et plus grosse que la tienne, je dirais qu’elle fait 15-16 cms avec 5cms. Je me régale, mais bon je me régale une dernière fois après toi et je ne m’occuperai plus de son produit de luxe.

Elle me baissa mon short, et elle se mit à rire.

— Mais ça te plait que je le suce en fait vu comment tu bandes.

Je ne savais pas quoi répondre c’est vrai que la situation m’avait excité.

Elle se mit à crier en direction de la terrasse.

— J’arrive dans un instant Jacques, ne débande pas !

Ma femme se mit à me titiller le bout du gland avec la langue, avant de mettre mon 13 centimètres dans sa bouche. Ça a dû durer 2 minutes grand maximum. Je n’ai pas réussi à me retenir, j’ai tout lâché dans sa bouche rapidement. Elle se leva, cracha mon sperme dans l’évier (elle n’a jamais avalé, en bouche oui, sur le visage oui, mais jamais avalé). Elle revint près de moi me caressa la joue, et me dit :

— Et ben dis donc, 2 minutes, et je pense être gentille. Lui, je me suis jetée sur sa queue, je pense que tu n’étais encore pas parti, tu es revenu 15 minutes plus tard, il n’avait toujours pas ejaculé. Bon comme convenu, je retourne m’occuper de la lance incendie du pompier, j’espère qu’il va bien me rafraichir lui parce que je suis chaude.

Elle se mit à trottiner pour retourner là bas en lui annonçant qu’elle allait bien s’occuper de lui. Pour ma part, j’etais gêné, je ne savais littéralement pas où me mettre. Au final, je les ai rejoins et je me suis assis à table de façon à ne voir que l’arrière du transat. Sauf que Rachel eût la bonne idée de tourner le transat.

— Attends, sinon tu ne vois rien.

— Elle pompe super bien ta femme.

— Je vais rougir

J’évitais la discussion pour ma part, le malaise était énorme. C’est vrai que le pauvre c’était peut-être la dernière fois qu’il se faisait sucer de sa vie, mais c’était ma femme…

— Bon maintenant si tu venais t’asseoir sur ma queue, madame ?

— Non j’ai promis à mon mari que je te sucerais juste.

— Ah tant pis, une pipe c’est déjà bien. Surtout qu’elle est bien faite.

Il était endurant le vieux ! Il a tenu encore 10 minutes avant de se lacher. Il lui baisa bien la bouche comme il fallait, mais au moment que ça vienne, elle lui annonça : "sur le visage !" Apparemment ça faisait bel et bien 6 mois qu’il n’avait pas lacher la sauce. Ma femme en était recouverte. Elle se leva, passa à côté de moi et me demanda un bisous, j’ai refusé.

— Oh t’es pas drôle.

Elle s’en alla se nettoyer. Jacques vint s’asseoir à côté de moi.

— Je suis vraiment désolé mon petit, mais c’est de la faute de ta femme, j’etais tranquillement en train de me sécher avec la serviette, elle est sortie de l’eau avec ses cheveux mouillés, un petit sourire en coin, elle m’a baissé le short et a commencé à pomper. Tu as de la chance jeune homme.

— De la chance, je ne suis pas sûr je vous rappelle qu’elle vient de me cocufier.

— Ce n’est rien ça

Rachel revint à table, cette fois les saucisses n’ont pas fini cramé. L’ambiance du repas était assez pesante, ma femme a fait beaucoup d’allusions sexuels à Jacques. Du genre :

— Tu n’en veux plus Jacques, attends je vais finir ta saucisse

— Jacques, tu peux envoyer la sauce blanche, s’il te plait

— Non, vas-y, ne t’embête pas à essayer de la prendre avec tes couverts passe la avec tes mains. Je viens de te sucer pendant plusieurs dizaines de minutes, je ne suis plus à ça près.

Je ne reconnaissais plus ma femme. Jacques est reparti juste après avoir fini. La fin de journée du samedi était assez tendue avec Rachel, mais le dimanche nous avions un peu retrouvé notre complicité.

Lundi matin, je me lève à 8h comme d’habitude pour partir à 8h30 et pour être au travail pour 9h. Après 2h de travail, je sens mon téléphone vibrer, je regarde, c’est un message de Rachel, ah c’est une vidéo même. Je lance la vidéo. Et là, c’est le drame. Je ne reconnaissais pas le lieu, on voit Rachel avec un mètre en train de mesurer une belle bite.

— Chéri, je suis sur le canapé de Jacques là, tu te rappelles je t’avais dit que la bite de Jacques était plus grande et grosse que la tienne. Bon je pense que tu t’en étais rendu compte Samedi, mais regarde là t’en as la preuve. Elle fait du 16 sur 5.

La vidéo continue, mais Rachel arrête de parler. Elle se met à branler vigoureusement la bite avec un grand sourire, avant de reprendre la parole

— Je t’avais promis de ne plus sucer Jacques je sais, je t’assure je ne l’ai pas fait. Retourne la caméra Jacques qu’il voit que c’est bien toi (je vis Jacques un bref instant avant d’avoir un nouveau plan sur sa queue).

Rachel lècha ses lèvres, arrêta de branler ce qu’elle avait dans la main. Regarda la caméra, avant d’annoncer.

— Je suis désolée mais je vais rompre la promesse que je t’ai faite. Je vais le sucer et je vais bien le sucer, je vais lui sortir le grand jeu, et je ne vais pas te faire une fausse promesse comme quoi c’est la dernière parce que ça n’est pas le cas, et en plus il ne va pas avoir le droit qu’à ma bouche.

Elle arrête de parler, continue de regarder la caméra, ouvre la bouche et suce la pine du vieil homme. Après quinze secondes, elle s’arrête et s’adresse de nouveau à moi.

— Pour la suite va falloir, faire appel à ton imagination ou attendre ce soir, sûrement, pour voir la scène. Je n’imagine pas comment tu bandes là (c’était vrai).

Jacques, de sa main droite appuya sur la tête de ma femme pour l’inviter à reprendre son travail. Alors qu’elle le pompait à nouveau, on l’entend.

— Arrete de parler, et pompe moi.

La vidéo s’arrête à ce moment là. Je ne savais pas ce qu’il allait se passer ensuite quand j’allais rentrer le soir.

A suivre

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