Histoires de tromper Histoires érotiques au travail

Service clients – Chapitre 22




JOUR 36

Jétais en déplacement mardi et mercredi, avec des réunions particulièrement prenantes. Inévitablement, un tas de dossiers à traiter mattendaient en arrivant ce jeudi au bureau. Cest donc avec une concentration totale que je me suis adonné au travail, en enlevant de mon esprit ma soumise préférée. Pourtant, elle sinsinua dans mes pensées malgré elle lors dun rendez-vous de travail avec Karine laprès-midi, dans mon bureau. A la fin de notre entretien, je tentai une approche.

« Tu te souviens de ce que je tai dit il y a une dizaine de jours à propos de Gaëlle ? »

« Oui, bien sûr. Pourquoi ? »

« Es-tu disponible ce soir après le travail ? »

« Ce soir .non, je nai rien prévu de spécial. » Ses sourcils se rehaussèrent, et elle prit un air interrogateur sans oser formuler sa question.

« Dans ce cas, pars tôt, un peu avant lheure normale. Prends ce double de clef de mon bureau – il sera fermé et reviens sans frapper une bonne heure plus tard et le plus discrètement possible. Tu auras une bonne surprise »

« Tu peux men dire plus ? »

« Tu verras, tu verras Ah, mets-toi une jupe et de préférence rien en-dessous, tu comprendras pourquoi tout à lheure»

Elle me regarde éberluée mais ne sait pas quoi répondre, aussi elle se tait.

Une fois quelle a quitté mon bureau, jenvoie un SMS à Gaëlle pour la prévenir de venir me voir à la même heure que la semaine dernière, sans lui imposer cette fois la reptation, puisquelle sétait tenue à distance et sans broncher depuis. Elle lève la tête après avoir pris connaissance du message et acquiesce discrètement en regardant dans ma direction et en opinant une fois.

Je passe le reste de laprès-midi à traiter des dossiers courants et à répondre à des sollicitations de conseillers plus ou moins urgentes, tout en regardant régulièrement lheure tourner. Lorsque les employés commencent à défiler devant mon bureau, je me borne à les saluer de la tête et je nai quune hâte : que le dernier sen aille pour que les festivités commencent. Javais eu une semaine chargée et javais besoin de me détendre. Ca tombait bien : Gaëlle était toute disposée à me la procurer !

Enfin, elle se présente à ma porte en toquant discrètement.

« Entre et ferme la porte à clef, comme la semaine dernière »

« Oui, Maître » me répond-elle dun ton décidé. On dirait quelle est nattendait que ça et quil lui tardait également. Je me dois de freiner un peu ses ardeurs.

« Présente-toi devant moi »

Elle se positionne devant mon bureau, les mains dans le dos et les jambes bien écartées, légèrement cambrée, dans une pose digne dune soumise avide de plaire à son maître.

« Sais-tu pourquoi je tai fait venir ce soir ? »

« Oui, Maître »

« Hé bien  ? »

« Pour que je vous satisfasse »

« Cest tout ? »

« heu .pour que vous mutilisiez comme bon vous semble ? »

« Sois un peu plus précise »

« . »

« Hé bien ! Tu nes pas trop loquace pour décrire notre dernière rencontre dans ce bureau! Aurais-tu besoin que je te rafraîchisse la mémoire à coup de badine ? »

« Non, Maître, je me souviens parfaitement ! »

« Dans ce cas, soulève ta jupe et mets les mains sur le bureau. Puis tu vas me décrire, dans le détail, tout ce que tu as fait et subi. A chaque erreur tu recevras un coup de badine ! Exécution ! »

Elle se dépêche de retrousser sa jupe, dévoilant ses fesses nues, puis se penche en avant pour poser ses mains à plat. Son chemisier sentrebâille et dévoile ses globes laiteux et pendants. Je ne peux résister au plaisir de déboutonner un peu plus le chemisier et de malaxer ses mamelles quelques instants, puis de pincer les bouts avant de les lâcher pour me lever, la badine posée verticalement derrière mon bureau dans ma main gauche. Je me place à sa droite, une fesse posée sur le bureau, une main à nouveau dans son chemisier pour attraper son sein gauche.

« Je técoute. Ne me regarde pas, tête droite ! »

« Je suis entrée en rampant dans votre bureau, comme vous me laviez ordonné. Puis vous mavez faite coucher sur la table pour me ligoter et me bâillonner »

« Schlac ! »

« Aïe ! »

« Ca, cest pour ton manque de précision » une marque rouge apparaît sur ses fesses, commençant sur lune et finissant sur lautre. Il va falloir quelle conserve sa culotte lorsquelle se montrera nue devant son mari, sinon il risque du lui demander doù elle tient cela. « Tu as raté un détail »

« Je ne pensais pas . »

« Schlac ! »

« Aïïïe ! »

« Ca tapprendra à penser et surtout à parler utile ! Jattends ce qui manque »

« Je je me suis levé sur votre ordre à lentrée de votre bureau et jai fermé la porte à clef »

« Tu vois, quand tu es stimulée, comme tu te souviens beaucoup mieux. Bon, et après quelques minutes passées sur la table, que sest-il passé ? » je change de sein en continuant à éprouver lélasticité de la peau, en létirant, en faisant rouler le téton entre mes doigts et en le pinçant doucement

Elle réfléchit un peu avant de répondre, pour ne pas subir deux fois la même punition : « vous mavez retournée sur le dos. Puis vous avez caressé mon visage puis mon cou. Vous avez déboutonné mon chemisier et vous avez frôlé mes seins »

« Quas tu ressenti à cet instant ? » je lui demande cela tout en lui prodiguant la même caresse

« Cétait bon javais la chair de poule et ça irritait encore plus mes pointes lorsque vous les frôliez. Je commençais à mouiller » avoue-t-elle le regard dans le vague, fixant lhorizon.

« Ensuite ? »

« Vous mavez aveuglée avec un foulard. Puis jai senti la morsure des pinces sur mes tétons et ça ma fait limpression dune petite décharge électrique. Surtout quaprès vous avez accentué la pression des mâchoires et jai eu très mal »

« Tu préfères que je te pince avec mes doigtscomme ça ? »

« Ssssss.. je ne sais .pas .ouicar la douleur irradie moins longtemps »

« Sans doutesans doute. Mais je peux alterner la pression en te broyant le sein tout entier dans ma main, comme ça ! Continue ! »

« Aaahhh jai entendu que vous preniez le vibreur ; je pensais que vous alliez me le passer sur le clitoris ou à lentrée de mon sexe et jétais soulagée. Mais à la place, jai sursauté lorsque je lai senti mirriter encore plus mes tétons. Heureusement quau bout de quelques secondes vous avez préféré me le passer sur le sexe »

« Sur quoi ? »

« Sur mon sex.Aïe ! » un nouveau coup de badine vient de cingler ses fesses. « Tu nas pas de sexe : tu as un con, une chatte, un trou à bites, que tu me dédies entièrement lorsque nous sommes ensemble. Cest clair ? Pareil pour tes autres orifices. Compris ? »

« Oui, Maître ! »

« Et donc »

« Vous avez passé le vibreur sur ma chatte, mais vous avez alterné à plusieurs reprises entre mes tétons et mon ..con. »

« Tu mouillais à ce moment-là ? »

« Oui, un peu »

« Alors dis-le ! La prochaine fois que je dois taccoucher comme ça tu reçois un nouveau coup »

Elle se hausse le ton pour se reprendre « oui, je mouillais comme une chienne ! ». Je suis surpris quelle finisse delle même sa phrase ainsi. Pour vérifier son degré dexcitation, je passe ma badine entre ses cuisses à lorée de son vagin, puis je déplace ma main droite de sa poitrine à ses lèvres vaginales imberbes, pour sentir une moiteur caractéristique. Ca lexcite bien, comme je le pensais. Jécarte ses lèvres pour commencer à moccuper de son clitoris et de sa fente, alternativement.

Elle reprend son récit : « Vous avez coupé le vibreur et je vous ai entendu le jeter. Puis vous avez baissé votre braguette et vous avez approché votre bite bien dure de ma bo de mon fourreau à pipes, et je vous ai avalée jusquà la garde. Ensuite vous mavez baisé par là. Mais à un moment vous êtes parti, puis vous êtes revenu vous enfoncer de nouveau dans ma ..gueule de suceusemais cette fois cest moi qui devait vous avaler et aller et venir sur votre belle queue. »

« Cétait comment pour toi ? » La moiteur entre ses cuisses, à lévocation de ces souvenirs, se transforme rapidement en ruissellement. Son bassin ondule machinalement sous mes caresses.

« Cétait difficile et en même temps jétais contente de faire des efforts pour vous satisfaire. Je sentais que vous étiez excité, car la grosse veine sur votre queue pulsait. Après, lorsque jai senti la cravache sur mon corps, de plus en plus fort, jétais déconcentrée. Cest alors que vous avez décidé de vous retirer. Cest dommage, jaurais bien voulu vous faire jouir »

« Cétait trop tôt. Tu es une vraie petite salope, on dirait ! Et ça continue de texciter, en plus : mes doigts sont tout mouillés ! Tiens, goûte » Je lui fourre trois doigts dans la bouche, elle les enfourne comme une bite en les léchant et les suçant sans vergogne. Je pousse ma main sans ménagement, jusquà atteindre la limite décartement. Je la retire alors et messuie sur son visage.

« Ensuite ? »

« Vous avez alors repris le vibreur et vous me lavez placé sur ma chatte béante, en lenfonçant le plus possible et en écrasant mon clitoris. Jai failli jouir tellement cétait brutal et bon. Mais vous lavez enlevé juste au moment où jy étais presque ! »

« Du coup, comme tu as manifesté, tu tes pris une bonne correction. Tu la méritais, nest-ce pas ? »

« Oui, Maître. Jallais jouir sans votre permission. Vous avez bien fait de me chauffer le cul »

« Bon, et après ? »

« Vous mavez complètement détachée et enlevé le bandeau sur les yeux, pour que je puisse me déshabillerah oui ! Vous mavez faite me lever avant. Puis vous mavez à nouveau attachée, les coudes dans le dos. Cest assez désagréable cette position car ça force à se cambrer »

« Mais cest très agréable pour moi car ta belle poitrine ressort davantage »

« Je comprends. Vous avez passé une autre corde autour de ma taille et de mes épaules, puis vous mavez mis le collier en cuir, avec les anneaux, autour du cou. »

« Comment te sens-tu avec ? »

« Comme votre animalvotre chienne de compagnieprête à tout pour que vous vous occupiez un peu de moi. Cest humiliant .et en même temps, je nai jamais ressenti cela : je ne pense à rien, hormis de vous obéir, pour votre plaisir. Car je sais quau final, je ressentirai du plaisir aussi. Je je vous aime, Maîtrecomme je nai jamais aimé personne »

Au risque de paraître dur, je ne me laisse pas distraire par ce nouvel aveu, et je prends au contraire une voix assez dure pour la faire reprendre le fil de son histoire : « Bon, très bien, mais la suite ! »

Elle semble un peu déçue de mon absence de retour, pourtant elle continue « Vous avez attaché une cordelette autour de mes gros orteils que vous avez passé dans les anneaux du collier, me forçant à me pencher en avant. Puis, vous avez retiré les pinces de mes seins, que javais oublié. Jai du me mordre la langue pour ne pas crier tellement ça ma fait mal. Je croyais que cétait fini et pourtant je vous ai vu approcher avec le martinet. Puis jai senti les premières volées et jai été surprise. Jai commis lerreur de pousser des petits cris, mais vous mavez vite rappelée à lordre. Jai donc essayé de bien me comporter. Mais lorsquune des lanières est venue cingler ma fente, je nai pas pu me retenir. Vous avez donc redoublé vos coups. Je sentais ma peau brûler partout où vous aviez frappé. Tout dun coup jai senti que votre bite senfonçait dans mon con et jai failli pousser un petit cri mais jai pu me retenir. Jétais encore humide et jai vite mouillé davantage lorsque vous mavez prise avec de grands coups. A chaque fois que vous vous retiriez, javais limpression quune partie de mon intérieur partait avec. Jétais donc comblée lorsque vous reveniez bien au fond quelques instants plus tard. Vous me teniez comme une poupée, un objet, je nétais plus quun trou dans lequel votre bite allait et venait, un jouet de plaisir. Lorsque je vous ai senti éjaculer en moi, jétais sur le point de jouir mais je me retenais, car vous ne maviez pas encore autorisée à le faire. Pourtant cétait bon, ce sperme chaud qui emplissait mon ventre.. »

« Ensuite je me suis assis . »

« Oui, et vous mavez fait vous nettoyer. Javoue que je le fais désormais avec un certain plaisir, car je sais que vous aimez ça. Comme ça je suis votre petite chienne jusquau bout : je lape jusquà ce quil ne reste plus rien ! Jétais assez déséquilibrée, mais vous mavez tenue. Et puis jai eu le plaisir de voir votre membre se raviver sous mon traitement. Jétais fière de moi ! Ca voulait dire que ce que je vous faisais vous plaisais beaucoup ! Je sentais le sperme couler le long de mes cuisses mais je men fichais. Ensuite, vous mavez repoussée sur la table et mise sur le côté, puis vous avez libéré mes jambes. Vous avez alors décidé que mes seins navaient pas été assez punis puisque vous avez replacé les horribles pinces sur mes tétons, en les serrant très fort. Et comme je gémissais vous avez remis le baîllon-boule dans ma bouche de suceuse. Sans prévenir vous mavez écarté largement pour me prendre en me mettant sur le dos. Vous vous êtes enfoncé en moi profondément, et jadorais ça. Pour maider à ne pas jouir vous tiriez de temps en temps sur la chaîne des pinces, et cest vrai que ça distrayait bien mon plaisir, à chaque fois cest comme si vous me passiez une décharge dans les seins. »

« Tu naimes vraiment pas ça, on dirait ? »

« Non, cest vrai. Mais cest un très bon moyen de punition entre vos mains. Vous avez donc raison de les utiliser. Dailleurs, je nai pas à discuter si vous avez décidé que vous les utiliseriez, nest-ce pas ? »

Je siffle dadmiration « Bravo ! Tu nes pas tombée dans le piège. Et tu as réagi comme une vraie soumise. Tu progresses vite. Que sest-il passé ensuite ? »

« Jétais à lorée de la jouissance lorsque vous mavez fait me relever pour masseoir sur vous, pendant que vous étiez dans votre fauteuil. Puis je me suis empalée et cest moi qui devait aller et venir sur votre pieu. Cétait difficile à cause de mes bras ligotés, et en plus je sentais la morsure des pinces qui tirait sur mes tétons. Pourtant je sentais à nouveau le plaisir monter et je ne savais pas si jallais pouvoir me retenir. Heureusement vous mavez faite arrêter à temps pour me faire coucher sur le dos à nouveau sur la table, les jambes dans le vide. Puis vous mavez replié les jambes et vous les avez ligotées pour quelles soient bien écartées. Ensuite vous mavez branlé le clitoris avec un gode vibrant, tout en me fourrant un doigt dans le cul, que vous avez vite remplacé par votre bite. Quest ce que cétait bon ! Je me sentais enculée comme une pute tout en vibrant peu à peu de plaisir dans mon con. Je partais presque lorsque vous mavez ordonné de me retenir et que vous avez remplacé le gode par les pinces. Mais finalement vous avez recommencé et vous mavez autorisé à atteindre lorgasme, et pour my aider vous mavez godée mon trou à bite tout en continuant de menculer profondément. Cétait extraordinaire de sentir cette double pénétration, comme si jétais prise par deux mâles en même temps, tout en étant totalement impuissante. Cétait meilleur que le meilleur des fantasmes de viol que jai jamais pu avoir et jai hurlé lorsque jai joui. Lorsque jai repris mes esprits, vous maviez enlevé le bâillon pour que je puisse vous nettoyer une nouvelle fois. Apparemment vous préfériez jouir dans ma bouche que dans mon cul, puisque vous avez déchargé peu après, lorsque votre queue était au fond de ma gorge. Jai continué à vous sucer bien après que vous ayez déchargé la dernière goutte, afin que vous soyiez bien propre. Enfin, vous mavez faite me rasseoir et vous mavez détachée, y compris en menlevant les pinces. Vous avez eu la gentillesse de porter votre langue sur eux pour les soulager. Jétais en nage. Vous vous en êtes aperçu et vous mavez prêté une serviette. Puis vous mavez fait nettoyer la table avec ma langue car il y avait du sperme collé dessus. Et pour finir vous mavez autorisée à me rhabiller et à rentrer chez moi. »

Tout en entendant son récit, je continuais de la caresser, en alternant les seins, la chatte, et le clitoris. Elle termine son récit en étant trempée. Je constate quelle a fait des progrès de mémorisation et de précision dans ses récits. Je lui en fais part : « cest très bien car cela fait partie de ton entraînement. Une bonne mémoire, comme je te lai déjà dit, est essentiel pour réussir dans une fonction dencadrement. Car il faut se souvenir de plein de choses, sur des sujets très divers, y compris dans des situations de stress. Tu progresses vite. Mais il faut encore travailler ta maîtrise de toi. Regarde : tu es toute mouillée ! »

« Oui, Maître. Je vous prie de mexcuser davoir mouillé vos doigts. Je vais les nettoyer si vous le voulez bien »

« Pas maintenant. Moi aussi je suis excité et je vais avoir besoin de tes lèvres de tailleuse de pipe. Mais pas aussi librement que ça. » Jabandonne la badine pour prendre une corde et ligoter parallèlement ses poignets dans son dos. Je lie également ses genoux ensemble. Puis je repasse derrière mon bureau et sors ma queue de mon pantalon. Elle est en semi érection.

« Viens me sucer. Non, reste de lautre côté du bureau, penche-toi »

Elle est obligée de se coucher presque sur le bureau pour attraper mon sexe dans sa bouche, en risquant de perdre léquilibre. Pourtant elle le parcours avec ses lèvres avant de lenfourner goulûment dans sa bouche accueillante, et de le parcourir tant bien que mal davant en arrière. Lorsque je sens que je suis en pleine érection, je quitte sa bouche pour la rejoindre de lautre côté.

« Cétait pas mal mais pas totalement ça non plus. Je vais devoir tinciter à tappliquer davantage »

Je commence à lui appliquer quelques claques sur ses fesses, pour les chauffer. Elle résiste à la punition et serre les dents pour ne pas laisser échapper de gémissement ou de cri de douleur. Je repasse de mon côté du bureau et à nouveau lui ordonne de me reprendre dans sa bouche. Je joue avec ses seins et les étire pour la forcer à savancer du plus quelle le peut. Au bout de plusieurs minutes, je reviens près delle et la couche sur le côté, les fesses offertes. Jai pris un gode vibrant que jactive sur son clitoris et je la pénètre ainsi sans ménagement. Elle est suffisamment lubrifiée pour maccueillir, pourtant elle est surprise de la position, qui enserre fortement ma queue et lui fait ressentir de multiples sensations. Elle ne peut sempêcher de gémir, puis de pousser des petits cris quelle essaie détouffer, devant mes coups de bélier dans ses parois vaginales.

Je suis obligé de marrêter car sinon elle va finir par rameuter tout le personnel de nettoyage ! Je me retire et lui montre mon mécontentement « Tu as fini oui ? Ton comportement est inacceptable ! Aurais-tu perdu toute maîtrise de toi ? »

« Maître, cétait trop bon ! »

« Tu as raison, je vais veiller à ce que tu ressentes moins de plaisir maintenant ! »

« Ce nest pas ce que je voulais dire »

« Mais cest ce que je vais faire ! Assieds-toi ! »

Elle sexécute et je détache ses poignets et ses jambes, pour les rattacher différemment : je la fais se coucher dos sur la longueur de mon bureau, les bras tendus vers lextrémité et les poignets liés, le bout de la corde passée à un pied du bureau. Une autre corde entoure ses seins et maintient son torse plaqué car elle fait le tour du plateau. Une autre est passée de la même manière autour de son bassin et lui comprime la taille. Enfin les dernières sont passés au niveau de chacune de ses cuisses et de ses chevilles pour la forcer à écarter largement les jambes. Elle est donc couché les bras étirés vers une extrémité du bureau, largement écartée, les fesses à la limite de lautre extrémité.

« Je ne voudrais pas te décevoir » lui dis-je en mapprochant delle avec la chaîne reliée aux pinces à tétons.

Elle grimace mais ne répond pas.

« Je veux tentendre dire que tu veux que je les mette en place »

« Je nai pas su me contrôler. Punissez-moi en serrant mes pointes de sein avec vos pinces, Maître ! »

« Moyennement convaincant .je vais devoir serrer plus fort »

« Sil vous plaît, Maître, écrasez mes tétons avec les mâchoires des pinces ! »

« Ah, cest mieux ! Puisque tu le demandes » contrairement à mes paroles, je règle la puissance à la moitié en plaçant les pinces sur ses tétons durcis, mais cela la fait souffrir quand même, au vu de sa grimace de douleur. Je laveugle en plaçant un foulard sur ses yeux. Puis je sors mon sexe de mon pantalon et la laisse me sucer en me plaçant à côté de son visage. Pendant ce temps je parcours son corps avec une cravache, avec des petits coups précis mais peu puissants. Son ventre, ses seins (en évitant les tétons déjà meurtris), son sexe largement ouvert, font lobjet de petites claques. Et je profite de temps en temps de ses petits cris étouffés qui se propagent dans mon sexe.

Au bout de quelques minutes de ce jeu, je me place entre ses cuisses et caresse son clitoris quelques instants, avant de déplacer mon doigt à lentrée de son anus. Jai pris avec moi un gode vibrant mais je ne lutilise pas encore. Jenfonce mon doigt dans son cul, elle gémit.

« Jattends que tu me demandes de tenculer »

« Maître, enculez-moi sil vous plaîtoh, Maître, prenez mon cul, sil vous plaît. »

« Puisque tu le demandes si bien . » je glisse mon phallus toujours érigé à lentrée de son cul, et je le pénètre doucement mais en poussant de plus en plus. Lorsque je suis enfoncé à moitié, je commence à me retirer puis à revenir, plus profondément. Pour laider à se détendre, jai commencé à utiliser le gode vibrant à lentrée de sa chatte et sur son clitoris. Elle gémit instantanément en sentant les vibrations la parcourir. Quelques instants plus tard, elle commence à partir dans un autre monde. Je la prends de plus en plus fort par le cul et je dose savamment avec le gode pour quelle soit maintenue en état de presquorgasme. Je la stimule également oralement en lui intimant lordre de décrire ses sensations, et en la faisant se décrire comme une petite pute qui nattend que dêtre enculée. Cest dans cet état que Karine la trouve lorsquelle pousse doucement la porte après lavoir ouverte avec son double de clef. Elle stoppe à lentrée du bureau, saisie par la scène qui se déroule devant ses yeux. Je dois lui faire signe de ma main libre pour lui intimer lordre de rentrer et de refermer derrière elle. Elle continue de regarder, fascinée, et sans oser sapprocher. Une nouvelle fois je lui fais signe de se placer du côté du bureau où est le visage de Gaëlle.

« Cest bon ? Tu aimes ça ? »

« Oh oui, Maître, continuez sil vous plaît ! »

« Tu dois le mériter. Pour ça tu vas sortir ta langue et la pointer en lair, le plus haut possible »

Je fais un signe à Karine, qui comprend que cest le signal pour quelle monte sur le bureau et quelle relève sa jupe heureusement quelle ma écoutée en se plaçant sur le visage de Gaëlle. Cette dernière sent brusquement quune nouvelle personne est dans la pièce, et elle est prise de panique

« Quest-ce qui se passe ? Qui est là ? Détachez-moi ! Arrêtez ! »

« Tais-toi ! Tu la connais, cest Karine ! Et continue de pointer ta langue vers elle, lèche-là bien sinon tu ne pourras plus respirer ! »

Dun mouvement de tête, jindique à Karine de poser son sexe sur la bouche de Gaëlle. Celle-ci voit ses protestations étouffées dans un buisson de poils. Continuant à la pilonner et à la faire vibrer méthodiquement, je la ramène à de meilleures dispositions. Elle commence à parcourir le sexe au-dessus delle, dabord par de petits coups de langue, puis plus agilement en dardant sa langue sur le clitoris de sa responsable. Celle-ci ne reste pas inactive et se penche un peu en avant pour remplacer le gode sur son clitoris par ses doigts agiles. Elle ne peut détacher son regard de mon sexe tendu allant et venant dans lorifice anal de Gaëlle. Elle ondule du bassin, signe de lagilité de cette dernière à faire venir le plaisir chez une autre femme seulement avec sa bouche et sa langue, le reste de son corps étant immobilisé.

Cest une vision incroyable qui soffre à moi : ma responsable déquipe, les yeux mi-clos, à califourchon sur une de mes employées la tête enfouie sous sa jupe !

« Lèche-la bien sinon je me débrouillerai pour remplacer mon sexe par la cravache ! »

Au fur et à mesure de la montée de son plaisir, Karine commence à parcourir le sexe de Gaëlle de ses doigts. Je nentends plus que gémissements et bruits de succion dans la pièce, entrecoupés du bruit de mon bassin à chaque fois quil bute contre les fesses de Gaëlle. Sentant la situation méchapper, car cette dernière ne va pas pouvoir se retenir très longtemps ainsi, et étant moi-même au bord de lorgasme, je décide de lautoriser à jouir.

« Applique-toi pour sucer son clitoris et la faire jouir, et tu vas toi aussi pouvoir te laisser aller. Karine, profite bien delle, quelle te fasse jouir ! »

Les gémissements de plaisir samplifient et bientôt jentends Karine pousser un petit râle en relevant la tête, le regard vitreux. Je ses quelques secondes plus tard Gaëlle se contracter et pousser un cri étouffé par le sexe au-dessus delle et je pousse une dernière fois ma queue pour lenfouir profondément et cracher à mon tour ma semence.

Nous continuons encore quelques instants mécaniquement nos mouvements puis Karine saffale tandis que je me retire lentement. Elle relève la tête et son regard pétille en croisant le mien. Ses lèvres prononcent un « merci » silencieux et elle sécarte de la tête de Gaëlle, puis descend du bureau en se rajustant. Je nai pas voulu, préférant y aller par étapes, quelle me voit me faire nettoyer par Gaëlle comme à mon habitude. Je me suis donc rajusté aussi. Elle sapproche de moi et membrasse sur la joue, puis déverrouille la porte du bureau et disparaît comme par enchantement. Lorsque jenlève le bandeau des yeux de Gaëlle, elle regarde dans toutes les directions et se demande si elle na pas rêvé. Mais lodeur persistante sur son visage et la cyprine dont il est couvert sont autant de preuves de ce qui sest passé réellement. Après lavoir détachée et faite se rhabiller, je la renvoie dans son foyer, non sans lui avoir conseillé de passer dabord aux toilettes se rafraîchir et se parfumer pour éviter déveiller les soupçons auprès de son compagnon. Je la questionnerai plus tard sur ce quelle a ressenti ce soir. Il est temps de nettoyer et daérer une nouvelle fois la pièce pour quelle reprenne un aspect purement professionnel.

Related posts

Séance de domination – Chapitre 1

historiesexe

Evolutions – Chapitre 57

historiesexe

Etape routière – Chapitre 2

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .