Histoires de sexe de vacoisins Histoires de sexe mobiles

Anne offerte aux amis par son mari candauliste ses aventures – Chapitre 4




Il faut que je vous le rappelle. Jadore sucer, jaime la bite, OUI.

En particulier je suis devenue une spécialiste du léchage de couilles.

Mon secret : des tout petits coups de langue très rapides, affleurant les bourses, renouvelés, puis beaucoup de salive, la langue remonte ultra câline sur le sexe, cette fois à longues lampées appuyées et je lèche, lèche..Le gland est flatté, mouillé, mangé comme un fruit.

Je reviens sur les couilles sans fin ou avec faim

Le tout en tétant aussi leurs seins pour raviver cette sensation de puissance du mâle.

Une chatte envers son petit.

Je sais, à présent, ce pouvoir sur ces messieurs.

———————————————————————————————————————————————–

20h le soir Alain me téléphone de son hôtel en province, des nouvelles du gosse chez les parents

« Ah joubliai, ma chérie, jai demandé à Jean Paul de passer te voir dans la soirée, une surprise.

Reçois le bien, je me suis engagé, sil te demande quelque chose fais-le, ma chérie, je rentre demain midi »

« Quoi ? Quest que tu manigances encore ?»« Allons sois gentille, chérie, sois bien généreuse, bonne, obéissante, comme dhabitude. Fais-moi plaisir, à Jean Paul aussi. Allons bébé, dis-moi oui !! »

« Écoutes, OUI, si tu veux, je le sentais venir. Jétais prête dans ma tête. Et cest quoi ? »

« Je ne sais pas, juste un coucou câlin sûrement, tu verras bien, mets du champagne au frais, je compte sur toi, mon amour »

Ebahie, je sens le piège arrivé, et il vient ce piège !!! 21h30 interphone :

« Bonsoir Anne, Monsieur Jean Paul, vous mattendiez ? »

« Vous êtes comme je le veux ?? »

« Non pas vraiment ! »

« Restez comme ça, on monte »

Le « ON », présage bien des choses. Jouvre, Mr Jean Paul est là avec un très gros malabar pas très grand, trapu, assez énorme, gros ventre. TOUT ce quil faut POUR MAPEURER ET MEXCITER !!!

Salopette, chemise manches courtes, ouverte sur torse, bras énormes, visage carré, très dur, style militaire, presque chauve, pas rasé, environ 64/ 65, plus tout jeune

« Bonsoir Anne, voici Nénesse, il est chauffeur routier, il est fatigué. Je pense que vous allez vouloir le détendre un peu »

« Nest-ce pas Anne ?? » Voix sans appel, directrice.

« Nest-ce pas ?? »« OUI, Monsieur, sûrement, bien sûr, heu évidemment »

« OUI qui ? »

« OUI, Monsieur Jean Paul ! »

« Bien, servez nous un peu de champagne, Alain ma dit que cétait près.. »

(Je comprends donc que mon mari est au courant.)

« Tu vas voir Nénesse, ce que cest quune pure salope, tu attends depuis un moment, je ne pouvais pas te la donner plus vite ! ».

Je sers à boire sur la table salle à manger, la bouteille descend de suite, (la moitié pour moi) prête à toutUne deuxième, jattends que Mr Jean .Paul déclenche la partie.

« Tu peux toucher, Nénesse, tu sais, elle va bien se laisser faire.. »

Le type, me prend entre ses jambes mattrape par les fesses, par-dessus la robe, renifle les seins, pas dautre terme « Ca sent très bon ! Cest vrai, on peut tout lui demander ?? »

« Enfin Nénesse, fais ce que tu veux, Anne est là pour ton plaisir, traite là comme tu veux,

Elle accepte tout, sauf que pour linstant son mari veut pas encore quon la baise, Mais bon !!… ça on peut voir. ».

Le routier : « Déshabille-toi, là devant moi et reste tout près !! Y a un moment que je nai pas eu une pouliche comme ça sous la main à mon Age !! »

Je défais les boutons du haut, mes seins jaillissent tout de suite, rouge de congestion, il suce mes tétons ! Il pince !

Il ne croit pas encore, je continue, Mr J Paul fait signe « plus vite ! »,

Je retire ma robe. Evidemment toute nue, jamais rien en dessous chez moi. (Mules à talons hauts toujours), Cambrée devant ce mec, je sens que cest un vrai salaud, celui-là je vais déguster.

«Cest vrai !! Je ny crois pas, elle tobéit comme ça ? A moi aussi ?? »

« OUI! Nénesse, demande-lui ! » « Viens ici ma poule, viens » « Dis-moi que tu veux.»

« OUI, Monsieur, Oui vous pouvez, tout ce que vous voulez »

Il me malaxe partout, me tourne, lui aussi, me place de côté, plonge sa main dans ma chatte, lécarte, louvre, malmène le clito, lautre main me fouille le cul, il resucée mes seins

« Je vais te bouffer la chatte toi ! Tu sens trop bon !! »

Il me porte, dans ses bras, mallonge sur la table (nous avons une table de 2,20m). Il mécarte les cuisses, grandes ouvertes, jambes pendantes à lextérieur, je suis abandonnée, il lèche ma chatte, à grands coups de langue. Il sintroduit me suce, rouge à éclater :

« Mais cest vrai Bon dieu !! Cest une vraie salope, une chienne, elle est que pour moi ? Merci jean Paul »

Il me lèche le petit trou, enfonce sa langue, goûte, revient sur la fente, le clito.

Mord mes lèvres du bas, il mange littéralement.

Cette langue, je la sens très bien, large, il séternise, il me bave dessus, mouille tous les orifices.

« Aidez le Anne ! Ouvrez-vous plus grande ! Offrez-lui votre chatte, écartez votre cul, avec vos mains.

Allez Anne ! Vite. Nénesse est là pour jouir. Donnez-vous ! Mieux que ça, cest un ordre Anne, MIEUX,

Je vous veux totalement disponible, Nénesse est un ami. »

En vrai, cest MOI QUI JOUIS !! Je coule de mouille dans la bouche de ce gros cochon.

Je prends mon pied de céder à ce rustre Je ne sais pas pourquoi, cest évident, lévolution devient inéluctable. Je vais tout accepter, parce quil est gros, vulgaire, sans retenue.

« Tu sais, Nénesse, Anne est très très bonne, elle se donne par plaisir, ne te retiens pas ! ».

Là, le Nénesse ne se sent plus, tout est réalisable, vraiment, il devient lui-même, sauvage, brute.

Cest un porc.

« Tu vas mobéir à moi aussi, Alors, Déshabille Moi ! Et doucement. »

« Tu vas me faire reluire ma petite salope !! » (Avant, il me repose vers fauteuils et canapé).

Jean Paul assis, déboutonne sa braguette, commence à se branler, il bande, matte, lui aussi prépare sa bite.

Nue, debout, je défais le haut de la salopette, déboutonne la chemise, la baisse, le routier est torse nu, très gros ventre, poilu, « lèche-moi les seins, le bide, comme si jétais du lait, lave moi. Je te veux entièrement comme ma chienne. »

Vous savez, ils ont tous un peu les mêmes mots, les mêmes envies.

« A genoux, salope, baisse mon froc !! », je fais,

Je suis à genoux, cul tendu, cuisses ouvertes en grand.

« Baisses mon slip, retire le !! », je fais.

« Viens sentir ma bite, branle moi dabord !! À deux mains », Je fais.

MON DIEU, une bite vraiment énorme, sous ce gros ventre, des couilles pendantes remplies. Un peu poilues elles sont grosses, imposantes, de la taille dun uf de pigeon chacune…Le tout forme come une balle de tennis, en plus large. UN REGAL

« Maintenant suce moi, ma pute, tout doucement, OBEIS bien, dabord les couilles, oui, lèche bien, lave les !! Elles ont fait le voyage », Je fais.

Il sent fort de la bite, juste assez, ni sale, ni propre, je ne déteste pas. De toute façon je ne peux rien faire.

« Lèche la queue !! Comme un sucre dorge, lèche !! Ten a pas des comme ça tous les jours, hein petite pute, lèche bien !! Allez pompe moi maintenant, pompe, sans tarrêter. Vite !!Fort !! Je te dirai.

Bon dieu ce quelle est bonne !!! Quelle est bonne !! Je ny crois pas.

Elle fait tout, aux ordres, cest super. Enfin une vraie salope qui aime ça !! »

« Tu aimes la bite ?? Hein ma petite pute, tu aimes MA BITE ?? Dis-le !! Tu la sens bien, tu la veux ! » « OUIIIIIII, jaime votre bite. Oui, je la veux, Monsieur Nénesse, OUI donnez »

Ma bouche est remplie, elle est vraiment très grosse et longue. Il se sent plus, me prend la tête, fermement, mengouffre sa grosse queue le plus loin possible, va et vient.

« Serre là dans ta gueule de petite bourge, garde là comme ça, ne bouge plus !! Arrête !! Lèche mon gland en dessous maintenant, je veux sentir ta langue, je vais gicler, tu vas me boire hein salope, tu vas boire ? Dis-le ! »

« Je crois que jai des vieux copains qui vont taimer. Plusieurs bites tu veux ??»

« OUIIII Monsieur, plusieurs bites si vous voulez. OUIII !! Mais donnez-moi à boire » Excité par mon accord, il crache, des jets violents longs, le premier dans ma bouche, le reste sur moi, visage et seins. Monsieur Jean Paul, entre temps sest mis nu aussi.

« Anne, allez-vous rincez et revenez, amenez ce quil faut à Nénesse ».

Je vais, reviens, serviettes, eau, lingettes.

« A moi, Anne, vous savez mon goût, pas besoin de vous dire, sur le dos, par terre, venez sous moi »

Jai la tête sous ses couilles, en arrière, il aime que je sois sous lui,

Il me donne à sucer sa bite et ses bourses épilées bien lisses.

Je les sens battre, palpiter sous mes baisers.

Il se penche pour la donner, la reprend, je la cherche, je suis comme folle, agacée dattendre quelle me pénètre la gorge.

Je le suce avec application, respect, il fait comme il veut, me défend les mains.

Pendant ce temps le routier me pourlèche la moule, par derrière, il sest accroupi, ma relevé les cuisses pour mieux me tenir.

JE JOUIS ENCORE !! Décidemment cette langue est douée.

« Cest bon hein ma pute tu vas voir, on va soccuper de toi, tu aimes trop ça, jamais vu une salope pareille, aussi docile, aussi obéissante, je crois quon tient un bon lot Jean Paul, RUNGIS va être content de savoir, ça va cracher du foutre !!! Je crois que tu las déjà montrée là-bas ?? «

« OUI, on a rien fait, on verra. Profite Nénesse profite.

Je te la prêterai en temps utile. Cest Promis »

« Anne me ferez-vous la joie de me boire entièrement cette fois ?? Allons, vous êtes daccord, je vais jouir dans 5 secondes !! Buvez Anne !

Oh oui. Cest bien, aspirez, Bien, bien »

Je lai liché jusquà la dernière goutte, comme il le désire.

« Encore Anne, il en reste !!! Bon Ma bite est enfin propre.

Bien Anne, je suis content de vous. »

« Alors Nénesse tu vois, pas menti, très belle salope, en plus, je te dis, cest uniquement par bonté pour nous, elle aime ça, surtout elle aime nous donner.

Alors on a de beaux jours à vivre, mais je dois toujours avoir laccord de son mari,

Cest comme ça, il est très sympa ».

« La prochaine fois Anne, je vous emmène au même endroit que la dernière fois, vers RUNGIS, vous sucerez une quinzaine de bites, je les choisirai moi-même, par taille, goût, origine. Et surtout bien en manque !! »

Ce sera à labri, surement un local.

Vous partirez dici dès votre porte franchie, sans rien, nue dun bout à lautre du trajet et pour le retour.

Prête à tout moment. A toutes mes demandes.

Cest le souhait dAlain, il ne veut pas le faire lui-même, jai la mission de vous faire encore progresser.

Daccord Anne ?? »

« Puis, aussi, sûrement au chantier de Thierry, une autre fois mais cest trop tôt.

JE VEUX VOTRE ACCORD Anne !!

Nénesse sera là avec ses copains, le mot est déjà passé ».

Tout le monde sait que vous chérissez affectueusement les routiers. Ils vous attendent.

« Je veux bien sucer toutes les bites, OUI maintenant je veux bien. »

« Je pense que je dois leur faire bien plaisir, mais les maladies ? »

« Allons ! Je men occupe, aucun risque, TROP de plaisir avec vous Anne, Alain ne voudrait pas »

« Vous aurez beaucoup de bites, je vais aussi vous en amener ici chez vous, au calme,

Anne, vous serez montrée à poil, nue, heureuse dêtre exhibée, à un maximum de gens choisis, sélectionnés ».

« Vous le demandez ?? Dites le Anne ! »

« OUI jaimerai beaucoup.. »

« OUI qui ?? »

« OUI Monsieur Jean Paul ! »

« Vous avez adoré sucer Nénesse ? Il a une très grosse queue, cétait bon ?

Dites le moi ! Cest important de vous soumettre ».

« OUI cétait très bon ! Jai bien joui, il suce bien aussi !! »

Jétais très excitée, contente de le satisfaire.

« OUI jaime bien sa bite, Monsieur »

« Vous appartenez à qui Anne ? » « A Alain et maintenant à vous Monsieur ».

« Bien. Tu vois Nénesse elle est plus salope que tu ne pensais, elle aime ta grosse queue, en plus, elle va le raconter. Cest une demande de son mari, on ne sait à qui, mais elle fera »

« Anne, servez nous une petite coupe de champagne. Je vois dans votre il que lengin de Nénesse vous intéresse encore, petite délurée»

On boit, je prends trois coupes, je suis pompette.

CEST MOI qui ressaisit la queue du routier, le branle, lui caresse les couilles, passe un doigt sur ses fesses rebondies, je lui mets un doigt dans le cul, et chatouille.

Il bande comme un cheval !!

Les hommes adorent ce jeu.

Je me remets tout de suite à quatre pattes croupe ouverte, comme une vraie chatte, je désire être très chaude à ce moment, je veux donner, faire jouir, joffre mon cul en dandinant à Mr jean PAUL, je voudrais être prise !

Il me tient ferme les hanches, met encore une fois sa bite au bord de mon trou de balle, sans senfoncer, juste assez, que je sente le brugnon de chair.

Il ordonne : « Remue autour !! ». Moi jaime ça quand je suis un peu grise.

Très vite Mr Jean Paul gicle ses jets irréguliers, sa queue saute et remplit mon beau cul communicatif si obligeant (hum !).

Jengloutis avec rage, en même temps, la bite de Nénesse.

Je laspire à fond, la léchant de bas en haut.

Je la garde serrée en bouche fermée, la langue lèche le frein du gland à petits coups…un délice, aussi une exquise manière de me venger.

« Monsieur Nénesse, donnez-la moi, je veux vous sucer, remplir ma bouche.

Je la veux entière, (il joue avec moi, donne, retire, comme il a vu pour J Paul).

Jean Paul me tient les mains derrière le dos.

« Je veux votre jus, crachez Monsieur, jappartiens à tous, je vous en prie, sil vous plait, je veux boire »

Je prends un plaisir dingue à le pomper à être la chose de ce vieux porc de camionneur,

Il exploite ce don, bloque ma tête, cloue sa bite, JOUIT en me maintenant, se déverse à très longs jets, chauds, puissants. Il grogne, râle, il crie presque.

Là aussi, jabsorbe tout, un flot consistant, épais, en étonnante quantité, dune saveur mi amère mi sucrée.

Le routier Arc bouté :

« Chienne, salope, tu me fais jouir, quelle occase !! Vraiment je voudrais que tu me pompes toute la nuit. »

Dès quil est essuyé, je lai encore sucé une fois, jétais allongée sur le dos sur le sol, lui au-dessus, presque assis sur ma bouche, je voyais ses couilles battre, son anus. Folle dêtre le bien-être de ce vieux salaud.

« Formidable, elle vénère la bite comme personne !! Je la veux encore, Jean Paul, très vite !!! Elle te siphonne comme une reine.

A mon Age, je redis, une magnifique jeune vicelarde comme ça. Je ne te dis pas. Cest Le pied, il me la faut, tu sais ce que tu me dois !! Tu peux pas refuser »

Mr Jean Paul acquiesce, le rassure, il aura, donne le signe du départ.

4H00 du matin.

Celui-là, je sais, va continuer, parce que jai eu vraiment du plaisir, vrais orgasmes !

Il la bien compris, plus dégueulasse que les autres, plus direct, je pense quil sest retenu, je sais, je vais tout accepter.

Il faut se rendre compte de létat second dans lequel ce porc ma mise.

Il a engendré en moi une envie terrible de suites.

Une sorte de révélation, ce salopard de mari a raison !!

Depuis il y a eu bien dautres séances.

Une, Brice, tout seul, en service commandé.

Une, avec 2 copains à lui 1 black jeune 20 ans et un vieux gros, blanc timide, moche,

Il navait jamais vu ça de toute sa vie. (Chez moi.).

Une, avec Nénesse seul, 4 de ses copains ex routiers, en retraite. (Dont un de 72).

Un délire. Des salauds, primitifs, habitués aux putes, brutaux, vulgaires.

Ce fut une sorte dapothéose, la dernière de cette période-là, avant la cabane de chantier, (avec Jean Paul et Alain à cause des risques de débordements.)

Une bonne douzaine douvriers arabes, polonais, italiens…

Je vous laisse dans lattente. Car cette aventure ma laissé des souvenirs, fort bienfaisants

Après il y a eu encore AUBRAC avec 7 routiers au retour de congés en été, avec ce candauliste acharné, toujours en quête de me trouver des partenaires.

VICHY, où seule, en voyage daffaires, jai offert du plaisir au serveur de lhôtel puis à tous ses amis, à plusieurs reprises. Toujours pilotée par mon mari.

Paris, un client Promoteur ultra pervers où Alain ma pratiquement donnée, en échange dun contrat.

Du fait de lapplication de ce contrat, ce vicieux a pu user de moi toute une période, presque à son gré. Mon cher mari comblé.

Bizarrement, chaque fois quun nouveau mest présenté, je constate quil a des amis ? Des copains ? Des relations

et leurs souhaits sont les mêmes, se faire valoir en mamenant  !!!

Related posts

Amandine, de pucelle à salope – Chapitre 3

historiesexe

Moto avec Chantal – Chapitre 1

historiesexe

Claire et nous – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .