Ce matin, c’est le moment fatidique. Je vais me faire prendre par Cyril, ce beau gosse bien monté qui me fait tourner la tête. La journée d’hier a été un vrai supplice, je n’ai eu envie que d’une chose : sa grosse bite entre mes cuisses… Sa grosse bite justement. Maintenant, j’appréhende de plus en plus… Est-ce qu’elle va rentrer ? Est-ce que je vais avoir mal ? Pensons à autre chose, il n’y a pas de raison que ça se passe mal !

J’ai peu dormi cette nuit, j’étais trop impatiente ! D’ailleurs, la seule raison pour laquelle j’ai dormi, c’est l’épuisement.

Il est 6h et je me lève, le repos est terminé, place à la préparation ! J’aère mon appartement en me préparant. Je commence par aller aux toilettes puis dans la douche. Je me nettoie bien partout. Je me sèche et brosse les cheveux, m’habille. Une robe couleur aubergine assez courte, qui me moule (je ne suis pas grasse du ventre, j’ai des bonnes hanches, une bonne poitrine et des bonnes cuisses, et pas de peau d’orange !). Ma robe met mon gros fessier en valeur, ainsi que mes seins, grâce à un magnifique décolleté… Qui laisse entrevoir l’absence de soutien-gorge. J’enfile aussi un string en dentelle de la même couleur, assez fin (pour ne pas le voir sous la robe). Je ne mets pas mes lunettes. Je mets du rouge à lèvres bien puissant (couleur rouge) et enfile des escarpins de 12 centimètres, classiques, noirs, avec une bride autour de la cheville. Je me mets du parfum et ferme les fenêtres. Il est 6h45. Et j’attends. Impatiente. J’ai préparé le lubrifiant, j’en ai mis un à côté du lit et un près du canapé (au cas où), pareil pour les capotes.

Je prépare du café. Et ce qu’il faut pour un thé. 6h46, le temps est long. Je vérifie mon téléphone, il est allumé, en sonnerie active, chargé à 100% : OK. Je suis stressée comme s’il allait prendre ma virginité ! Alors que je suis loin d’être vierge… 6h52, le temps est si long… Ce matin, les cours ne commencent qu’à 10h. Je regarde par la fenêtre. Puis de nouveau mon téléphone. 6h54. Je vérifie mon haleine : OK. Je me fais un bain de bouche quand même. 6h57. Je regarde mon téléphone, toujours rien. Il aurait pu me prévenir quand il est parti de chez lui ! Ceci dit, s’il part tôt, il n’a certainement pas l’habitude d’envoyer des SMS pour ne pas réveiller les gens… logique ! Je suis sotte ! Mon téléphone sonne enfin, c’est lui !

— Allô ? dis-je avec fébrilité

— Coucou ma belle, je suis en bas tu m’ouvres ?

— Ah Cyril, oui oui, entre, tu te souviens où… (Ah Cyril ? Comme si je n’attendais pas son appel…)

— Troisième étage, aile droite, quatrième à droite au bout du couloir !

— C’est bien ça, je t’attends. Tu as pris tes affaires de sport ? interrogeai-je avec un sérieux doute qui commence à me serrer le ventre.

— À ton avis ?!

Il rigole puis raccroche. Salaud. S’il les a prises, et bien… je ne le laisse, de toute façon, pas partir !

Il toque à ma porte. J’ouvre. Je le vois dans l’encadrement, il est en chemise bleu clair et en jeans noir. Classique, mais ça lui va si ben, et il a un bouquet de fleurs entre les mains. Je craque. Il me le tend, je le récupère, me recule pour le laisser entrer, il ferme la porte derrière lui et je lui saute au cou ! Nous nous embrassons longuement et passionnément. La douceur de ses lèvres, la malice de sa langue qui joue avec la mienne, la tendresse de ses caresses qui me procurent des frissons, son parfum enivrant… Je suis complètement sous le charme de cet homme !

Après ces longues et intenses minutes, nous nous séparons, je file à la cuisine pour prendre un vase dans lequel je mets de l’eau et y plonge son magnifique bouquet de Gardénias et Tulipes…

Nous évoquons les banalités "bien dormi ? Bla-bla-bla", mais aucun de nous ne veut s’attarder.

— T’es plus grande qu’hier !

— N’est-ce pas ? C’est pour atteindre plus facilement tes lèvres…

Je tombe dans ses bras et l’embrasse fougueusement. Ses mais caressent tout ce qu’elles peuvent toucher, puis s’attardent sur mes fesses. Les miennes sont autour de son cou. Je lève ma jambe gauche et la frotte doucement le long de sa jambe droite. Il la saisit derrière le genou et la colle à lui. Sa deuxième main descend vers mon autre jambe, et me soulève. Nous nous embrassons toujours, j’ai l’impression d’être en apesanteur. Puis il quitte ma bouche et s’occupe de mon cou. Mon souffle s’accélère.

Il me porte jusqu’à la chambre, où il me pose délicatement sur le lit, en continuant son office. Il embrasse mes seins et fait courir ses doigts le long de ma robe. Il passe sa main entre mes cuisses et se dirige vers mon petit string, ultime rempart qui me préserve de ses délicieux supplices. Je suis tout humide, une piscine inonde mon intimité. Il fait glisser délicatement le string le long de mes jambes et l’enlève, maladroitement. J’ai le string qui est resté accroché à un escarpin qui pend à ma jambe droite. Peu importe, ma petite chatte est à sa merci. Il plonge sa tête dans mon intimité et je ne le vois plus à cause de la robe. Il me relève les jambes. Ses mains continuent de me caresser les seins. Je sens sa langue qui joue avec mes lèvres et le tour du clitoris… Sadique… Puis il me fait le cunni de mes rêves, sa langue accélère… oh mon Dieu je vais… OHHHHHH je jouiiiiis si fort ! Il remonte vers moi et m’embrasse, ma cyprine se mélange à la salive, ça m’excite encore plus.

Je verrouille mes jambes autour de sa taille et nous roulons. Je me retrouve désormais au-dessus de lui. À ton tour, ma vieille, montre-lui ce que tu sais faire ! Je descends lentement le long de son corps musclé, et lui ouvre ses boutons de chemise un à un. J’ouvre sa braguette, et baisse son pantalon et son boxer. Son sexe immense se dégage. Je lui enlève tout son bas (pantalon, boxer, chaussettes, chaussures) et me mets à genoux, en embrassant gros sexe et le léchant sur toute sa longueur…

— J’en ai rêvé de cette grosse bite… Toute la nuit !

— Eh bien, ma belle, elle est toute à toi !

— J’y compte bien !

À peine ai-je fini ma phrase, que je plonge sa queue gonflée dans ma bouche ! Je ne suis pas une experte de la gorge profonde, mais je veux lui faire voir ce que je sais faire ! Je fais ce que je sais faire de mieux, en m’appliquant le plus possible. Son souffle et ses gémissements me font savoir que, visiblement, c’est bon ! Mais je nen ai pas fini, et ne veux pas qu’il jouisse trop tôt. Au bout de 5min de ce traitement, je me redresse et enlève ma robe. Mes gros seins surgissent devant ses yeux fascinés. Je me remets à genoux, positionne son sexe entre mes seins et…

— C’est la première fois qu’on me fait ça.

— T’as jamais eu de branlette espagnole ? Vu mes seins, je peux te dire que chez moi c’est un passage obligé ! Ceci dit, c’est la première fois qu’une bite aussi grosse va se loger ici, c’est un challenge ! Ceci dit, c’est la première fois qu’une aussi grosse bite va se loger où que ce soit chez moi !

Je lui fais un clin d’il et me mets à mon "travail". C’est la première fois que j’ai autant d’amplitude à monter et descendre le long d’un pieu ! C’est agréable. Elle ressort tellement, que je la fais rentrer en bouche à chaque mouvement !

— Huuummm si tu continues comme ça, je vais finir par jouir…

— T’es long à te remettre ?

— Oh que non !

J’accélère la cadence et l’entends souffler de plus en plus fort jusqu’à ce que de grands jets de sperme sortent et viennent s’écraser sur mon visage et mes seins. J’en ai partout ! Je prends sa bite en bouche et lui nettoie en la sentant mollir légèrement. Puis je me lève et récupère chaque goutte de sperme que je trouve et les mets en bouche. Il est vraiment bon !

Cyril me tire vers lui, je suis à cheval au-dessus de lui et il me mange les seins, j’adore… Je suis très sensible de cette partie du corps ! Puis il s’arrête et me dit :

— Je suis prêt, si tu l’es aussi.

— Tu rigoles, je ne rêve que de ça depuis hier !

— Alors je te laisse mener la danse, pour commencer.

Je me positionne correctement et place sa queue au bon endroit. Je la fais glisser lentement à l’intérieur, je suis trempée… ça rentre tout seul mais… Les sensations sont nouvelles… Huuummmm… Je gémis fort… Il pousse sa bite au fond d’un coup, il a bien vu que ça rentrait sans problème. Je pousse un cri de surprise et de plaisir intense ! Mon Dieu, c’est si bon, j’ai la sensation d’être remplie ! Je sens qu’il étire ma paroi comme jamais !

— Ohh t’es serrée tu sais !

— Hein ? Nan c’est… hummm… ta grosse bite qui fait…

Il m’interrompt en entamant une série de coups de butoir intenses et profonds !

Je me mets à crier comme une pucelle qui découvre le sexe, sans pouvoir me retenir, je hurle tout le plaisir qu’il me donne. Après un bon moment, nous roulons de nouveau sur le côté et il me lève les jambes en calant mes genoux dans le creux de ses coudes. Il reprend ses frénétiques coups de butoir. J’ai les yeux qui roulent, le souffle court… Et une nouvelle sensation qui se… qui se… qui se… OOOOHHHH OUUIIIII !!! Il se retire et je vois jaillir un jet d’eau venant de mes entrailles…

— Donc tu es une fontaine, je savais pas !

— Moi non plus… c’est la première… fois que ça… arrive…

Je suis complètement haletante. Mon premier orgasme vaginal… Moi qui pensais n’être que clitoridienne ! Il repositionne sa matraque devant ma chatte luisante, met mes jambes sur ses épaules, et se met à me pilonner comme jamais. C’est si intense, si puissant, ses mais me maintiennent les bras à hauteur de tête. Je me casse la voix de plaisir, et je pense que je réveille pas mal le voisinage ! Et au bout de 10min de ce traitement, je jouis de nouveau, libérant un nouveau jet de bonheur !

J’ai à peine le temps de me remettre, que Cyril me retourne et me positionne à quatre pattes sur le lit. Il se place derrière moi et me pilonne encore avec cette énergie impressionnante. C’est fou cette endurance, ce garçon a de la ressource ! Il me fait crier tout ce que je peux, je prends un coussin pour étouffer le son, mais à mon avis, ça ne suffit pas. Loin de là. Au bout d’un moment, je l’entends :

— Je vais bientôt jouir ma belle, je te laisse choisir où tu veux !

— Dans… Haaaa… Dans ma… Haaaa… Je veux… Haaaaa… BOUCHE !!! HAAAAAA OUUIIIII !!!

Il se retire, je me retourne et me mets à le pomper goulûment, je sens ses jets de sperme venir s’écraser sur ma langue et mon palais. Je l’entends gémir de plaisir. Bien évidemment, j’avale tout en le regardant fixement dans les yeux.

Je suis épuisée… Il m’a complètement vidée… Littéralement !

— C’est la première fois qu’une fille gère aussi bien ma… enfin mon…

— Ta grosse bite ? Haha, oui, je comprends, vu comme elle est grosse !

— C’est sûr, j’ai jamais pris mon pied autant qu’avec toi, ta fellation et ta branlette espagnole… Divin !

— Hihi merci !

Je regarde l’heure qu’il est à mon réveil et note plusieurs choses : la première, c’est qu’il est 8h25, la seconde c’est que le lubrifiant n’a pas servi du tout. La dernière c’est que nous n’avons pas pensé aux capotes ! Heureusement, nous sommes cleans tous les deux et j’ai un stérilet !

— 8h25…

— Tu es prête pour le prochain round ?!

— Quoi ?! T’es fou ! J’en ai envie, mais tu m’as tuée !

— T’inquiète, on fera ça moins sport, plus soft !

— Alors tiens-toi prêt, j’arrive !

Je lui saute dessus et mets sa bite dans ma bouche pour la faire regonfler…

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