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séjour imprévu – Chapitre 1




Alors que nous nous prélassons au bord de la piscine, nus comme d’habitude, à l’abri des regards extérieurs, nous recevons un appel de mes beaux-parents, nous apprenant que Paul le père de Jean se propose de venir passer quelques jours pour finir quelques travaux de jardin, sa femme faisant un stage ; il est vrai que ce n’est pas la tasse de thé de Jean et qu’il y a un peu de laisser-aller.

Certes nous acceptons, même si nous savons que ; entre autres plus de câlins dans l’eau ; cela modifier un peu nos moments de farniente ; en autre plus de câlins, dans la piscine ; tant pis.

Paul est un bel homme de 65 ans, très bien conservé par le sport, très cultivé, plein d’humour et très charmeur ; donc aucun problème pour le recevoir. À son arrivée, Paul, toujours aussi charmeur, me complimente sur mon physique et s’adressant à son fils « tu as de la chance d’avoir une femme aussi sexy ». Il est vrai que pour le recevoir, je suis en jupe et en corsage transparent, sans soutien-gorge, ustensile que je ne porte que rarement. Sous le compliment, à la fois flattée, mais aussi gênée, mes pointes percent sous le fin voilage. Il s’en aperçoit et son sourire est plein de malice.

Les travaux avancent, entrecoupés de restos et sortie à la découverte de notre région, qu’il ne connait que très peu. Les jours passent, Paul toujours à mes petits soins, le plus souvent à côté de moi, lors des repas ou des apéros, me tenant parfois par les épaules. Ce qui fait amuse Jean « si cela continue je vais être jaloux » me dit-il en riant.

Plongeon dans la piscine à la douceur de la soirée, mais cette fois en maillot de bain deux pièces, mais Jean comme à son habitude, me chahute dans l’eau et le résultat est une sortie imprévue d’un sein, sans que je m’en aperçoive aussitôt et bien sûr, Jean ne me dit rien ; c’est en sortant de l’eau que je constate l’incident’ et si je le remets rapidement en place, il est facile de voir que Paul a tout vu ; le regard brillant de malice, il me taquine me conseillant de mettre un maillot complet ou comme le précise Jean de ne pas en mettre du tout.

Prétextant une envie pressante, je me réfugie dans la maison, à la fois gênée, mais aussi, bizarrement excitée comme une puce. Quand je reviens avec des boissons, je constate que les deux hommes sont nus et je peux voir que Paul, faisant la planche, sans doute par provocation, présente un sexe de belle facture, bien plus importante que celle de Jean, même au repos. Finalement, sans doute aussi pour répondre à cette provocation, je fais de même et c’est totalement nue que je plonge. Le reste de la soirée se termine sans problème, avec un apéro rosé bien frais et un barbecue.

Alors que nous allions nous coucher, Jean reçoit un appel de l’hosto, le réclamant pour une urgence ; me faisant un bisou, il me dit : « ne m’attends pas, j’en ai sans doute pour plus d’une heure » après un passage à la salle d’eau, je redescends pour dire bonsoir à Paul ; mais celui-ci est reparti se baigner, bien-sûr totalement nu. M’apercevant « désolé, je te croyais couchée, tu devrais en faire autant car l’eau est excellente »

Sans réfléchir, je quitte ma sortie de bain et je le rejoins. Erreur de ma part, car à peine dans l’eau, il se colle contre moi et me prenant par les épaules, il se place devant moi et dépose un bisou, à la limite de mes lèvres ;surprise, j’essaie de m’éloigner , mais il me garde dans ses bras et rapidement je sens son sexe tendu contre mon ventre ;à nouveau, il me sert contre lui « je sais que tu aimes faire l’amour, cela fait plusieurs jours que je t’entends jouir le soir et j’ai envie de toi »

Menserrant dans ses bras, il m’embrasse à nouveau, mais cette fois fougueusement et sa langue essaie de s’infiltrer entre mes lèvres ; il réussit, c’est un profond baiser ; j’essaie de lutter, mais il est plus fort que moi et mon envie monte, d’autant plus que sa tige se frotte de plus en plus contre mon ventre. Petit à petit, mon envie me submerge, repensant à ce sexe bandé qui maintenant se glisse entre mes cuisses et qu’une main me pétrit le sein, titillant ma pointe érigée, ce qui en général me fait vite grimper. Ma bouche s’ouvre et je réponds à son baiser et je me cambre à l’encontre de son vit.

Il a compris que désormais je suis à lui et me relevant un peu, il présente sa verge à l’entrée de ma grotte et me regardant il me dit « tu vas être mienne, je vais te faire jouir, après tu réclameras ma queue » et d’une poussée il me pourfend ; mais même si mon envie est réelle, je ne suis pas ouverte et sa pénétration brusque déclenche une douleur et je ne peux retenir un cri. Son membre me remplit, je m’ouvre et son gland vient percuter le fond de ma matrice ; fougueux, puissant, il me prend avec vigueur accrochée, moffrant sans retenue à cet amant imprévu cou, j’écarte les cuisses le plus possible, m’offrant un peu plus. Performant, il me besogne un long moment et je suis surprise de sa résistance ; pour moi cela fait déjà deux jouissances, pas lui.

Enfin il se retire et me prenant par la main, il sort et se dirige vers la maison ; et c’est dans ma chambre qu’il veut entrer ; j’y suis hostile et je refuse ; sa réaction est brutale : « je te veux dans votre lit, tu vas être à moi et je vais te baiser, bien plus que mon fils ».

Je constate qu’il n’a pas débandé et me faisant mettre à genoux, il se plante dans mon vagin, profondément, ses couilles venant buter contre mes fesses, à chaque coup de butoir. De nouveau, il m’amène à la jouissance, tant par sa puissance que par sa domination ; pour lui, je suis prête à tout. Quand il se cabre déversant un flot de sperme au plus profond de moi, je deviens sa femelle, réclamant qu’il continue à me baiser.

S’il vient de juter, il na, par contre, pas débandé, et m’agrippant par les hanches, après m’avoir enduit l’anneau de sa semence, il vient frotter son gland sur ma rosette ; ce n’est pas une pénétration que j’apprécie et je la refuse souvent à Jean ; je renâcle, mais il n’en tient pas compte, il a décidé de me soumettre et cela fait partie de ses envies. Petit à petit, il progresse et mon cul s’ouvre pour accepter le mandrin ; je crie, je rue , mais rien n’y fait, il me sodomise montrant ainsi sa détermination de m’avoir pour lui ;continuant à me saillir, il me dit :

— Tu aimes que je te baisse, que je te saillisse comme une petite femelle, que je te féconde ?

« .. » une claque s’abat sur ma fesse ; « « réponds ! »

« Oui j’aime que tu me prennes, que tu me fasses jouir. Baise moi encore, j’ai envie de ta queue, de ton sperme, que tu me prennes comme une chienne » « Tu es à moi, je vais te prendre, quand j’en aurai envie

C’est le bruit de la voiture de jean qui me fait revenir à la réalité ; il se retire dans sa chambre en me disant : tu l’as voulu

— Je t’attends dans ma chambre, ton homme sait que je viens de te baiser ; cette nuit, il t’a offert à mes envies ; à partir de demain tu seras à notre disposition, à nous, ou seulement à moi

Éberluée, je comprends que j’ai été leur jouet et quand Jean arrive, je lui montre le sperme qui sort de ma chatte et de mon anneau ; je me dirige vers la porte ; tu as voulu m’offrir à ton père ; il m’a mis le feu au ventre, mais ce soir, c’est toi qui va le payer ; je vais le rejoindre et tu pourras m’entendre jouir sous ses assauts et il sait y faire, tant pis pour toi »

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