Anna avait expérimenté plusieurs fois la saillie de chienne avec son papy et Champion, ce premier jour. Présenter son cul à quatre pattes l’excitait. Elle sentait les lèvres de sa chatte s’ouvrir et son petit trou humide lubrifié comme une chienne en chaleur. Papy avait pris des photos de près. Anna l’avait léché et avait reçu sa bite dans son trou plein du sperme chaud du chien. Elle avait avalé et léché le sperme des deux mâles en chaleur. Anna avait attiré Champion sous la douche pour le laver et elle avait reçu la langue chaude de Champion entre ses cuisses. Le chien avait vite compris qu’Anna était une femelle disponible pour des saillies régulières.
Anna et papy Raymond continuèrent de se voir régulièrement en intégrant Champion dans leurs ébats. A chaque fois, papy mettait à Anna un collier de chienne, avec parfois une laisse. Parallèlement, Anna continuait de satisfaire son beau-père et de jouer avec sa mère en essayant de rester discrète. Elle redoutait la colère de son beau-père en apprenant qu’elle ne le considérait plus comme son maître.
Papy Raymond aimait se rincer l’il et jouir d’Anna dans la nature, le plus régulièrement possible. Parfois, ils allaient en forêt, ou derrière une dune de sable pour copuler à trois. D’autres fois, ils se contentaient d’aller dans le parc près de l’appartement. Papy Raymond avait découvert un endroit discret, un peu à l’écart, dans des buissons pour qu’Anna puisse se faire sauter en toute discrétion. Anna portait toujours des jupes ou shorts courts et des hauts décolletés pour mettre en valeur ses seins. Parfois, elle mettait des talons. Régulièrement, elle oubliait de mettre une culotte, laissant sa chatte libre. Anna aimait sentir le vent caresser sa chatte, et l’idée qu’un homme puisse apercevoir ou toucher ses lèvres humides.
Anna prenait de plus en plus de plaisir à découvrir le membre en érection du chien. Son papy chéri avait une bite bien plus dure à la vue de cette jeune chienne en chaleur excitée à l’idée de se faire saillir. Il avait rarement rencontré une salope aussi adepte du cul. Elle en redemandait et ne refusait aucune nouveauté. Anna trouvait un plaisir plus sauvage à se faire monter par Champion. Elle ruisselait en lui tendant ses fesses et il allait parfaitement au fond de sa chatte. Il écartait au maximum son trou et elle sentait ses couilles pleines taper ses fesses.
Anna sortit avec papy Raymond ce jour-là pour une balade au parc, en espérant que son beau-père ne la verrait pas. Champion marchait près d’elle, fébrile, et elle devait régulièrement l’écarter pour qu’il ne vienne pas coller sa truffe entre les cuisses. Papy commençait à avoir la bite dure. Il emmena rapidement Anna dans leur cachette derrière des buissons. Anna s’adossa à un arbre et releva sa jupe, libérant sa chatte nue et parfaitement épilée. Papy s’approcha. Il glissa le collier de chienne à Anna.
Ta chatte est parfaite ma salope, il me tarde de juter dedans. Montre-moi tes seins que je puisse tripoter !
Anna dégagea ses seins qu’elle avait laissés sans soutien-gorge, pour qu’ils puissent être libres. Elle enroula sa langue à celle de son papy, avec voracité.
Vas-y papy, caresse mes seins. Fais-moi du bien, mon cochon. J’aime être ta salope et t’offrir mes tétons durs.
Le chien venait taper fort sa truffe contre la chatte. Anna ouvrit ses cuisses et laissa la langue lui faire du bien. Elle sentit la langue de Champion, chaude et large, ouvrir les lèvres gonflées, son trou, pendant que son papy libérait sa bite large. Anna le branlait doucement en continuant de lui offrir ses seins.
La jeune salope se retourna, debout, les jambes écartées, elle se pencha pour prendre en bouche la bite mature de son papy. Elle enveloppait le gland, jouait avec le bout en branlant lentement alors que le chien préparait soigneusement le trou de sa chienne en chaleur. Papy prit une couette dans chaque main et appliqua de rudes va-et-vient avec la bouche de sa chaudasse.
Anna essayait de ne pas faire de bruit pour ne pas attirer l’attention alors qu’elle avait envie de gémir, de pousser des petits cris aigus et d’encourager ses deux mâles.
Papy poussa Anna à 4 pattes et vérifia qu’elle écartait assez les cuisses. Anna attira Champion vers elle et considéra qu’il n’était pas assez dur. Elle entreprit de branler la bite rouge et longue. Puis elle lécha la bite du chien lentement de chaque côté avant de la mettre en bouche. Elle sentit quelques gouttes de sperme au fond de sa gorge et Anna avala. Elle adorait le sucer. Elle se sentait totalement chienne.
Oui papy, doigte mon trou pour Champion ! Ouvre-le bien. J’aime être votre cochonne et quand tu me traites comme ta chienne !
Anna releva ses fesses et son papy continua.
Tais-toi et suce-le bien ! Tu lécheras son sperme après pour le nettoyer.
Considérant la bite bien dure, Anna la relâcha et le chien se précipita derrière elle. Avec délectation, Anna le sentit se mettre sur ses pattes arrière, la bite vint frapper contre ses fesses, sa vulve. Elle tendit la main et prit la bite entre ses mains. Elle poussa un gémissement quand d’un coup il la pénétra vigoureusement jusqu’au nud qui gonfla vite. Elle se sentait pleine, heureuse, avec son trou largement écarté, les coups de boutoir secs et sauvages. Ses gémissements de plaisir étaient étouffés par la large bite de son papy. Il continuait d’imposer le rythme en s’accrochant à ses couettes d’écolières, terriblement excitantes. Seul son trou du cul n’était pas occupé. Anna laissait sa langue rouler le long de la bite en la suçant. Elle jouait avec le gland qu’elle adorait. Papy se retira et se mit à se branler en lui tenant la tête.
Tu es vraiment une vilaine chienne, tu obliges papy à jouir. Ouvre la bouche, sors ta langue ma salope !
Papy juta sur la langue et la figure de la chienne. Anna jouit à ce moment, tellement elle aimait se sentir dominée par ces deux mâles. Champion en profita pour remplir sa femelle de sperme liquide et chaud.
Ils entendirent un bruissement. Un autre chien s’approcha. Un dog allemand à la verge déjà à moitié dure. Anna gémit d’excitation. Champion, coincé dans sa femelle grogna pour le maintenir à distance. Anna léchait le sperme sur son visage en regardant l’autre chien. Son papy lui tendit sa bite à laver, mais elle était distraite. Le chien tournait autour d’eux.
Tu veux qu’il te saute, ma salope chérie ? demanda papy.
Oui, s’il te plaît !
Je filme alors !
Anna hésita, mais le désir était trop fort, et elle accepta au plus grand plaisir du papy pervers.
Champion se retira, laissant un filet de sperme s’échapper. Anna appela le chien. Elle caressa et rapidement, posa sa main sur la bite, plus vigoureuse que celle de Champion. Elle le branla rapidement puis goba la bite sans que le chien ne rechigne. Elle était épaisse et longue. Toujours à 4 pattes, elle laissa le chien tourner autour d’elle. Il lécha sa vulve puis remonta vers le trou du cul et redescendit plus bas. Papy l’encouragea, satisfait. Il sortit du lubrifiant et commença à doigter le trou du cul. Anna se mordait la lèvre pour ne pas gémir fort de plaisir et en demander plus.
Rapidement, le chien se mit debout et Papy orienta la verge vers le trou du cul de la chienne. La bite sauvage s’enfonça en forçant le trou. Papy veilla que le nud n’entre pas. Anna vivait un pur bonheur. Le chien la secouait par des coups secs, sauvages. Papy filmait sa chatte, ses seins et elle aimait s’exhiber. Elle jouit au moment où le chien errant déchargeait son sperme par saccades. Elle était dégoulinante de sperme. Une perfection ! Papy lui amena le chien sous l’il attentif de Champion. Elle lui lava la bite avec des coups de langue en se caressant du bout des doigts la chatte pour recueillir le sperme.
Papy la rhabilla fier d’avoir une chienne aussi dévouée.
