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La cure – Chapitre 3




Enfin Marco s’éloigne de la piste avec deux blondes. Cette fois je me réjouis ouvertement pour lui :

-Julie, ton ami est un sacré don Juan. le vois-tu partir en bonne compagnie. Il se dirige vers le bois. Je suis curieux de voir ce qu’il va faire avec deux filles. Si on le suivait. N’es-tu pas intéressée par les bonnes choses qui peuvent le rendre heureux.

— Je m’en fous, grinche la jalouse. Mais je suis curieuse, comme toi.

Là-bas le trio s arrête près d’un banc. Les filles assises s’affairent, fouillent le pantalon de Marco. L’une se penche, puis l’autre. On ne distingue pas tous les gestes, mais Julie râle :

— Ces deux petites salopes lui taillent une pipe. Il n’y a plus de jeunesse, qu’en penses-tu?

— Il faut bien que jeunesse se passe. Le bonheur de ton boy devrait te réjouir. Mais les coquines s’agenouillent sur le banc et tournent le dos à Marco. Elles relèvent leur robe.: ciel elles n’ont pas de culotte . approchons.

— Oh! le petit salopard. Il vient d’en pénétrer une en une sorte de levrette. Il la bourre à grands coups. Mais, ce n’est pas possible, il s’enfonce dans l’autre. Il ne sait pas ce qu’il veut…. Il change encore de monture. Le cochon.

— Non, pas cochon, mais jeune homme chanceux. Le jour il t’accompagne, ce n’est pas nécessairement drôle pour un jeune type de rendre des services à une femme qui a le double de son âge. Alors tu devrais applaudir lorsqu’il peut prendre du plaisir avec deux jeunes et belles créatures. Avançons un peu pour mieux voir et entendre. Cela me donne des idées.

— Nous sommes bien assez près. Il enfile l’autre de nouveau. Mais il inusable ce diable de gamin.

— Eh oui, quelle énergie il déploie. Il la secoue comme un prunier, elle a intérêt à s’accrocher au dossier du banc. Et la copine a placé une main entre les fesses de l’une et le ventre de Marco. Elle veut le ménager pour avoir encore un tour. Écoute comme elle gémit. Bon, si nous allions à l’hôtel pour les imiter, ça te dit?

-. Rentrons, j’en ai assez vu..

Cette fois je peux passer à l’offensive. Nous marchons tranquillement en direction de l’hôtel, Julie tient mon bras, baisse la tête pour cacher des larmes de rage.

— Ma chérie, asseyons-nous face à la mer. On l’entend gronder. Je suis enchanté de partager ces instants avec toi. J’ai des choses importantes à te dire. Peux-tu m’écouter?

— Mais oui. Qu’est-ce qui peut-être aussi grave, je te trouve bien solennel. Parle.

— Voilà. Je suis arrivé tôt ce matin.

Je marque un temps d’arrêt.

— Et tu as attendu cinq heures pour te montrer ?

— Oui, je voulais assister au déroulement de la journée d’une curiste. Je t’ai donc suivie discrètement.

— Tu m’as espionnée ?

Et je m’en félicite. Voici mes constatations: Tu ne suis aucune cure, tu vis avec Marco que tu fais passer pour ton fils, tu l’entretiens, tu le loges et tu le nourris, en retour il te fait l’amour en chambre, dans le bois derrière le casino puis dans la crique: ailleurs peut-être d’autres fois, au lit ou dans la voiture. A aucun moment les galipettes ne sont interrompues par des douleurs rhumatismales. En conclusion tu es venue ici pour vivre paisiblement avec ton amant, loin de moi. Ne proteste pas, c’est inutile, une journée a suffi à éclairer ma lanterne. Tu pleures ? Dis-moi plutôt ce que tu décides de faire.

— Mon Dieu que je suis malheureuse. Je savais bien que cette aventure ne pouvait pas durer. Mais….

Les sanglots étouffent sa voix. Elle reprend :

— Depuis quand sais-tu ? Avais-tu des doutes ? Tu vas me quitter ? Je le mérite. C’était plus fort que moi. Une espèce de folie incontrôlable. J’en tremble depuis le début. Je t’aime, mais … je ne sais plus. J’aimais aussi ce garçon, excuse ma franchise. J’ai cru que je pouvais aimer deux hommes. Et ce petit con s’envoie en l’air avec ces deux gamines qui le provoquaient depuis notre arrivée.

Vois ce carnet. Le reconnais-tu ? Où sont les notes sur la Charente-maritime? Il n’y en a pas. Mais ce carnet m’a mis la puce à l’oreille. Il contient une heure de rendez-vous avec Marco. Tu es partie avec ton amant.

— J’étais perdue. Je l’aime et je t’aime. Je ne sais plus que faire

— Tu nous aimes ? De façon inégale, en négligeant le mari au bénéfice de l’amant.. Pour moi les rhumatismes et les mensonges, pour Marco les vacances au bord de l’océan.. Bien, le petit jeu est fini. Que faisons-nous ? Il faut trancher. Choisis : tu restes avec Marco ou tu rentres en voiture avec moi dimanche ?

— Tu as vu comme il me traite. Il n’est pas fidèle, je le déteste. je rentre avec toi à la maison. Oui, mais il est venu avec moi. Que deviendra-t-il si nous ne le ramenons pas ?

— Grave problème : il te trompe, tu le détestes, mais il te manqueras… J’ai besoin de réfléchir , je vais faire une promenade. A mon retour tâche d’avoir pris une décision. Ah ! Donne-moi les clés de la voiture, la carte grise et l’attestation d’assurance.

-C’est Marco qui les a. .

Marco est allongé sur le sable en bonne compagnie. Il répond à mon premier appel, quitte son groupe, monte sur la promenade.

— J’ai les clés, les papiers sont dans la boîte à gants.

-Où dors-tu cette nuit?

-A la belle étoile. Pourquoi?

— Es-tu l’amant de ma femme? Julie t’a vu avec Loulou et Amélie en train de vous amuser sur un banc, du coup elle m’a avoué que vous entretenez une liaison depuis des mois.

— Ah ! Oui, c’est vrai. Elle m’a fait venir ici avec elle. Nous ne t’attendions pas. Je suis à la rue maintenant.

— Serais-tu tenté par un lit simple. Il y en a un dans notre chambre. Sauras-tu être discret ?

— Parce que vous …? Ce n’est pas possible, ce que vous êtes chic ! Formidable. ! Je ne toucherai plus à Julie, promis, juré ! Vous me ramènerez au pays en auto ?

— Ce n’est pas ce que je demande. Julie réfléchit et doit choisir entre toi et moi. Elle doit donner sa réponse. Il serait juste que tu sois là au moment du choix; Je disparaîtrai si elle te préfère. En feras-tu autant si elle se décide en ma faveur.?

— Oh ! Là ! Pas si vite. Julie a quarante ans. Dans vingt ans j’aurai son âge et elle sera vieille. Pas question de me condamner à vivre avec elle. Elle est chaude, tendre, amoureuse, bonne à baiser, mais ça ne durera pas. As-tu vu les deux nanas que j’ai levées ce soir. Je choisis la chair fraîche et les élans de la jeunesse. Je veux bien dormir à l’hôtel, repartir avec vous, mais après stop. D’ailleurs Julie n’est pas une femme fidèle, je ne pourrai jamais avoir confiance en elle.

— . Je partirai dimanche matin, en voiture, avec Julie ou sans elle, avec toi ou sans toi. Vous choisirez la date de votre retour et votre moyen de transport.. Accompagne-moi et dis tout ça à Julie avant qu’elle ne communique sa décision

Julie est couchée quand nous pénétrons dans la chambre 27. Elle ouvre des yeux grands comme ça à l’entrée de ses deux hommes, reste muette, éberluée. Je prends la parole.

— Voilà. J’ai jugé nécessaire que tu te prononces en notre présence. L’un de nous sera l’élu et l’autre cédera la place : nous serons renseignés l’un et l’autre en même temps. Marco voudrait parler avant d’entendre le verdict.

Courageusement le jeune homme répète ses considérations sur l’âge de Julie et le sien, me prend à témoin pour noter l’instabilité amoureuse de ma femme et son infidélité. Il achève en révélant son goût pour les jeunes filles.

— C’est parfait, conclut Julie. Cette déclaration rend ma tâche plus facile. Bien sûr mon choix était fait. Je reste avec mon mari, je n’ai jamais eu l’intention de le quitter. Marco, je suis contente que tu acceptes aussi calmement ma réponse. Merci pour tout. Tu peux aller maintenant.

J’interviens. Je ne danse pas de joie. Je comprends que je suis choisi par défaut. :

— Celui que tu viens de choisir dormira dans ton lit. L’autre pourra dormir derrière ce rideau dans le lit simple. Nous voyagerons ensemble dimanche. Marco sera notre invité jusqu’à cette date. Dormons,

Une lueur éclaire l’oeil de Julie. Que peut-elle espérer ? Il lui reste trois jours pour reconquérir l’amant volage ? Elle peut aussi douter de la sincérité de la déclaration de son grand blond. Un petit mensonge de plus pourrait changer sa vie. A-t-elle sollicité mon avis, m’a-t-elle souri ou tendu les bras ? Non. Son choix n’a-t-il pas été dicté par les paroles de Marco ?

Marco ronfle. Dort-il ? Julie ne cesse de bouger, se couche sur le côté, me tourne le dos, puis revient sur le dos, mais toujours à l’autre bout du lit, le plus loin possible de son élu. Il fait chaud, comme elle j’ai repoussé le drap avec les pieds. Elle est en chemise de nuit, je porte un pyjashort. Marco ronfle fort. Julie pleure, renifle. . Je tends mon bras. Je soulève mes fesses, puis mes épaules pour me rapprocher. Cette fois ma main touche le tissu de la chemise de nuit à hauteur de hanche. Encore un effort, je remonte et je caresse le sein droit de Julie. Ma main tourne doucement sur la douceur tiède, se fraie un passage dans l’échancrure de la chemise et va au contact du deuxième sein.

— Attention, Jean, nous ne sommes pas seuls. Ce n’est pas le moment. Demain il sortira et nous pourrons…

-Mais il ronfle. Viens plus près. J’ai trop attendu. Je veux te remercier de m’avoir choisi. Laisse-moi t’aimer. Ma main reprend possession de toutes les surfaces, des seins jusqu’au pubis, caresse, suit les courbes. Ce corps de quarante ans est encore si attirant surtout quand il s’abandonne. Julie m’a choisi, elle ne peut pas se dérober. Son clitoris gonfle sous mon index. Mon majeur déniche la fente, en sépare les lèvres. Je suis accoudé sur le bras gauche, mon visage rencontre celui de Julie. Ma droite fouille entre ses cuisses, il y fait plus chaud et plus humide. Le bassin de Julie s’anime. Ma bouche se pose sur la sienne, nos lèvres se collent, s’ouvrent et j’envoie ma langue contre son palais Julie soupire, se laisse prendre au jeu. Je suis décidé à m’unir à elle. Ma jambe droite passe par dessus la jambe de ma femme et s’installe entre ses genoux. Nous nous embrassons. J’y mets toute ma conviction, Julie est encore molle. Dans un nouvel effort je gagne la position sur elle, poitrine contre poitrine, ventre à ventre. Julie a compris, elle accueille mes deux jambes entre les siennes qu’elle remonte. Ah! Sa main cueille ma verge en érection, c’est parti, elle collabore, frotte mon gland sur ses lèvres intimes, me guide, tend son basin pour m’accueillir en elle et fait :

-Pschitt, fais doucement, le sommier grince.

Que je suis bien en elle, immobile au fond de son sexe. Je n’ai plus envie de bouger. Elle m’embrasse, elle me dit "Je t"aime" Tout le reste est oublié . Il fait chaud en cette nuit du quatorze juillet, la transpiration colle nos peaux. J’amorce le va et vient des corps en amour. Tout doucement parce que c’est bon, tout lentement pour ne pas faire chanter les ressorts, tout tendrement parce que je suis heureux de conduire ma femme reconquise vers le plaisir. Cae ça marche. Envolés les rhumatismes et autres douleurs. Julie émet des soupirs, des gémissements, mais à sa façon de m’étreindre je reconnais l’expression de sa jouissance. Et tout à coup elle se lâche, geint sans retenue, réclame :

-Oui, prends-moi, plus fort… encore, baise-moi, oui, plus fort, Jean je t’aime

Je pose ma bouche sur la sienne pour la faire taire, l’orgasme l’emporte, ses râles assourdis certes restent audibles, peut-être même en dehors de notre chambre. Les ronflements de Marco ont cessé. J’éjacule en Julie, elle souffle toujours fort; oublie la présence de notre hôte et me remercie à haute voix

— Que je suis heureuse. J’ai eu si peur de te perdre. Oh ! merci, mon amour.

D’un mouvement vif elle me renvoie sur le dos, se précipite, m’enfourche, s’assoit sur mes cuisses et à deux mains branle ma bistouquette, crache dessus, la secoue et finit par lui rendre la raideur propice à un deuxième round. Elle avance son bassin, tend ma verge vers sa chatte sans se soucier des retours de sperme, s’empale, marque une courte pose pour s’ajuster. Elle me chevauche, c’est délicieux, calme, tendre. Ma femme m’aime de nouveau, je suis heureux de cette union voulue par elle. Pour m’embrasser elle s’allonge sur moi, ses seins s’écrasent sur mes côtes, ses bras encerclent mon cou.

Ainsi sa croupe acquiert plus d’autonomie, une sorte de légèreté, se dégage plus facilement et redescend plus vite autour de mon membre. Le choc des chairs devient plus bruyant, donne la cadence. Cette cadence se fait plus rapide. D’une main vite libérée de ma nuque Julie rattrape ma lance, la replace et repart au galop. Son souffle rauque répond à l’énergie de ses efforts. Elle vient de décoller vers un nouvel orgasme, rien ne pourra ralentir le rythme qu’elle s’impose ou atténuer l’intensité de ses " ah ah!" grelottants, de ses " oh !" prolongés et tremblants.

Elle s’acharne à aboutir, pour elle, pour moi … Pour le traître peut-être, pour lui montrer ce qu’il perd :- l’idée m’effleure, la guérison est-elle définitive ? – Brutalement tout se fige. Julie jouit et le fait savoir avec force cris et j’éjacule en son vagin. C’est consommé. Elle reste couchée sur moi, reprend lentement son souffle. Si elle s’endort sur moi, ce sera un signe de confiance et d’abandon rassurant pour notre avenir.

Nous somnolons ainsi dans une sorte de ouate, unis, emboîtés, bienheureux.

— Non ! Que fais-tu ?

Le mouvement brusque de Julie et sa protestation m’ont tiré de ma somnolence. Julie gigote sur moi, pousse sur ses bras pour se libérer et n’y parvient pas. Elle pèse plus lourd, remue ses jambes, remonte ses genoux le long de mes hanches, crie encore " non, non, arrête". Je ne lui fais rien. Tout à coup elle pousse un non plus long, comme une plainte. Mes pieds se heurtent à d’autres pieds, à une peau moins douce que celle de Julie. Contre ma verge ramollie dans le vestibule du vagin, je sens la poussée d’un corps dur et des secousses. Enfin j’entends une voix:

— Il fallait pas vous moquer de moi. Je dormais et vous vous êtes amusés à faire l’amour. Vous m’avez excité. Voilà, le résultat, je t’encule.

Les poussées de l’autre verge dans le cul de Julie réveillent mon dard. Julie est prise par les deux orifices et gémit des protestations de femme furieuse. Mais le son baisse, Marco se démène dans ses entrailles, Julie s’essouffle, pleurniche, mais se soumet peu à peu à l’invasion. C’est nouveau pour elle, ce l’est plus pour moi. Alors pourquoi me retenir. Le combat est engagé. Marco écrase les fesses envahies par sa queue, frotte contre la mienne. Quelques millimètres de peaux, de muqueuses nous rapprochent. Nous sommes deux à entrer et faire semblant de sortir de ce corps désiré. Elle a cessé de se plaindre

— Oh ! C’est bon , oui c’est bon.

Julie apprécie nos efforts conjugués dans ses trous. Elle recommence à geindre, mais l’intonation a changé. Du refus elle est passée à l’expression d’un désir de plus de plaisir. Elle le dit, le répète à longueur de pénétrations. Son bassin est secoué de bonds impossibles à maîtriser. Marco et moi ne réussissons plus à bloquer ses sursauts. Je plaque ma main sur sa bouche pour la faire taire. Et comme toujours, l’orage passe, j’ai du mal à supporter la charge de ces deux corps inertes sur moi. Du liquide s’écoule sur mon ventre et sur mes cuisses. Ai-je encore éjaculé, Julie a-t-elle uriné dans son délire ou restait-il du sperme chez Marco après ses exploits de la journée ? Il se retire, s’excuse à moitié

— Je ne sais pas, mais je vous ai entendu, ça m’a rendu fou. Je regrette, il faut que je quitte la chambre, sinon, je pourrais recommencer.

-Tu as raison, réplique ma femme. C’est fou, tu m’as déchiré le cul. a mon âge.

— Je regrette mais ce cul ouvert à la lueur de la veilleuse m’a tenté. Et qu’est-ce que c’était bon. Il faut que je parte, c’est abominable. Considérez ça comme des adieux.

— Bien, tu peux partir, tu es trop dangereux et imprévisible. Et sans capote, dégoûtant, dans mon cul. Quelle idée.

-Attends ma femme. Cela t’a vraiment déplu ? Tu n’as pas aimé un tout petit peu. A la fin j’ai cru sentir que ça te plaisait même beaucoup.

— C’est vrai, mais maintenant j’ai la rondelle toute endolorie. C’était étrange ces deux bites en moi en train de me ramoner les cheminées. Oui, j’ai aimé, malgré moi.

— Et si on recommençait ?

— Ah ! non, pas tout de suite, je souffre trop.

— D’accord, pas tout de suite, mais demain et les autres jours. Ne chasse pas Marco. S’il veut, il peut rester avec nous, ici et ensuite il nous rendra visite à la maison. L’expérience m’a ravi. J’aimerais remettre ça le plus vite possible. La prochaine fois il se protègera pour te baiser et je te prendrai le petit trou. Et pensez aux autres combinaisons possibles à trois.

Marco saisit la balle au bond :

— On pourrait inviter Loulou et Amélie. Je suis sûr qu’elles seraient d’accord. Amélie m’a dit qu’elle adorerait faire l’amour avec Jean. Elle aime les hommes mûrs, légèrement grisonnants. Elle a précisé qu’elle avait déjà pesé ton paquet au-dessus de la crique.

— Ah ! non ! Marco tu exagères. A trois oui, mais pas d’autres filles. Elles me voleraient mon homme. Pas question. Oh ! Si vous saviez … j’ai des démangeaisons là et là . Ça vous dit ?

FIN

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