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L'éducation de mon fils – Chapitre 1




Cette histoire remonte à quelques années maintenant alors que mon fils fêtait tout juste ses 18 ans.

Nous vivions ensemble depuis le départ de mon épouse et j’en avais la charge exclusive. Et pour le coup il n’avait pas vraiment envie de quitter la maison. Je dois dire que Clément m’a toujours inquiété. Alors que les garçons de son âge avait déjà tous ou presque couché et expérimenté, mon garçon était une vraie loque. Je sais que je peux paraître un peu dur, mais j’étais terrifié à l’idée qu’il devienne un jeune bon à rien et surtout socialement maladroit et qu’il ne franchise pas le cap de l’adolescence. Je savais très bien qu’il était gay et qu’il se masturbait parfois, je n’étais pas naïf, j’étais parfois tombé sur des pages de porno gay qu’il avait oublié de fermer sur son ordinateur.

Il fallait que le confronte. Au détour de sa chambre alors qu’il jouait encore à des jeux vidéos, les volets fermés, dans la pénombre, je lui demandais très franchement s’il avait déjà fait des choses

— Papa pitié c’est ultra gênant, tu me saoules! s’exclama-t’il.

— Ecoute Clément, je fais ça pour ton bien, tu dois me le dire c’est important, je me questionne vraiment… soupirais-je.

— Non voilà t’es content, je m’en fous je préfère mes jeux! ajouta-t’il.

— Je sais que tu es gay! soufflais-je

— Je t’emmerde… dit-il sans même me regarder dans les yeux. 

Rouge de colère, je débranchais d’un coup la prise de son ordinateur de bureau lui faisait rater sa partie. Il était blanc. Il se leva d’un coup et malgré son côté nonchalant il m’expulsa de sa chambre en claquant la porte. C’était décidé il fallait que je trouve un moyen, il fallait un électrochoc. Je découvris alors un docteur très particulier qui employait des méthodes expérimentales. Le RDV était pris. Il fallait changer les choses. 

Deux semaines plus tard j’embarquais Clément dans la voiture  alors qu’à son habitude il traînait, barbe de 3 jours mal rasée, en jeans troué et en sweat sur le canapé… Nous nous retrouvions chez le docteur Samuel Bergstein, spécialiste des troubles de la sexualité chez les adolescents. Clément était à la fois gênée, silencieux et racorni sur son fauteuil alors que je parlais franchement au docteur.

— Monsieur Bergstein mon fils m’inquiète vraiment, dis-je. Je sais qu’il est gay et qu’il n’est pas prêt à entamer une vie sexuelle. Il semble complètement hypnotisé par les jeux vidéos, il ne cherche pas à rencontrer, à coucher. Aidez nous docteur! 

— Je vois – ajouta le docteur, je pense que votre enfant a peur de passer le cap, comme s’il voulait gagner du temps comme s’il avait peur de quitter le foyer s’il couchait, s’il devenait un adulte. Qu’en penses-tu Clément?

— Je m’en fous – ajouta-t’il avait un air de défi.

— Très bien, dit le docteur en se levant, son complet marron le serrant un peu, surtout à l’entrejambe.

En une fraction de seconde il sortit de son pantalon sa queue sans autre forme de procès et la brandit au visage de Clément qui louchait devant l’épaisse queue circoncise qui se trouvait devant ses yeux. Le Docteur Bergstein attrapa la nuque de mon fils et enfonça son braquemart dans sa gorge alors que Clément s’étouffait presque. 

— Mais docteur qu’est-ce que vous faites!? criais-je, choqué.

— Un électrochoc, il faut que Clément passe un cap! dit-il en donnant des coups de bassin dans la bouche de mon fils qui se débattait. Il finit par repoussait le docteur qui essuyait la salive de sa queue avant de se rasseoir. 

— Mais c’est quoi ce délire! hurla Clément sous le choc en s’appuyant la main sur sa gorge, endolorie.

— Clément, tu dois sauter le pas. J’ai essayé de te mettre en confiance. Mais je pense qu’il va falloir quelque chose de plus radical pour que tu comprennes que le sexe est une chose dont tu n’as pas à avoir peur. Djibril, vous pouvez monter, ajouta le docteur sur son interphone.

Quelques secondes plus un immense black en jogging et débardeur entra dans la salle. Il était finement musclé, le regard dur et un sacré paquet. 

— Retourne toi, dit-il à Clément.

— Hein? ajouta mon fils, chamboulé.

— Quand ton père nous a expliqué ton cas j’ai contacté Djibril. Il me fallait une personne de son talent et de son calibre pour pouvoir te dépuceler correctement, ajouta le docteur. Maintenant, Pierre vous savez ce qu’il reste à faire me dit-il.

— Oui… Clément met toi à genoux contre moi. 

— Papa, arrête s’il te plait… supplia-t’il.

Je le giflais froidement. Mon fils ne deviendra pas une chiffe molle! dis-je. 

Clément se mit à genoux son torse contre mes jambes, alors que Djibril baisa son pantalon. Il crachat un lourd mollard sur les fesses de mon fils qui avait la tête enfoncé dans mon entrejambe. Le grand black commença à doigter Clément avec ses longs doigts épais. Soudain il sortait son énorme queue en érection. Elle devait mesurer au moins 25 cm. Il l’enfonça sa sourciller dans la petite chatte vierge de mon fils qui hurlait aussi bien de douleur que de plaisir. Je ressentais chaque à-coups alors que le docteur regardait la scène, en prenant des notes. Djibril était d’une endurance hallucinante alors que Clément me regardait, les yeux plein de larmes tout en massant son entre-jambe qui durcissait lentement. 

— Je t’aime papa… ajouta-t’il en frottant mon pénis en érection. Je le serrais fort, jamais je n’avais été aussi fier de lui. Moi qui croyait qu’il serait un geek juste bon à se branler sur du porno, il encaissait incroyablement bien les 25 cm de notre ami métissé qui lui donnait des coups de bite de plus en plus intenses. Il ouvrit ma braguette et se saisit de ma queue. Je regardais le docteur, confus, qui acquiesça. Clément me suçait avec passion comme s’il avait toujours rêvé de la bite de son père. Il avait beau être puceau il semblait avoir fait ça toute sa vie. Il était en sandwich alors que je croissait le regard vague de Djibril qui transpirait abondamment. Je finis par jouir dans la bouche mon propre fils qui continuait à me sucer tendrement en avalant petit à petit. Djibril qui remplissait la chatte de mon fils depuis bien une heure, commença en rugir puis enfonça sa bite le plus profond possible dans le trou de mon petit Clément dont la tête vint presque heurter mon bas ventre.

— Retirez délicatement s’il vous plait, le sperme doit bien rester à l’intérieur de l’anus de Clément, ajouta le Docteur Bergstein. Oui selon mes études plus le sperme imprègne le sujet plus il est mené à développer une attitude positive face à la sodomie. Et au sexe en général.

Djibril se rhabilla rapidement et sortit alors que j’aidais Clément à reprendre ses esprits. Il transpirait et ses jambes tremblaient au point qu’il avait du mal à se relever. Une fois habillé je ramenais mon fils à la voiture. Il était exténué. Il s’allongea dans son lit alors que l’aidait à se déshabiller. Je passais mon doigts entre ses fesses imprégnées de sperme et de salive. Je reniflais mes doigts avant de le laisser se reposer. 24 h plus tard, il se réveilla, encore engourdi. Je m’allongeait à ses côtés, je l’embrassais dans le cou en le serrant.

— Je suis tellement désolé papa. Je pense que le docteur avait raison, j’avais peur de te perdre si je commençais à coucher et peut être à rencontrer des mecs. Je me sentais coupable, c’est pour ça que j’étais aussi agressif, dit-il, les larmes aux yeux.

— Hé, hé… ne pleure pas. C’est normal. Mais ne t’inquiètes pas, je t’aime. Je serai toujours là pour te baiser. Ma queue est à toi, ok? dis-je en glissa ma main dans son caleçon. Nos langues se mêlèrent alors que je commençais à le déshabiller…

Je me rappellerais toujours de cette journée. Mon fils avait aujourd’hui 22 ans et il était devenu une vraie pute dans le quartier. Moi qui était terrifié à l’idée qu’il finisse à passer ses journées devant des jeux vidéos, il les passait à genoux devant des grosses bites de racailles. J’étais tellement fier de lui. Je lui laissais bien sûr carte blanche s’il voulait inviter des mecs à la maison. Il se débrouillait pour toujours laisser la porte entrouverte ou pour filmer ses ébats. Souvent il me montrait des photos de mecs avec qui il devait baiser. 

— Miam il a une sacrée queue tu vas prendre cher! dis-je en rigolant.

— T’inquiète pas tu sais que j’encaisse comme une vraie "kahba" haha! s’exclama-t’il

— Haha le marocain d’hier t’as appris quelques nouveaux mots… Et surtout pas de capote on est d’accord, il faut vraiment qu’ils te remplissent. Ou alors tu avales mais tu gâches pas le sperme hein!? dis-je.

— Evidemment tu me prends pour qui, s’enquit-il avec un clin d’oeil. Bon c’est pas tout ça mais y a un mec de chantier qui doit me baiser à 16h donc je file. Je t’aime papa! ajouta-t’il.

On était devenu tellement complice. Je le regardais partir alors qu’il allait encore se faire doser au sperme par un parfait inconnu monté comme un taureau dans un fourgon, sur une aire d’autoroute. Alors que le matin même il m’avait réveillé avec une pipe comme seul lui savait m’en faire. Mon garçon était devenu un homme, une "kahba", une vraie pute à jus. J’étais tellement fier de mon fils.

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