Chapitre 13
Comment cela pourrait-il en être autrement, ainsi habillée, seulement en porte-jarretelles, la culotte git sur le sol de la salle de bain.
Isabelle passe un pied, puis l’autre, par dessus la robe, faisant claquer ses talons à brides sur le sol de la luxueuse chambre, 4 étoiles.
Ses diamants, au reflet du lustre, brillent de milles feux.
Isabelle est tout simplement à mourir, quel homme ne serait pas tenté par un tel tableau ?
Éric se lève, il en tremble.
« Oui maman…, tu es une très belle femme, je suis tellement fier que tu sois ma mère ! »
Petit à petit, il se rapproche d’elle, cette dernière ne le regarde toujours pas.
Éric se risque de lui caresser la joue.
« Ooh, maman… ! »
Maintenant, leurs regards se font face, Isabelle reste quand-même hésitante, tandis que le visage de son fils se rapproche du sien.
Leurs lèvres se touchent et c’est ainsi que, ni l’un, ni l’autre, ne se retient plus longtemps, ne faisant qu’un ! Cest un long baiser qui prend le dessus sur la parole et la moralité.
Éric emporte en même temps sa mère sur son lit, il lui embrasse le cou, les seins. Isabelle est perdue par tant de tendresse.
Alors, dans un silence érotique, Éric se déshabille, en face delle, pendant que celle-ci regarde son corps mat, dû à l’origine italienne de ses deux parents.
Il retourne sur le lit, se mettant à genoux, à côté de son visage.
L’invitation est claire et Isabelle le comprend aussi, ne pouvant plus faire marche arrière. Isabelle relève la tête et dans un bruit de succion, avale le membre viril de son garçon.
Éric pose sa main sur sa tête, puis lui donne le mouvement à suivre.
Les yeux fermés, la bouche ouverte au maximum, Isabelle avance et recule sur ce pieu long et gros, dont les lèvres, soulignées de rouge carmin, glissent sur la peau tendre et veineuse.
Éric est aux anges, il regarde cette superbe créature lui faire du bien.
Toutefois, Isabelle ne peut pas avaler toute sa verge, 25 centimètres, c’est long ! Elle la déjà engloutie au trois-quarts et elle doit déglutir pour ne par s’étrangler.
Elle recrache son sexe et le lèche tendrement tout le long de sa tige.
Pendant cette divine fellation, leurs regards se croisent, mais ni l’un, ni l’autre, ne ressentent ni honte, ni tabou, c’est parti pour aller jusqu’au bout.
Éric se retire et se place entre les genoux de sa mère, il regarde son triangle de poils pubiens. Les lèvres roses, luisantes de mouille, font leur apparition, dû à l’écartement de ses cuisses.
Éric plonge, sans plus tarder et goûte à cette fente qui lui avait donné le jour, il y a maintenant, 19 ans.
Isabelle se tord de plaisir, osant, à peine, poser sa main sur le crane de son fils, pour lui en exprimer le plaisir qu’il lui donne.
Au bout d’un moment, Éric remonte, pose les jambes de sa mère sur ses épaules.
Ils se regardent, en silence, tous les deux, sachant ce qui va se passer, juste après.
Le gland écrase les poils du triangle, Éric recule du bassin, son sexe vient se planter entre les lèvres vaginales de son amour de mère.
Le jeune homme pousse d’un coup et c’est sans difficulté que son dard pénètre cette chatte interdite.
« Aaaah, mmmmmm, ohhhhh… ! »
"Que c’est bon !", pense certainement Isabelle, Éric est entièrement à lintérieur, ça na jamais été aussi bon.
Il se cambre sur cette femme qui s’offre entièrement à lui et c’est ainsi que son fils commence à lui administrer de grands coups de boutoir.
Le lit bondit à chaque poussée, qu’elle puissance, Antonio est bien ridicule, à côté dune telle performance.
Il n’y a pas photo pour Isabelle, elle prend son pied, c’est inéluctable !
Au bout d’un moment, elle se tord de plaisir, elle n’a jamais connu ça, il faut croire que son fils est l’homme de la situation, tant attendu depuis si longtemps.
Ils transpirent et Éric qui a joui, peu de temps avant dans la salle de bain, se fait plus long cette fois-ci.
Isabelle prend, alors, la situation en main, dun geste tendre, mais soutenu, elle fait comprendre à son fils de se coucher sur le dos.
Elle le chevauche sans perdre de temps et renfile sa longue queue dans son intimité brûlante.
C’est encore meilleur comme ça, à en voir le visage de sa mère.
Isabelle bondit comme une folle sur lui. Éric en a la bouche ouverte, quel pied !
Il ne peut plus rien retenir, il se lève et Isabelle le coince contre elle et c’est, la tête dans les seins quÉric jouit une nouvelle fois en elle.
Épuisés après tant d’efforts, ils s’abattent, tous les deux, sur le lit, respirant fort.
« Oooh, maman…, merci… !
Merci à toi, mon cur… ! »
Ils se regardent en souriant tout les deux, satisfaits d’avoir fait ce qu’il devait être fait.
Puis, au bout d’un moment :
« Jamais personne ne m’avait fait aussi bien l’amour, ni même porté autant de passion sur ma personne !
Je sais maman… !
Mais, il faut aussi se rendre compte de notre situation… ! »
Éric comprend où sa mère veut en venir.
« Éric…, promets-moi, maintenant, que plus rien se passera entre nous… !
Mais maman…, je…
Je le sais, mon chéri…, mais comprends-moi, je t’ai fait naitre au monde…, tu viens de moi. Je t’ai porté pendant 9 mois, quelle maman pourrait se réjouir d’une telle liaison ? »
Éric la regarde et comprend ce qu’elle veut dire.
« C’est vrai…, il faut que ça cesse…, je te promets, maman !
Éric…, je veux te voir heureux, te voir marié et papa…, et moi, mamie, qui sait ? »
Tous deux, dun sourire, scellent leur accord.
« Oui maman, je veux que tu sois fière de moi…, jamais je n’oublierai ce moment passé avec toi…, mais ma promesse sera tenue !
Oh mon cur, je remercierai toujours, le jour où je t’ai donné la vie ! »
Après une embrassade, Isabelle quitte la chambre après s’être rhabillée.
Éric se couche, le lit porte encore son parfum, dernier témoignage de leur fusion charnelle.
Le lendemain matin, la petite famille reprend le chemin du retour.
Avec un Éric qui regarde une dernière fois l’hôtel où il a compris son amour pour sa mère et en même temps, qui l’a laissé entre ses murs.
Isabelle, silencieuse, mais se réjouit de la promesse qui lui a fait son fils chéri.
Seul Antonio repart en piteuse état, avec un mal terrible au crâne.
Tout rentre dans l’ordre lors la semaine qui suit.
Éric reprend ses cours, conscient que la promesse qu’il a faite à sa mère. La réussite de ses études en dépend, en grande partie.
Antonio repart dans ses voyages et Isabelle s’occupe de la maison, étant encore en vacances, pendant une semaine.
Le mardi matin, elle se change pour partir faire les course en ville.
Elle a enfilé une jupe noire qui lui arrive à mi-cuisse et un ravissant haut blanc, au col en v, qui laisse paraître un plongeant décolleté.
La pluie était tombée durant la nuit, il fait un peu frais ce matin.
Elle décide d’enfiler des bas Dim-up gris, a la lisière gris foncé, sans aucune couture de dessins.
Et cest chaussée de ses escarpins à talons-aiguille noirs qu’elle décide d’y aller.
La sonnette de la porte retentit dans toute la maison, Isabelle, encore en haut, descend les escaliers à vive allure pour ouvrir.
C’est François, le meilleur ami d’Éric.
« Bonjour Isabelle, Éric n’est pas la ?
Mais non, il est en cours…, pas toi ?
Non, je n’ai pas cours aujourd’hui, je pensais qu’il en serait de même pour lui ! »
Après une petite discussion, François retourne à sa voiture.
isabelle, le trouve bizarre, mais étant déjà en retard, ny réfléchit pas plus que ça.
Elle sort de sa maison, François est encore dehors, en train de démarrer sa voiture.
« Tu pars, Isabelle ?
Oui…, je vais faire les courses !
Ben écoute, je t’emmène…, si tu veux ?
Oh merci, mais je ne vais pas te déranger !
Mais, ça ne me dérange pas, je n’ai rien de prévu ce matin ! »
François, sans attendre sa réponse, sort de sa voiture et prend les sacs de course de la mère de son ami
Isabelle, surprise, se laisse, finalement, guider.
Après avoir posé les sacs dans son coffre, il ouvre la porte du passager pour inviter Isabelle à y entrer.
« Allez hop…, en voiture, chère madame !!
Bon…, c’est gentil, mon petit François ! »
Isabelle se penche pour entrer et en même temps, elle pose un pied sous la boîte à gants, pour pouvoir s’assoir.
Durant le mouvement, sa jupe noire, qui lui serre la taille, se retrousse, dû à l’écartement de ses cuisses.
Au moment de poser ses fesses sur le siège, François, bien placé, jette un coup d’il.
Isabelle ne fait pas attention quen un bref instant, elle dévoile la totalité de ses bas gris, mais aussi son string rose en soie qui lui rentre parfaitement dans le vagin, faisant ressortir les grandes lèvres vaginales.
François est ravi de cette magnifique vue que lui offre cette femme mûre qui l’a toujours excité, bien que ce secret ne fut jamais révélé à qui que se soit.
François regagne, avec une gaule terrible, sa place de conducteur et prend la route de la ville.
La matinée se passe vite, entre le centre commercial, la boucherie, le boulanger.
Il est 11 heures, lorsque François ramène Isabelle à son domicile.
« Alors, ça y est, tu as fait toute les courses nécessaires ?
Oui, ça y est, merci mon petit François, j’ai apprécié ton geste… !
Oh, tu sais que j’adore quand tu m’appelles "mon petit François", petite allumeuse, va !!! »
En même temps quil dit ses derniers mots, il se gêne pas pour poser une main sur sa cuisse gauche.
Isabelle, surprise, tente rapidement de la lui enlever, mais le jeune homme,bien plus costaud, laisse sa main à la même place.
« Mais François… !!! Mais qu’est-ce qu’il te prend…, tu es fou… ? Arrête voyons !!!
Allez, voyons…, joue pas à la petit catholique qui n’aime pas se faire caresser…, tu as bien écarté les cuisses, tout à l’heure, hein ? Ça t’a plu de me montrer ta petite culotte, hein, salope !
Mais, ça va paaaas…, tu es malade, ma parole…, je pourrais être ta mère… !
Ben justement, parlons en…, ton fils ne se gêne pas lui…, sale garce, allez, suce-moi ! »
< Clac… ! >
La main d’Isabelle claque contre la joue de François qui ne s’attendait pas.
Il en perd presque le contrôle de sa voiture.
« Arrête-toi…, arrête-toiii…, je te dis, François… ! »
François, rouge de honte, s’arrête sur le bord de la route.
« Ce que tu viens de faire est totalement déplacé, pour qui me prends-tu ?
Ahhh…, ça va… !
Je comprends ton manège, maintenant, ben sache-le, je ne suis pas une salope, alors les jeux de ton âge, tu les gardes pour toi, tu as compris ! »
François, tres susceptible, prend très mal ces paroles.
« Ferme ta putain de gueule…, comment tu peux me dire ça…, toi qui se fous à poil sur Internet et qui baise avec ton propre fils dans le lit conjugal…, c’est pas être une salope ça ? »
Isabelle se tait d’un coup, ne sachant pas quoi dire.
« Comm…, comment t’as su ?
Quoi, comment j’ai su…, ne joue pas l’innocente, on ne voit que toi sur Internet… !
Heiiiiinnn !!!!?????
allez, viens-là…, moi j’y prends pas à ton manège…, tu m’excites trop… !
Noooon, laisse-moiiiii… ! »
Isabelle se débat, le tape, le gifle et arrive à sortir de sa voiture.
François, furieux, lui balance les sacs des courses par la porte encore ouverte.
« Allez, casse-toi…, salope, va … !!! »
François repart à vive allure, laissant la mère de son soi-disant pote sur le bord de la route.
Isabelle est apeurée, quelle vidéo ? Son fils l’aurait-il filmée ?
Elle rentre à la maison, à pied, avec la ferme intention d’en parler avec Éric.
Le soir même, Éric rentre tranquillement chez lui, après avoir pris le bus.
« Bonsoir maman…, ça va ? »
Isabelle lattend dans le hall et dès quil entre, elle est dans une colère folle-
« Comment as-tu osé, Éric… ? Pourquoi m’as-tu fait ça… ?…Qu’est-ce que je t’ai fait… ? Dis-le-moi… ? Tu avais promiiis…. !
Mais quoi…, mais quoi, putain, je ne comprends pas…, qu’est-ce que jai fait ? »
Isabelle le pousse par colère, Éric en a marre et lui serre les deux bras pour tenter de la paralyser.
« Putain, mais explique toi…, qu’est-ce que je t’ai fait, meeeerde ? »
Isabelle, en larmes, lui explique :
« Les vidéos…, pourquoi nous as-tu filmés ?
Tu…, tu le sais ?
Pourquoi as-tu fait ça…, dis-moiiii pourquoi…, tu te rends compte, tout le monde nous a vus…, je veux que tu enlèves immédiatement cette vidéo… !
Mais, c’est déjà fait depuis un moment…, juste avant de partir en Espagne… !
Prouve-le-moi… !
Ben viens, si tu ne veux pas me croire, bordel… !! »
Ils montent, tout les deux, dans la chambre d’Éric, il ouvre son PC et se rend sur le site de voyeurs.
il tape son code et son nom de profil, mais l’accès refuse sa requête.
« Alors, tu vois…, mon profil est mort ! »
Isabelle admet qu’il a raison.
« Écoute, je dois t’avouer une chose, je me suis déjà rendue sur ton site !
Quoi…, mais comment tas fait ?
J’ai trouvé un papier sous ton oreiller et lorsque j’ai bougé la souris de ton PC, l’écran s’est éclairé sur l’entrée de ce site, j’étais curieuse, alors je my suis rendue !
Et tu ne mas rien dit…, et maintenant tu m’en veux… ? Je ne te comprends pas, là… !
Des photos ou des vidéos de mes jambes, sans que l’on voie mon visage, n’était pas encore dangereux, mais là…, nous voir faire l’amour, c’est trop !!!
Mais tu es folle…, je nous ai jamais filmé en train de faire l’amour… !
Mais pourtant…, il m’a dit…
Mais qui, il ?
François…, il…, il ma sauté dessus, tout à l’heure !
Quoi… ? Il a osé te faire ça…, putain d’ordure ! »
Éric se lève pour se rendre chez lui.
« Attends…, avant, il faut retrouver cette vidéo de malheur, car si ce n’est pas toi, quelqu’un d’autre, à ta place, la fait…, et il y a intérêt de retrouver qui c’est avant que ton père ne le sache…, tu comprends ? »
Éric reprend son calme et réfléchit.
Au bout d’un instant, il se rassied à son fauteuil.
« Bon, normalement, François vient souvent sur ce site…, c’est peut-être là, quil a dû voir cette vidéo !
Et là, que fait tu ?
Je vais recréer un compte…, qui me donnera accès à chaque document du site. ! »
Ceci fait, Éric se connecte et entre sur les pages d’un site qui n’a plus de secret pour lui.
Il fait glisser la roulette de sa souris et reste scotché sur ce qu’il voit.
Les photos qu’il avait postées avant et qu’il avait effacées sont de nouveau là…, avec, en plus, le même nom de profil : "Isa Dim up" !
« Putain…, c’est quoi ces conneries ?
Tu vois, tes photos sont toujours là, Éric…, pourquoi tu…, qu’y a t’il ? »
Le commentaire, sous la photo, fait froid dans le dos :
< Quand on joue un jeu dangereux, Éric…, on ne quitte pas la partie avant que l’autre ne gagne… ! >
« Qui…, qui a marqué ça…?
Ça me fait peur tout ça, Éric…, chéri…, tu m’entends ?
Attends… ! »
Éric prend son portable et appelle François…, mais personne ne répond.
« Tu crois que c’est ton ami ?
Je ne sais p…, pas… ! »
Éric descend les pages et tombe sur un début d’image de vidéo dont la pièce lui semble familière.
Il clique sur lecture et reconnaît la chambre de ses parents où l’on voit Isabelle et Antonio dormir dans le lit conjugal.
Puis à linstant daprès, on le voit entrer dans la chambre…, la suite est connue, on se croit dans paranormal activity.
Éric clique sur pause, il file à toute allure dans la chambre de sa mère.
Isabelle, morte de trouille, le suit.
« Que fais-tu, chéri ? »
Éric regarde vers le plafond et aperçoit une petite camera, cachée dans le coin d’un meuble.
« Putain, regarde…, tu es observée toutes les nuits, maman !!
Mon dieu…, mais qui ? Éric… ? »
Éric tire sur la camera et arrache le fil.
« Aussi bien fait, il doit y en avoir d’autres ! »
Il fouille le reste de la maison et effectivement, il en trouve un peu de partout.
Dans la salle de bain, les toilettes, la cuisine, le salon.
« Chéri, il faut appeler la police…, tu ne crois pas…, hein… ?
Non, imagine-toi sils visionnent les vidéos…, que vont-ils dire sils nous voient faire l’amour… ?
Alors, on fait quoi… ? Même ton père ne peut pas être au courant !
Demain, je me rendrai chez François…, il me doit quelques explications. ! »
Éric récupère deux couvertures et se rend dans le grenier.
« Tu veux que nous dormions là-haut ?
Oui…, là-haut, je ne pense pas que quelqu’un nous observera, du moins, je l’espère ! »
Ils se blottissent l’un contre l’autre, Éric est assez mal à l’aise, Isabelle s’en aperçoit.
« Pardon, je suis peut-être, un peu trop près ?
Non, ne t’inquiète pas…, rappelle-toi, je t’ai promis une chose en Espagne…, c’est dur pour moi, mais une promesse est une promesse ! »
Au bout d’un certain silence, Isabelle demande à son fils :
« Éric…, tu crois qu’il nous veut du mal… ?
J’en sais rien…, dors maman, ne pense plus à ça !
Je dois t’avouer quelque chose, tu connais Hubert, l’un de mes ouvriers au boulot ?
Oui…, l’autre neuneu à lunettes…, pourquoi ?
Il m’a…, il ma violée, mon chéri… !
Quoi, mais…, mais…, c’est arrivé quand…, maman, réponds-moi… !
Calme-toi…, il n’est plus là… ! Il détenait une vidéo de moi dans les toilettes, en train de…
En train de… ?
En train de me masturber…, et il me faisait du chantage !
Pour de l’argent ?
Non…, seulement de tout révéler au bureau et à papa !
Putain d’enculé, mais pourquoi est-il parti ?
Je n’en sais rien, du jour au lendemain, il est venu me voir et il ma dit qu’il démissionnait !
Attends, il te tient entre ses mains, il peut te faire chanter et là, comme par magie, il se casse ?
Écoute, j’en ai été la première surprise…, la chose qui j’ai trouvée louche, c’est qu’il semblait avoir peur de quelque chose, il avait le visage tout amoché !
Oui bizarre…, tu penses que c’est lui, pour les cameras ?
Je ne sais pas mon cur ! »
Isabelle, extenuée, s’endort dans les bras de son fils.
Éric s’endort bien plus tard.
Cest le lever du jour qui les réveille.
Isabelle descend à la cuisine pour y préparer le petit-déjeuner, Éric revient sur son PC, intrigué par la copie de son ancien profil.
Il regarde toutes les photos de son uvre, puis il retourne sur la vidéo, il regarde les commentaires et une chose retient son attention :
< Che mia moglie è bellissima, sono così orgoglioso >
D’un seul coup, Éric se souvient…
« Putain de merde…, non, ce n’est pas possible… ! »
Il prend son manteau et descend au salon.
« Éric…, où vas tu ?
Je…, je reviens… !
Hé, mais tes cours…, tu va chez François…, réponds-moi !! »
Éric prend son scooter en ne répondant rien à sa mère.
« Maman, désolé, mais je préfère en avoir le cur net ! », se dit Éric.
10 minutes plus tard, il arrive devant un bâtiment bien connu.
C’est une usine de fabrication de voitures qui appartient, bien-sûr, à son père et à son grand-père qui en sont les grand patrons.
Éric rentre et se rend au standard.
« Bonjour Evelyne…, mon père est la ?
Bonjour Éric, ça fait un moment…, je ne sais, je ne l’ai pas vu ce matin…, peut-être, est-il à son atelier ?
Son atelier… ? Je ne savais même pas qu’il en avait un !!
Si, derrière l’entreprise, dans les bois, c’est là qu’il va pour se décontracter un peu !
OK, je vous remercie ! »
Éric passe par les sorties de secours et sort par derrière l’usine et entre dans la forêt appartenant à son grand-père.
Lui et Vittorio se sont souvent promenés lorsqu’il était petit, mais il ne se souvient pas d’un atelier, son père a dû le faire construire, il n’y a pas si longtemps.
Au bout de quelques efforts, il tombe sur le lieu décrit par la standardiste.
C’est une petite cabane en bois, Éric s’en approche et frappe a la porte.
« Papa ??? C’est moi…, Éric…, papa ? »
Personne ne répond, il regarde par la fenêtre et ne voit personne.
Cependant, il aperçoit, au travers de la vitre, un PC portable, ouvert et éclairé sur le bureau.
Voulant en avoir le cur net, il tente de rentrer mais la porte est fermée.
« Merde… !! »
Il regarde autour de lui, mets sa main dans son pull et frappe un coup sec dans la vitre qui se casse.
Éric passe la main par le trou et ouvre ainsi la fenêtre, il entre, il sait qu’il ne doit pas trainer.
Il tremble, il n’a rien à faire là, il se dirige prés du PC.
Il aperçoit une fenêtre dans la barre d’outil, il passe la souris dessus et avant de cliquer, le titre s’affiche :" Upskirt interdit ".
Il double-clique dessus, c’est un document écrit avec des images, où l’on reconnaît sa mère et lui, en train de faire l’amour, dans la chambre d’hôtel.
« Putain, c’est quoi ce bordel ? »
Éric lit les derniers écrits de ce récit, sans doute rédigé par son père lui-même.
< Quelle amertume de voir apparaitre un filet de larmes couler le long de mes joues, lorsque je visionne ces images…
Suis-je encore père de famille ou peut-être le témoin d’une stupidité sans pareille ?
Cette salope a donc le cur aussi glacial pour pouvoir se donner à chaque proie que je lui tends !
" Upskirt interdit "…, dévoile son abstinence, " Upskirt interdit " n’est plus qu’un titre, dorénavant >
« Upskirt interdit ???? Mais… ? »
La porte s’ouvre, un homme entre.
« Alors…, tu as fini par deviner ? »
Éric, pas surpris, ne le regarde même pas.
« Finalement, tu savais tout… ! »
À la maison, Isabelle finit de nettoyer la cuisine en donnant un dernier coup de balai.
Elle est inquiète et se demande où est parti Éric, aussi brusquement.
D’un seul coup, elle sent une caresse sur son cul.
Isabelle fait un bond et se retourne.
« Salut ma belle, ça va depuis hier ?
François…, que fais-tu, là…, par où es-tu entré ?
Par derrière ! »
Et à ce moment, deux autres types plus gaillards, l’un black, l’autre qui doit avoir les 40 ans, entrent dans la cuisine, avec un gros sourire mesquin.
« Je te présente deux grands copains, Mamadou et Stéphane, je leur ai parlé de toi…, ils veulent faire ta connaissance… !
Sortez d’ici ou j’appelle la police !
Ça suffit, grosse salope…, il est l’heure de recevoir, maintenant ! »
Isabelle, calée contre lévier, ne peut s’échapper à son terrible sort, pendant que les 3 hommes s’approchent d’elle, comme des loups affamés !
Bientôt, la suite !