Je me prénomme Frédéric (26 ans) et vis en couple avec ma femme Sarah (24 ans) depuis cinq ans. En 2010 nayant pas denfants nous avions décidé de partir en vacances pendant le mois de septembre dans un petit camping du sud ouest de la France.
Arrivé sur place nous avions été surpris par le peu de monde occupant encore des emplacements mais également par lâge avancé des campeurs encore présents.
Ma femme me dit alors :
— tu ne trouve pas étonnant quil ny est pas plus de jeunes comme nous sans enfants pour éviter la foule du mois daoût.
-Écoute regarde le bon coté des choses on voulait du calme non ?
-Cest vrai tu as raison.
Il est vrai quun seul estivant était présent dans lallée où nous avions réservé notre mobile-home.
Dès notre arrivé nous nous sommes changés afin de profiter de la plage.
Arriver sur la plage la plastique de ma femme na laissé aucun homme indifférent avec son 1mètre 60 pour 50 kilos, son corps menu et ses seins énormes (95 f).
Après avoir passé lensemble de laprès-midi sur cette plage il était temps pour nous de regagner notre mobile-home. Alors que saluons notre voisin qui prenais un petit apéritif celui-ci nous interpella pour nous inviter à laccompagner.
Il se présenta sous le nom de Henri il avait 68 ans et était veuf depuis une dizaine année. Cétait un homme marqué physiquement par les années, chauve et bedonnant. Tout au long de cet apéritif il narrêta pas de complimenter ma femme pour son physique et je le voyais de temps en temps loucher longuement sur lopulente poitrine de Sarah.
Après lapéritif terminé nous sommes retournés vers notre emplacement où nous avons diné rapidement et sommes allé nous coucher fatigué par le trajet effectué le matin même.
Sarah trouva rapidement le sommeil alors que pour moi limage du vieil homme (Henri) louchant sur les seins de ma femme me hantait et à ma grande surprise je me surpris à bander fortement.
La nuit passé tant bien que mal il me semblait important de poser la question à Sarah sur les regards appuyés dHenri.
-Tu as remarqué la direction du regard dHenri pendant lapéritif dhier ?
-Il avait le regard assez souvent planté dans mon décolleté
-Et tu nas rien dit ?
-Jaurais dit quoi ?
-On pourrait croire que cela tas plu !!!
-Chéri tu as vu lâge quil a ?
-Excuse moi tu sais que je suis jaloux lorsque un autre homme te désire.
-Désire ? Ty vas un peur fort !!!
-Bon passons à autre chose profitons de cette journée et n en parlons plus. Daccord ?
-ok.
Comme je le lui avais dit jétais jaloux mais paradoxalement excité par toute cette histoire.
Le lendemain alors que nous étions sur notre terrasse et prêt à aller nous coucher Henri arriva en nous saluant.
Les discussions senchainaient lorsquil marqua une pause puis repris:
-Jai une petite question
-Oui ? Ressentant une hésitation.
-Jai toujours été fortement attiré par les fortes poitrines et ma femme nétait pas gâtée par la nature de ce coté et je nai donc jamais eu la chance davoir entre mes doigts des gros seins.
Je sentais une nouvelle érection monter dans mon short mais je le laissais volontairement continuer. Il continua donc :
-Jaurais aimé toucher ceux de votre femme qui sont impressionnants.
-Merci Henri pour les compliments envers ma femme mais cest à elle quil faut poser la question.
Sarah semblait complètement perdue par les propos quelle venait dentendre. Et après un long silence elle rebondit.
-Venez Henri placez vous derrière moi.
Jétais là devant ce spectacle et Sarah habituellement si discrète avais pris le contrôle de la situation. Henri se leva pour se placer derrière Sarah son short était déformé par une bosse énorme.
Une fois derrière Sarah ses mains passèrent directement sur le caraco quelle portait. Il effectuait des mouvements circulaires sur le caraco et non en dessous. Les yeux de Sarah se fermèrent preuve quelle appréciait la caresse. Alors quil accentuait les caresses une de ses mains tenta une approche sous le caraco je devinais à présent ses doigts qui titillait le mamelon durcit par lexcitation.
Ma femme commençait à haleter mais elle linterrompu prétextant quil avait obtenu ce quil voulait.
Henri stoppa donc la caresse non sans une certaine frustration.
-Merci de mavoir accordé ce phantasme même si jaurais souhaité les toucher sans tissu. Merci et bonne nuit.
Je restais sans voix encore sous le choc et lexcitation de ce qui venait de se passer sous mes yeux. Sarah intervint :
-Tu ne la pas mal pris ?
-Non mais jai tout de même été surpris de ta réponse.
-Javoue que je me suis surprise également.
-Tu as apparemment apprécié ?
-Cest vrai je ne vais pas le nier il se débrouille bien, lexpérience sans doute.
Jétais une nouvelle fois scotché par sa réponse.
-Allez viens te coucher.
Je laccompagnais dans la caravane où régnait une chaleur intense liée à la température exceptionnelle encore présente à cette heure tardive de la journée.
Alors que nous étions nus allongés sur le lit Sarah se leva attrapa un peignoir en soie et sorti prendre lair. A ce moment jentendis Henri linterpeller :
-Il fait chaud cette nuit ?
-Insupportable et je narrive pas à dormir avec cette chaleur.
-Tu veux boire quelque chose ?
-Un peu deau si vous voulez, merci.
La fenêtre étant ouverte je relevais la tête et vis Sarah prendre place sur la terrasse du vieux den face. Il était simplement vêtu dun caleçon.
-Je tiens de nouveau à te remercier pour tout à lheure jai vraiment apprécié.
-De rien, à vrai dire jai moi aussi apprécié ce moment.
-Pourquoi mas-tu repoussé alors ?
-Vous vouliez caresser mes seins ce à quoi jai répondez favorablement sans même savoir pourquoi.
-Sans vêtements maintenant ce serais possible ?
Pour seule réponse un long silence sinstalla sur cette terrasse que jobservais de loin.
-T u pourrais accepter je pars demain matin ce serais en quelque sorte mon cadeau dadieu
-Euh non je naurais dailleurs jamais du accepter la première fois.
— Je ne vais pas te manger !!! Bon laisse moi au moins voir tes seins.
-Bon daccord mais juste les regarder je dois être folle daccepter.
Sentant la situation passer un nouveau cap jenfilais un short et me dirigeais à lextérieure vers une des fenêtres ouvertes du mobile-home dHenri. Arrivée près de cette fenêtre je pouvais entendre et apercevoir toute la scène.
-Merci de me faire profiter une dernière fois de cette opulente poitrine.
-Je ne comprends pas pourquoi jaccepte tout ceci alors dépêchons nous
A ces mots Sarah accompagna le geste en entrouvrant les pans de son peignoir et laissant apparaitre ses seins énormes.
-Ils sont magnifiques !!!
Henri savança vers sa proie et plaqua ses mains sur les seins de Sarah il entama un massage en règle des obus lassant trainer ses pouces sur les tétons maintenant durcis de ma femme. Celle-ci avait à présent fermée les yeux et comme la veille appréciait la caresse. Henri défaisait le nud du déshabillé qui permettait à Sarah de cacher la partie inférieure de son corps. En quelque seconde le peignoir glissa pour tomber au sol.
-Stop on arrête tout on avait conclus un accord on regarde mais on ne touche et on a déjà été beaucoup trop loin.
Henri recula dun pas et répondit :
— Laisse-moi admirer ton corps.
Au même moment il abaissa son caleçon laissant apparaitre un sexe énorme surmonté dun gland gonflé par la vision de ma femme nue devant lui. Sarah resta son voix apparemment sous le choc davoir en face delle un sexe dune telle dimension.
-Tu vois il vibre pour toi.
-Elle est énorme !!!
-Tu veux le prendre en main ?
Ma femme était dans un état second mais elle savança vers cette bite, elle était comme aimantée. Elle posa une main dessus la taille était si imposante que sa main ne lui permettait pas dans faire le tour. Henri na perdit pas une seconde et commença à lécher les tétons de mon épouse tout en laccompagnant vers son lit. Il leva la tète et colla ses lèvres sur celle de Sarah qui nopposa pas la moindre résistance.
— Allonge-toi, ordonna Henri.
Une fois Sarah allongée il lui présenta son sexe au niveau de la bouche.
-Elle te plait nest ce pas ?
-Elle est belle mais si grosse !!
-Nai pas peur je sais me montrer doux
Ma femme avança la bouche au contact du gland et y déposa un petit baiser puis des coups de langue jusqu’à enfoncer ce pieux dans sa bouche ce qui arracha un râle de plaisir à Henri. Cette gâterie continua un bon moment jusquau moment où Henri intervînt :
-Jai envie de venir en toi.
-Viens, répondit ma femme.
IL prit une capote qui se trouvait près du lit entra doucement entre les jambes de ma femme qui commença à emmètre des gémissements.
-ça te plait nest ce pas ?
-Je nai jamais été aussi remplit elle est bonne ta grosse queue.
Jétais scié Sarah navais jamais été aussi vulgaire avec moi elle était totalement libérée.
-Retire ta capote jai envie de la sentir sans protection.
-Tu es une vraie petite cochonne, tiens elle est pour toi !!!
-OUUUUUIIIII
-Tu laime ma grosse queue elle meilleure que celle de ton mari ?
-Oh ! Oui
— Dis-le !!!
-Cest la plus grosse et meilleure bite que jai gouté. Vas y viens .
Henri ne pu retenir plus longtemps son excitation et éjacula une énorme quantité de sperme sur le visage et la bouche de Sarah qui attrapa le sexe et le nettoya avec sa langue chose quelle mavait toujours refusé. Après un doux baiser entre les deux amants, ma femme se leva et quitta le lit en remerciant Henri, le qualifiant de meilleur coup quelle nai jamais eu.
Une fois ces mots prononcés je regagnai rapidement notre mobile-home rejoins peu de temps après par ma femme qui passa daprès ses mot « ses plus belles vacances «.